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picto technico commercial en commerce d'animaux

Découvrez le métier de technico-commercial.e en commerce d’animaux

Le technico-commercial en commerce d’animaux achète les animaux vivants auprès des éleveurs et les revend à ses clients (reproducteurs, industrie de transformation).

Descriptif du métier

Le commerce d’animaux est un secteur particulièrement exigeant. La santé des animaux et leur bien-être sont primordiaux pour le développement de l’activité. Par ailleurs, les animaux sont des êtres vivants, et leur commercialisation répond à des normes précises. Le rôle du technico-commercial en commerce d’animaux est de dénicher les animaux au meilleur de leur forme pour le compte de ses clients. Il est en contact direct avec les éleveurs et est à l’écoute de ses clients afin de connaître leurs besoins et attentes.

Le technico-commercial en commerce d’animaux se situe entre les éleveurs et la chaîne de transformation. Ce dernier commercialise les animaux vivants qu’il achète auprès des éleveurs. Il est garant de leur santé et de leur bonne condition physique auprès de ses clients. Le commerçant d’animaux est, avant tout, un passionné du monde agricole et des animaux.

Le métier de technico-commercial en commerce d’animaux est certainement nouveau pour vous. Dans cette fiche métier, nous vous disons tout à ce sujet : les activités que mène  ce professionnel, sa personnalité, ses aptitudes et les formations qu’il faut suivre pour accéder à ce corps de métier.

Le technico-commercial en commerce d’animaux : qui est-ce ?

Le commerçant d’animaux est généralement un indépendant. Son métier consiste à acheter les animaux vivants auprès des éleveurs afin de les revendre à ses clients qui sont très variés : reproducteurs, éleveurs, industrie de transformation, etc…

Passionné des animaux, c’est également un commerçant dont le but est de trouver les meilleurs animaux au meilleur prix. Son marché étant étendu, il peut être amené à exécuter des activités à l’export. Il est le représentant des clients auprès des éleveurs.

Que fait le technico-commercial en commerce d’animaux ?

En tant que commerçant, sa fonction première est de réaliser du profit à travers la vente d’animaux. Indépendant et autonome, le technico-commercial en commerce d’animaux se fixe quotidiennement des objectifs qualitatifs et quantitatifs à atteindre.

En termes de quantité, il s’agit du nombre d’animaux à acheter et à vendre, des dépenses à effectuer, des marges à réaliser. Pour ce qui est de la qualité, il s’agit de trouver des animaux en bonne santé. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et les prises de rendez-vous avec les clients et/ou les fournisseurs.

Si le technico-commercial en commerce d’animaux a des animaux sous sa garde, il s’assure, avant tout, de leur alimentation et de leur santé. Pour cela, il peut avoir une équipe à sa disposition qui lui fait un compte rendu détaillé.

De passage chez les éleveurs qui sont ses fournisseurs, il peut visiter les animaux et inspecter les lieux. Il est le garant de la bonne qualité des animaux auprès du consommateur final.

Le technico-commercial en commerce d’animaux inspecte les animaux, et en fonction de ses constats, il peut interpeller l’éleveur. Le commerçant d’animaux peut aussi apprendre de nouvelles techniques d’élevage à ses clients. Il peut être amené à visiter les marchés de bestiaux pour trouver les meilleures offres disponibles.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en commerce d’animaux peut aussi démarcher de nouveaux clients ainsi que d’autres éleveurs. Au cours de ses tournées, il fait la promotion de ses produits et propose les meilleurs prix possibles à ses clients.

En tant que commerçant, il a des relations avec l’extérieur, car il peut aussi convoyer des marchandises à l’étranger. Ce qui exige de lui qu’il maîtrise les rouages de l’administration ainsi que la réglementation en matière d’import-export.

Son métier consiste aussi à assurer le transport rapide des animaux dans les meilleures conditions vers leur destination finale. Il négocie leur prix de vente ainsi que le prix du transport. Il gère aussi les commandes et veille à respecter les délais.

Autres appellations

  • Commerçant d’animaux
  • Commerçant en bestiaux
  • Agent commercial en animaux vivants

Savoir-faire & savoir-être

Être commerçant en bestiaux demande un certain nombre d’aptitudes, de savoir-faire et de savoir-être. Si vous voulez exercer ce métier, vous devez être, avant tout, un commerçant.

Vous devez aussi :

  • Aimer les animaux et être au fait des techniques d’élevage
  • Connaitre les spécificités des animaux que vous commercialisez et êtes en mesure de juger de leur qualité en coup d’œil.

L’agent commercial en animaux vivants est également patient, rigoureux et dynamique. Il a le sens de l’écoute, et il maîtrise les techniques de négociation et de vente. Il connaît aussi les règles du commerce international. C’est aussi un bon communicateur, car son métier le situe à un carrefour.

Le technico-commercial en commerce d’animaux est un chef d’équipe qui est appelé à faire des séances de coaching.

Il doit :

  • Savoir conduire les réunions
  • Avoir des capacités d’adaptation, car il évolue dans un environnement qui est en constante évolution
  • Connaître aussi des langues étrangères.

Les formations qui mènent à ce métier

Plusieurs formations peuvent permettre d’accéder à ce métier. Avec une formation initiale, vous pouvez suivre une formation de type :

  • Bac+2 ou un BTSA technico-commercial en produits alimentaires
  • DUT technique en commercialisation de produits agroalimentaires
  • Diplôme professionnel en commerce et en vente des produits agroalimentaires. Cette formation est complétée par une année de spécialisation. À l’issue de cette spécialisation, vous obtenez le certificat de spécialisation Acheteur-Estimateur de bétail.
picto technico commercial en agrofournitures

Découvrez le métier de technico-commercial.e en agrofournitures

Le technico-commercial en agrofournitures travaille auprès d’un négociant ou d’un groupement en intrants agricoles. Il apporte un soutien technique à ses clients.

Descriptif du métier

Par agrofournitures, on entend semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, aliments du bétail, produits vétérinaires et petits matériels. En un mot, il s’agit de tout ce qui est utilisé dans l’agriculture.

Le rôle du technico-commercial en agrofournitures est de conseiller et d’informer les agriculteurs et les éleveurs sur l’utilisation des agrofournitures. Il les tient également informés de tous leurs risques pour l’homme et l’environnement. Il est en relations commerciales avec les clients et les fournisseurs et actualise constamment ses connaissances techniques, économiques et réglementaires sur les produits qu’il vend. Plus qu’un technicien, c’est un commercial qui a pour souci, le développement de ses activités et le bien-être de ses clients. Pour cela, il remplit plusieurs missions qui concourent à l’atteinte des objectifs.

Le technico-commercial en agrofournitures : qui est-ce ?

Le technico-commercial est un grand connaisseur de l’agriculture et de l’élevage. Il maîtrise également les produits qu’il vend. Il a une place importante auprès de ses clients, car il leur apporte des solutions concrètes à des problèmes qu’ils rencontrent souvent.

Que fait le technico-commercial en agrofournitures ?

Le technico-commercial en agrofournitures est un salarié qui exerce au sein d’une coopérative et auprès d’un négociant en fournitures agricoles. Il travaille généralement sous l’autorité d’un responsable de zone qui lui détermine les objectifs à atteindre. Ils portent sur le respect de la politique commerciale. Sur le plan qualitatif, il s’agit de la qualité des relations avec les clients (éleveurs et agriculteurs). Le technico-commercial doit aussi avoir des capacités à innover dans les techniques d’agriculture.

Dans l’exercice de ses missions, il rend régulièrement visite à ses clients et aux adhérents de sa zone d’intervention. Il entretient également le contact avec des prospects cibles en fonction des objectifs fixés. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et la programmation de rendez-vous. Il prépare aussi ses visites de la journée en fonction des buts poursuivis (fiches de l’agriculteur, les tarifs, etc.). Il doit se fixer des objectifs à atteindre au cours de la journée avec différents partenaires.

Au cours de ses tournées, le technico-commercial en agrofournitures doit faire la promotion des produits qu’il vend (les produits phytosanitaires, les semences, les engrais, etc.). Pour cela, il fait des propositions de prix et des conditions de vente favorables. Il peut aussi faire des séances de démonstration ou des coachings d’utilisation desdits produits.

Au profit de ses clients qui en font la demande, il apporte un soutien technique et leur apprend la manipulation des produits (calculs de rationnement, levée, techniques d’épandage, etc.). Il les accompagne aussi dans l’utilisation des produits et contrôle le déroulement des travaux.

Le technico-commercial en agrofournitures est également un bon gestionnaire qui doit s’assurer qu’il n’y ait pas de rupture de stock. Les produits doivent être disponibles pour faire face aux besoins urgents.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en agrofournitures doit respecter la politique commerciale de son entité. Pour cela, il doit appliquer les tarifs établis. Il assure aussi le recouvrement des créances. À cet effet, il tient à jour l’état des comptes de chacun de ses clients et procède régulièrement à des relances. Il est chargé de la réception, du stockage et de la conservation des commandes.

Le technico-commercial en agrofournitures doit régulièrement s’informer et se former sur les évolutions techniques, technologiques ou commerciales indispensables à ses activités.

Il doit aussi rendre compte de ses activités à la hiérarchie. Le technico-commercial en agrofournitures a, sous sa responsabilité, une équipe de magasiniers qu’il a l’obligation de former. Il doit aussi suivre leur activité.

Autres appellations

  • Technico-commercial en aliment agricole

Savoir-faire & savoir-être

Le technico-commercial en agrofournitures a des compétences avérées en :

  • Techniques culturales ou en production animale
  • Techniques de vente, négociation commerciale et gestion des stocks.

C’est une personne qui a une ouverture d’esprit. Il doit être curieux et avoir un esprit critique. Rigoureux et méthodique, le technico-commercial en agrofournitures a le sens du contact et des relations humaines. C’est aussi un bon communicateur, et il doit avoir de bonnes capacités rédactionnelles. Il doit aussi savoir écouter pour proposer des solutions aux problèmes.

Le technico-commercial en agrofournitures est un homme de terrain qui passe la plus grande partie de son temps dans les campagnes et exploitations agricoles. Le métier exige qu’il soit disponible et tenace. En effet, la concurrence est rude dans le secteur, et il doit être persévérant pour maintenir ses marges et agrandir son portefeuille client.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de technico-commercial en agrofournitures est conditionné par une formation scolaire ou en apprentissage dans le domaine. Vous pouvez aussi passer un BTS ou un BTSA avec option en technico-commercial. La spécialité en agrofournitures se prépare en deux ans dans les établissements agricoles.

Dans l’optique d’un BTS, vous pouvez vous spécialiser en agroéquipement. Cette formation peut être complétée par une licence professionnelle technico-commerciale en agrofournitures. Vous pouvez aussi suivre une formation en agronomie ou production animale.

restauration commerciale

Découvrez le métier de restauration commerciale

Le chef de cuisine met sur pied les fiches techniques, assure la gestion des stocks et s’occupe de passer les commandes.

Interview

Descriptif du métier

Dans un établissement de restauration commerciale, la cuisine est l’un des services principaux. C’est là que s’organisent et se préparent tous les plats proposés sur les menus. Selon l’envergure de l’établissement de restauration, la cuisine peut être petite, moyenne ou grande. Sa gestion peut donc nécessiter une équipe dirigée par le chef de cuisine. En effet, le chef de cuisine est l’un des métiers phares de la restauration commerciale. Incursion dans le monde des professionnels de ce métier afin d’y découvrir les fonctions du chef de cuisine, ses qualités ainsi que les prérequis indispensables pour exercer ce métier.

Le responsable en restauration commerciale : qui est-ce ?

Le chef de cuisine est un professionnel qui a bénéficié d’une formation technique au sein d’une école d’hôtellerie. Il a, par la suite, acquis une grande expérience en travaillant pendant de nombreuses années. Le chef de cuisine travaille de concert avec d’autres professionnels faisant partie de son équipe. La gestion de la cuisine est la première responsabilité qui lui incombe.

L’évolution dans la carrière d’un chef de cuisine peut se manifester sous forme d’emploi dans un établissement de standing élevé. Il peut aussi se mettre à son propre compte ou prendre la direction d’une chaine de restaurant.

Que fait le responsable en restauration commerciale ?

Dans une cuisine traditionnelle, le chef de cuisine assure la supervision de toute son équipe. Le respect des règles d’hygiène, la qualité des plats et la cadence du travail dépendent de lui. C’est à lui qu’il revient d’établir la carte de menu selon les spécificités de l’établissement de restauration et les prix affectés à chaque plat par la direction. Il met sur pied les fiches techniques, assure la gestion des stocks et s’occupe de passer les commandes.

Par moment, il se charge de la négociation avec les fournisseurs. Son travail s’effectue en toute entente avec le patron ou le propriétaire de la société de restauration. Un chef de cuisine doit pouvoir épouser l’idéal de la maison où il officie.

Dans une entreprise de restauration à thème, le chef de cuisine doit avoir de l’expérience dans la gestion de cuisine à gros volume. Il est chargé d’organiser son équipe ainsi que le planning de cette dernière. La qualité et la cadence de travail sont sous sa supervision. Par ailleurs, il se doit de contrôler le respect des règles d’hygiène et des normes de sécurité. La carte de menu, les stocks ainsi que les commandes sont sous sa gestion. Il est responsable de sa cuisine, tout en étant en liaison avec une cuisine centrale qui est commune à tous les restaurants faisant partie de la même franchise. Il gère donc son équipe, tout en respectant non seulement les règles et procédures du groupe, mais aussi en ne s’éloignant pas de la thématique du restaurant.

Dans un restaurant gastronomique, le chef cuisinier est à la fois un gestionnaire et un cuisinier créatif. Il dirige toute une brigade constituée de chefs de partie, de commis et de second de cuisine. Le chef de cuisine d’un restaurant gastronomique maîtrise parfaitement la cuisine traditionnelle de haut niveau. Cette maîtrise est bien souvent acquise grâce à de nombreuses années passées à travailler dans des cuisines étoilées. Il doit être doté d’une grande imagination et d’une grande inventivité afin d’insuffler un style de cuisine originale à son établissement.

Dans une brasserie, le chef de cuisine s’occupe de la mise au point de la carte et des recettes de concert avec le chef d’établissement ou le chef d’exploitation. La cuisine que réalise un chef de cuisine dans une brasserie est une cuisine de bistrot. Il a à sa disposition une équipe dont l’importance varie selon que l’établissement est petit, moyen ou grand. Ici aussi, il assure la gestion du stock et des commandes. Il s’occupe de négocier avec les fournisseurs et veille à ce que les règles d’hygiène soient rigoureusement respectées.

Dans un hôtel, le chef de cuisine assure les mêmes responsabilités que dans tout autre établissement. Cependant, il doit pouvoir adapter sa cuisine au style que propose l’hôtel et à la clientèle de ce dernier. Ses fonctions dans ce type d’établissement varient selon l’importance accordée à la restauration dans l’organisation de l’établissement. De ce fait, dans un petit hôtel, le cuisinier en chef supervise le restaurant sans pour autant s’occuper du room service ou du petit déjeuner.

Dans les établissements hôteliers de luxe, le chef de cuisine joue, en réalité, le rôle d’un chef exécutif. Il est beaucoup moins cuisinier que gestionnaire. Le savoir-faire du chef de cuisine est un atout principal pour la renommée de l’établissement. Pour officier dans un palace, le chef de cuisine doit avoir à son actif de nombreuses années d’expérience dans la cuisine de haut standing. Il s’occupe, au même moment, de plusieurs pôles de restauration. Il se charge à la fois du petit déjeuner, du bar, du room service, de la restauration gastronomique, de la brasserie, etc.

Dans un hôtel de luxe, le restaurant gastronomique est constitué d’une grande brigade d’agents de cuisine. Dans cette configuration, le chef de cuisine, dans son rôle de chef exécutif, doit respecter les consignes financières dictées par la direction de l’établissement hôtelier.

Autres appellations

  • Chef de cuisine
  • Chef
  • Traiteur

Savoir-faire & savoir-être

Un chef de cuisine doit être un cuisinier extraordinaire, et son talent doit être confirmé. Il doit avoir la capacité de mener des hommes. Il doit avoir des compétences d’organisation ainsi que de gestion. Le chef de cuisine doit être en mesure de faire un recrutement, donner une formation. Il doit avoir la capacité de construire son équipe et de la diriger. Il doit être d’une grande curiosité et d’une créativité sans limites. Le chef de cuisine doit maîtriser parfaitement les règles d’hygiène et de sécurité.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir chef de cuisine, vous devez être titulaire du CAP tout au moins. Néanmoins, avec un BTS, vous êtes mieux préparé à ce métier. Ainsi, celui qui aspire au poste de chef de cuisine doit être muni d’un BTS en hôtellerie et restauration, option arts culinaires. Un Bac professionnel en restauration ou en hôtellerie peut également suffire pour prétendre au métier de chef de cuisine.

responsable des ventes

Découvrez le métier de responsable des ventes

Le responsable de ventes établit de nouvelles stratégies avec son équipe dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Interview

Descriptif du métier

L’industrie du commerce regroupe plusieurs métiers exercés par des professionnels chevronnés. Chacun de ces métiers exige de la rigueur, de la passion, l’amour de la qualité et du travail bien fait. Chargé d’encadrer une équipe de commerciaux, le responsable des ventes ne déroge pas à la règle. Rôle principal, missions, prérequis, compétences, formations, découvrez l’essentiel sur ce métier.

Le responsable des ventes dirige une équipe. Sa principale fonction est d’accroître les chiffres de ventes d’un secteur ou dans une zone géographique précise.

Le responsable des ventes : qui est-ce ?

Le responsable des ventes est sur le terrain et il manage une équipe de commerciaux. Il doit booster les ventes de son entreprise. La pression induite par les objectifs à atteindre est également présente dans le quotidien d’un responsable de ventes. En progressant dans sa carrière, un responsable des ventes peut être promu au poste de directeur commercial. Ce professionnel peut travailler dans les secteurs de l’alimentation, dans la distribution ainsi que dans de nombreux autres secteurs. Son savoir-faire est transposable à tous les domaines d’activités. C’est donc un métier qui offre des débouchés et des perspectives enrichissantes.

Que fait le responsable des ventes ?

Le responsable des ventes accompagne les commerciaux au quotidien, et répond à leurs besoins, tout en mettant en place un bon encadrement. Il se charge de recruter et d’intégrer à son équipe de nouveaux commerciaux s’il y a lieu de le faire. Il veille à l’atteinte des objectifs fixés par la direction en usant de tous les moyens à sa disposition.

Le responsable des ventes doit organiser des réunions chaque semaine avec son équipe de commerciaux afin de faire un point, mais aussi échanger. Il devra discuter et établir de nouvelles stratégies avec son équipe toujours dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Chaque phase du processus de vente est sous sa supervision. Partant de la livraison des produits à vendre jusqu’au moment de l’encaissement, il a l’œil sur tout. Il doit régulièrement s’assurer de la disponibilité des produits et veiller à ce qu’ils soient livrés dans les temps. Il se charge de vérifier les factures impayées et de relancer les débiteurs.

En cas de litige avec un client, il intervient et règle le problème. Il élabore des solutions pour prévenir d’éventuels écarts et s’occupe de la mise en place d’actions correctives.

En étroite relation avec sa direction, il doit fréquemment réaliser des rapports ainsi que des tableaux de bord. Il doit dialoguer avec son équipe et être à l’écoute de ses collaborateurs. Il doit savoir les motiver et les faire progresser dans leurs pratiques. Il s’occupe de planifier l’emploi du temps de ses collaborateurs et de réaliser des témoins des résultats espérés. Maîtrisant les normes relatives à l’hygiène, au respect de l’environnement, à la qualité et à la sécurité, il veille au respect strict de ces dernières.

Le respect de ces normes est d’autant plus rigoureux quand il a à charge des produits périssables. Dans le cadre de sa fonction, il est en contact permanent avec les fournisseurs. L’une de ses missions est de faire des propositions à la direction pour l’évolution de son secteur.

Autres appellations

  • Chef de secteur
  • Responsable export
  • Responsable de secteur
  • Responsable grands comptes
  • Responsable commercial

Savoir-faire & savoir-être

Le responsable des ventes est à la disposition des clients, de ses supérieurs hiérarchiques, des fournisseurs et des membres de son équipe. Étant sollicité constamment de part et d’autre, il doit avoir un physique solide et un mental fort. Un responsable de vente doit naturellement aimer les défis.

Pour bien encadrer son équipe de travail, il se doit d’être capable d’affirmer son autorité. Il est à la fois autoritaire et fin diplomate. Il doit avoir et développer une bonne capacité d’écoute afin de pouvoir bien accompagner ses collaborateurs.

Le responsable des ventes est, sans nul doute, un bon communicateur. En plus d’être un bon manager, le responsable des ventes doit maîtriser parfaitement l’art de la négociation ainsi que les techniques de vente. Il doit aussi connaître des notions de pédagogie puisqu’il est chargé de dispenser des formations à ses collaborateurs. Aussi, il doit avoir une culture commerciale importante et être doté d’un sens élevé des responsabilités. Il doit savoir organiser.

Le responsable des ventes est un compétiteur par excellence. Il aime quand ça bouge et s’implique corps et âme dans chaque mission pour l’atteinte des objectifs fixés.

Il doit être enthousiaste, doté d’un grand dynamisme, fort réactif, rigoureux et fédérateur. Quand cela s’avère nécessaire, le responsable des ventes doit pouvoir remettre en question ses choix. Être polyglotte ou tout au moins avoir une bonne maîtrise de l’anglais est un atout pour un responsable des ventes. Il doit être à l’aise avec les chiffres.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour espérer devenir responsable des ventes, il faut acquérir des diplômes. Il faut ensuite exercer dans les domaines de l’action commerciale et de la vente afin de gagner en expérience. La formation pour obtenir les diplômes menant à ce métier peut durer deux ou trois ans.

Il est donc possible d’exercer ce métier avec :

  • un BTS technico-commercial;
  • un BTS en négociation et relation client;
  • un DUT techniques de commercialisation
  • une licence professionnelle de responsable des ventes.

Il faut, en particulier, une licence professionnelle en commerce international ou une licence professionnelle en gestion de point de vente.

De même que la licence professionnelle, avoir un diplôme plus élevé est un atout pour occuper des postes importants. Ainsi, un master en commerce marketing ou un master en management et commerce international peut vous conduire au poste de responsable des ventes et bien plus.

crémier fromager

Découvrez le métier de crémier.ère-fromager.ère

Le crémier-fromager a une connaissance aiguisée des fromages. Il déniche des productions rares et goûteuses et met en lumière le travail réalisé par des fermiers qui soignent leurs animaux et offrent une production laitière de
qualité puis une transformation riche et variée en différents fromages. Il gère, l’approvisionnement, la commercialisation du produit, le conseil à sa clientèle.

Interview

Descriptif du métier

Le crémier-fromager exerce un véritable métier passion. Il doit tout savoir sur l’approvisionnement et le stockage des fromages, les soins à leur apporter.
On dit que la France est le pays des 1000 fromages… cela permet de proposer aux consommateurs des fromages très différents pour que chacun y trouve son plaisir.
Le crémier-fromager s’occupe, comme nous l’avons dit, de la vente.
Mais, il devra connaître également la réglementation, la vente, la gestion de la logistique. Il doit également savoir gérer sa petite entreprise et avoir des notions sur la gestion financière, le marketing, le juridique, des aspects du métier moins visibles pour le public mais essentiels pour la viabilité de l’activité.

Le crémier fromager : qui est-ce ?

Il est un vrai expert de tout ce qui touche au fromage : les différentes variétés, sans oublier les saveurs. Il va même au-delà en étant à la recherche de nouvelles compositions, de nouveaux mélanges pour varier les saveurs et les rendre uniques.
Le crémier-fromager est un amoureux du fromage. Le métier de fromager implique d’avoir certaines aptitudes sensitives. Ces aptitudes concernent notamment le goût (car il faudra régulièrement goûter les fabrications et les stades d’affinage).
En dehors du goût, il est important d’avoir un bon sens du toucher. Il importe de bien maîtriser l’odeur du fromage à ses différentes étapes de préparation. Pour vous familiariser avec l’odeur si particulière du fromage, vous pouvez commencer par fréquenter les ateliers de production.
Vous avez également besoin d’avoir un bon contact et l’approche facile avec vos interlocuteurs. C’est important dans la mesure où, outre la production de fromage, vous êtes un commerçant de proximité. Il est important alors de savoir établir et maintenir de bons rapports avec vos clients.
Au-delà de la vente, vous devez anticiper les besoins en leur donnant quelques conseils afin qu’ils puissent savourer au mieux les fromages que vous leur offrez. Vous pouvez leur faire découvrir de nouvelles saveurs, voire leur proposer des associations avec d’autres aliments ou boissons qui agrémenteront leur dégustation.
Il convient d’ajouter qu’être crémier-fromager, c’est avoir un sens accru de l’hygiène et une connaissance des normes en matière de sécurité alimentaire. Il importe aussi d’être au fait des textes relatifs au secteur agricole et tout ce qui s’y rattache.

Que fait le crémier fromager ?

Au-delà des différentes tâches qu’il doit accomplir, le crémier-fromager doit également savoir travailler en équipe. Il peut arriver qu’il ait sous sa responsabilité des salariés. La mise en valeur des fromages en vitrine est un atout majeur ainsi que savoir parler de ses fromages. Rentrer sur une boutique ou un stand de marché, doit mettre en appétit le client. Il faut vraiment savoir valoriser les fromages dans la présentation des vitrines. Il doit leur transmettre ses connaissances dans un climat chaleureux, convivial, propice au partage et aux échanges. Il doit être doué pour la promotion, communication, innovation.

Autres appellations

  • Fromager ;
  • Crémier ;
  • Technicien fromager ;
  • Affineur fromage ;
  • Fromager-affineur.

Savoir-faire & savoir-être

Le métier de crémier-fromager exige de la part de l’artisan du professionnel qu’il soit méticuleux. Le goût du détail est primordial, car rien ne doit être laissé au hasard. À chaque étape, pas à pas, les soins doivent être précis et exacts.
Le métier exige donc un savoir-faire important.
Il est crucial d’être attentif aux différents niveaux de la transformation du fromage et d’avoir le flair qui s’y rattache afin d’avoir le bon geste. Les machines existent pour accélérer la fabrication et accroître la production. Cependant, elles ne pourront jamais se substituer à l’intuition et à la connaissance qui caractérisent un bon fromager.

Les formations qui mènent à ce métier

C’est un métier qui requiert des connaissances précises qui peuvent être acquises à l’issue de certaines formations professionnelles. Les domaines concernent à la fois l’univers technique de l’industrie laitière et la vente. Pour devenir crémier-fromager, en fonction de la destination finale de l’exercice de ces fonctions ; il faut disposer de :
  • CAP EVS (Employé de vente spécialisé), option A : produits alimentaires
  • CAP ECMS (Employé de commerce multi-spécialités)
  • MC Vendeur spécialisé en alimentation
  • Bac Pro Commerce
  • Bac Pro A Vente et conseil qualité en produits alimentaires
  • Bac Pro AG Technicien conseil et vente de produits alimentaires
  • BTS A Technique de commercialisation de produits alimentaires
  • CQP Vendeur-Conseil en Crémerie-Fromagerie
  • CAP crémier-fromager.
picto banquier

Découvrez le métier de Conseiller.ère marché agricole des réseaux bancaires

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées.

Descriptif du métier

Les métiers de la banque et de l’assurance sont variés. Les clients ont besoin de conseils et de suivis, et il faut un professionnel à leur disposition pour les aider à trouver satisfaction. C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller bancaire/assurance. Il s’agit d’un acteur qui remplit plusieurs missions qui concourent au maintien et à la fidélisation des clients. Il veille sur les intérêts de ses clients et s’assure de ce que ces derniers trouvent entière satisfaction.

Le secteur de la banque et de l’assurance est très concurrentiel, et les clients sont capricieux et volatiles. Une assistance personnalisée est parfois nécessaire pour les aider à trouver ce qu’ils veulent et aussi pour les fidéliser. Le conseiller bancaire/assurance est la personne qui est chargée de cette lourde tâche. Il a aussi le devoir d’accroître son portefeuille en prospectant de nouveaux clients.

Vous avez déjà entendu parler du conseiller bancaire/assurance, mais ne savez pas en quoi consiste le métier ? On vous donne toutes les informations à ce sujet dans la présente fiche métier.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires : qui est-ce ?

Le conseiller bancaire/assurance est un salarié qui évolue dans les banques, les assurances et les institutions de crédit. Dévoué et prompt, il aime relever des défis et a le sens des responsabilités. Il occupe une place importante dans les activités bancaires, car les clients qui lui sont assignés passent par lui pour tous leurs besoins.

Que fait le conseiller marché agricole des réseaux bancaires ?

Le métier touche essentiellement au maintien et au développement de la clientèle. Sa mission est d’augmenter son portefeuille clientèle et de suivre l’évolution des comptes de ses clients. Selon la taille de la structure qui l’emploie, il peut se retrouver avec 100 ou 700 clients venant d’horizons divers : commerçants, étudiants, particuliers, artisans, PME/PMI, etc.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées. Il peut s’agir d’une demande de crédit, d’un besoin de placement ou d’une demande de découvert. Pour cela, il doit collecter et analyser les données financières des clients, et évaluer les besoins de garantie. C’est lui qui monte les dossiers de crédit dans le strict respect des procédures.

Dans le cas de lancement de nouveaux produits, il est amené à les présenter à ses clients et les aider à faire le meilleur choix. Si un incident survient, il contacte ces derniers pour s’informer sur leurs difficultés et essayer de leur apporter des solutions. Si nécessaire, il peut aviser la hiérarchie pour décision à prendre.

En plus d’être un conseiller, il a aussi l’obligation de fidéliser ses clients. Pour cela, il peut être amené à accorder certaines concessions. Il est soumis à des objectifs chiffrés, c’est pourquoi il doit constamment prospecter de nouveaux clients et développer des stratégies et des arguments pour les convaincre. En outre, il doit faire la promotion des nouveaux produits et proposer des solutions financières adaptées au besoin et à la situation de chacun de ses clients.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à la fois un homme de terrain et un professionnel qui travaille au bureau. Dans l’exercice de sa profession, il peut être amené à faire des descentes sur le terrain pour rencontrer ses clients dans leur environnement et analyser leurs problèmes. Il peut aussi aller à la rencontre de nouveaux clients pour leur proposer ses produits.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires surveille, au quotidien, les comptes clients et n’hésite pas à faire des relances en cas de retard des paiements. Il actualise également ses données afin que les comptes reflètent la réalité.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires participe aux réunions du comité de crédit et émet son avis sur les décisions prises. Si un client ne mérite pas d’obtenir un crédit ou si un compte doit être suivi de près, il est de son devoir de le signaler.

Périodiquement, il rend compte à la hiérarchie de l’évolution de ses activités. Il peut être amené à effectuer des opérations courantes comme tenir la caisse, accueillir et orienter les clients ou régler de simples sinistres.

Autres appellations

  • Chargé de comptes clients
  • Chargé de clientèle

Savoir-faire & savoir-être

Devenir conseiller bancaire/assurance demande certaines qualités. Il doit :

  • Connaître les produits vendus par son entreprise et la réglementation bancaire et de l’assurance
  • Avoir un goût pour les chiffres avec une bonne base en comptabilité.
  • Évaluer les risques et suivre constamment l’évolution du marché.

C’est également un bon commercial qui sait construire un argumentaire de vente. Il doit aussi savoir quand effectuer des relances (prospects, retard de paiements).

Sur le plan personnel, le conseiller bancaire doit être dynamique, méthodique et organisé. C’est un bon communicateur, et il sait travailler en équipe ou en autonomie. C’est une personne qui est capable de prendre des initiatives. Il a aussi une bonne capacité d’analyse et sait se maîtriser dans les situations de stress. C’est également une personne discrète.

Les formations qui mènent à ce métier

Le conseiller bancaire/assurance est recruté généralement avec un Bac+2 au minimum. Il peut aussi avoir une licence professionnelle. Néanmoins, le niveau le plus recherché est le Bac+5 qui offre plus de perspectives d’évolution.

Vous pouvez suivre une formation en continu ou en alternance dans les domaines suivants :

  • Management des unités commerciales
  • Négociation commerciale
  • Gestion des entreprises
  • Finance comptabilité
  • Assurance banque et finance, ou banque avec option en marchés particuliers.

Au niveau master, ce sera le master en monnaie, banque ou assurance.

chef de rayon fromagerie et ls

Découvrez le métier de chef de rayon fromagerie et LS

Le chef de rayon fromagerie et libre service s’occupe d’animer, d’approvisionner et de renouveler régulièrement son rayon.

Interview

Descriptif du métier

Dans le secteur du commerce, plusieurs métiers se côtoient et collaborent quotidiennement pour assurer une meilleure vente des produits. Parmi ces métiers se retrouve celui du chef de rayon. Il est chargé de la gestion et de la supervision des rayons qui lui sont confiés. Les produits meublant ses rayons dépendent de la catégorie des rayons qu’il a à sa charge. Ainsi, il est possible de distinguer un chef de rayon boucherie, un chef de rayon produit non alimentaire ou un chef de rayon fromagerie. Focus sur le chef de rayon fromagerie, ses responsabilités et les compétences requises pour exercer ce métier.

Le chef de rayon fromagerie et LS : qui est-ce ?

Le chef de rayon fromagerie est issu d’une formation commerciale. Sous la tutelle du chef de secteur frais, le chef de rayon fromagerie gère les rayons qui lui ont été confiés en toute autonomie. C’est une personne organisée et rigoureuse. Ce professionnel participe activement à la vente et garantit la bonne qualité du service à la clientèle. Il opère en tenant compte de la politique commerciale de son établissement, et ceci, dans le respect des règles et normes en vigueur.

Ce professionnel remplit ses fonctions à l’intérieur de moyennes et grandes surfaces. Il opère dans les grands magasins, les supérettes, les enseignes de distribution populaires. Les conditions de travail du chef de rayon fromagerie dépendent de l’envergure de l’établissement et du mode d’organisation. Ainsi, le chef de rayon fromagerie peut être sollicité en fin de semaine comme lors des jours fériés. Son emploi du temps peut subir des variations selon les saisons.

Que fait le chef de rayon fromagerie et LS ?

L’une des missions principales du chef de rayon fromagerie est de faire la mise en scène du rayon. En d’autres termes, il s’occupe d’animer, d’approvisionner et de renouveler régulièrement son rayon. D’une enseigne à l’autre, le chef de rayon fromagerie peut être plus ou moins libre de choisir les gammes de produits à aligner dans son rayon sans avis préalable de la centrale d’achats. Il réceptionne les produits et marchandises, et choisit où les installer dans son rayon.

Sa stratégie d’implantation des produits peut être fonction des tendances du moment, des saisons, etc. Elle peut aussi dépendre de la campagne publicitaire que fait une marque autour d’un de ses produits. Il a la possibilité de mettre en place des actions promotionnelles favorisant la vente des produits de son rayon. Il se charge d’analyser les statistiques de ventes, et propose des solutions pour améliorer les chiffres.

Le chef de rayon fromagerie est aussi chargé de la gestion des stocks. Depuis un ordinateur, il vérifie régulièrement le stock afin qu’il n’y ait ni de manque ni de surplus. Il identifie les produits qui nécessitent un approvisionnement, et il passe les commandes. Il veille à ce que les linéaires soient propres et attrayants. Aussi, il doit se charger de vérifier si les produits sont bien étiquetés. Le chef de rayon fromagerie s’occupe aussi de recruter, de gérer, de former et de motiver son équipe de vente.

Le chef de rayon fromagerie fait les inventaires des produits, répertorie les produits non vendus et effectue des échanges ou des remboursements. Il effectue une veille concurrentielle constante. Il est constamment à l’affût des promotions et des tarifs proposés par la concurrence. En outre, il conseille, fidélise et veille à la satisfaction de sa clientèle. Pour mieux répondre aux besoins des clients, il se charge des retours clients.

L’évolution de la carrière d’un chef de rayon fromagerie est horizontale comme verticale. Après avoir acquis de l’expérience dans la gestion d’un rayon, il peut se voir en confier plusieurs autres. Il devient, de ce fait, chef de secteur ou chef de département. Il peut également être promu, tout en ayant à sa charge un seul rayon.

Mais dans ce cas, le chiffre d’affaires de ce rayon est beaucoup plus élevé. Dans sa carrière, le chef de rayon peut aussi être promu comme directeur de magasin. Étant donné que plusieurs enseignes de distribution ont des filiales à l’étranger, le chef de rayon fromagerie peut aller exercer à l’étranger.

Dans sa progression, le chef de rayon de fromagerie peut occuper aussi des postes dans les domaines de la relation commerciale, entreprise et grands comptes, marchandisage. Il peut être aussi formateur en commerce et vente.

Autres appellations

  • Responsable de rayon fromagerie
  • Chef de rayon crèmerie-fromagerie

Savoir-faire & savoir-être

Un chef de rayon fromagerie doit être dynamique et pouvoir alterner entre missions sur le terrain et gestion de son rayon. Il doit être autonome, créatif et rigoureux, et avoir une grande passion pour le commerce. Il doit savoir gérer une équipe et avoir le sens de l’écoute. Le chef de rayon de fromagerie doit maîtriser la gestion d’un compte d’exploitation. Il doit avoir une maîtrise parfaite des normes de sécurité alimentaire et des règles d’hygiène.

Le chef de rayon fromagerie doit s’y connaître en merchandising ainsi qu’en techniques commerciales. Il doit pouvoir faire le contrôle de la conformité d’un produit et de son état de conservation s’il s’agit d’un produit périssable. Il doit avoir la maîtrise des règles relatives à la rotation de produits alimentaires.

Un chef de rayon de fromagerie doit pouvoir faire une appréciation sensorielle de son produit qu’est le fromage. Il doit connaître les caractéristiques des fromages et leurs conditions d’affinage. Il doit savoir découper manuellement le fromage. Cet acteur doit connaître le processus de fermentation des fromages.

Le chef de rayon en fromagerie doit avoir des compétences de base en gestion des ressources humaines et en statistiques. Il doit pouvoir lire un tableau de bord ainsi que les indicateurs de suivi d’activité. Le chef de rayon en fromagerie doit savoir utiliser les applications de gestion de stocks et aussi les lecteurs de codes-barres.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour accéder au métier de chef de rayon en fromagerie, il vous faut avoir, tout au moins, un Bac professionnel ou général. Les personnes titulaires d’un DUT ou d’un BTS en vente, commerce ou distribution peuvent aussi prétendre à ce métier. Ceux qui ont un CAP ou un BEP en vente ou en commerce doivent d’abord faire quelques années d’expérience dans le secteur du commerce et de la vente avant d’embrasser ce métier.

Découvrez le métier de chauffeur.se ramasseur.se

Avec un permis de conduire poids lourd ou super poids, le chauffeur ramasseur effectue également plusieurs actions rattachées à la sécurité sanitaire et au contrôle de la qualité du lait.

Interview

Descriptif du métier

À l’instar du chef de l’exploitation laitière, du vétérinaire, de l’inséminateur et des ouvriers fermiers, le chauffeur ramasseur est un acteur important du secteur laitier. Même si son appellation laisse penser qu’il joue le rôle d’un conducteur classique, les missions de ce professionnel surpassent la simple conduite d’un camion. Travailleur très mobile, il fait le tour des exploitations laitières pour acheminer le lait issu de la traite vers la laiterie. Rigoureux, il fait attention aux moindres détails en vue de préserver la qualité des produits transportés.

Dans cette fiche métier, nous faisons un grand format sur la fonction du chauffeur ramasseur en mettant un point d’honneur sur les missions accomplies par ce professionnel, les connaissances pratiques et les qualités requises pour exercer le métier.

Le chauffeur ramasseur : qui est-ce ?

Le chauffeur ramasseur peut être un homme ou une femme. Titulaire d’un permis de conduire poids lourd ou super poids, le chauffeur ramasseur ou la chauffeuse ramasseuse travaille généralement pour le compte d’une société laitière ou d’une mutuelle de laiterie. Lève-tôt et tenace, le chauffeur ramasseur brave les intempéries pour se rendre dans les exploitations laitières qui lui sont assignées. Son rôle consiste à transporter le lait d’un point (la ferme) à un autre (la laiterie).

Que fait le chauffeur ramasseur ?

Le chauffeur ramasseur assure la réalisation de plusieurs tâches. Si conduire son camion isotherme d’un endroit à un autre est le socle de sa profession, il réalise, cependant, plusieurs actions rattachées à la sécurité sanitaire et au contrôle de la qualité.

Le chauffeur ramasseur s’imprègne des différentes consignes et indications établies pour la réussite de sa tournée. Ainsi, il prend notamment connaissance de la tournée des exploitations laitières à parcourir pour collecter le lait qui sera convoyé vers la laiterie.

Dès qu’il est briefé sur les trajets à effectuer, le chauffeur ramasseur se rend chez les fermiers tôt le matin. Après les civilités et les formalités d’usage, il s’attaque au premier chantier de sa longue mission : la collecte du lait frais. Par jour, le chauffeur ramasseur extrait des milliers de litres de lait dans son camion-citerne.

Cependant, avant de procéder à la collecte du lait, le chauffeur ramasseur s’attelle à une tradition très importante : la jauge du tank. Jauger le tank consiste à évaluer la contenance de la cuve réfrigérée afin de déterminer la quantité précise de lait qui s’y trouve.

Le jaugeage de la cuve permet d’obtenir les données nécessaires à la facturation du producteur. En effet, c’est en fonction du volume du lait recueilli par le chauffeur ramasseur que le fermier est payé.

La présence du fermier ou de ses mandataires est requise pour les besoins de fiabilité. Dès qu’il finit de jauger la cuve réfrigérée du fermier, le chauffeur ramasseur inscrit les quantités de lait obtenues dans son cahier de bord. Il réalise la même opération sur le cahier de bord ou le registre des fermes.

Après la conclusion de cette première tâche, le chauffeur ramasseur met le cap sur la seconde opération qui consiste à prélever deux échantillons du lait jaugé. Cette tâche requiert un maximum de précautions liées à l’hygiène. En effet, il sera question d’utiliser une technique précise et fiable pour éviter l’infection des échantillons par des agents bactériens externes.

L’évaluation de la qualité de l’ensemble du lait extrait dans la cuve réfrigérée du fermier est basée sur les deux échantillons prélevés par le chauffeur ramasseur. Le prix d’achat du lait par les usines de transformation laitière dépend intrinsèquement de sa qualité à la base.

Dès que le prélèvement des échantillons est effectué avec succès, le chauffeur ramasseur passe à la troisième étape de sa mission : pomper le lait de la cuve. Le pompage du lait frais se fait à l’aide d’un tuyau volumineux. Après cette opération, le chauffeur ramasseur démarre son camion et parcourt d’autres exploitations laitières pour collecter du lait.

À la fin de la tournée de collecte, le chauffeur ramasseur conduit son camion isotherme vers la laiterie. Après avoir nettoyé et pesé le camion-citerne, il effectue un dernier prélèvement en vue de certifier la conformité du lait. Lorsque le lait est jugé conforme, on procède au raccordement de la citerne de lait aux cuves de stockage de la laiterie : c’est le dépotage.

Après le dépotage du lait, le chauffeur ramasseur se charge du nettoyage du camion vidé. L’entretien du camion doit être fait avec le plus grand soin. En effet, le responsable qualité de la laiterie effectue un contrôle dans le but de vérifier l’état du camion.

Autres appellations

  • Chauffeur ramasseur collecteur de lait
  • Collecteur

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice du métier de chauffeur ramasseur requiert des connaissances spécifiques et des qualités précises.

En effet, le chauffeur ramasseur se doit d’être un excellent conducteur. Ses connaissances en conduite doivent dépasser le simple usage des voitures personnelles. L’obtention d’un permis poids lourd ou super poids est incontournable pour la pratique de la profession. Le chauffeur ramasseur doit pouvoir conduire en présence de sérieux obstacles ou intempéries (neiges, pluies diluviennes, chaleur…).

Le chauffeur ramasseur possède également de solides savoirs et acquis en contrôle de qualité, sécurité sanitaire et stockage de produits laitiers.

En ce qui concerne le volet qualité, le chauffeur ramasseur aime le contact humain et tisse une relation amicale avec les éleveurs. Rigoureux et fiable, il est juste sur les chiffres concernant le volume de lait extrait.

Pour finir, le chauffeur ramasseur est une personne très ponctuelle.

Les formations qui mènent à ce métier

Généralement, les titulaires d’un permis de conduire poids lourd ou super poids sont embauchés au poste de chauffeur ramasseur. Cependant, ils bénéficient d’une formation initiale à l’interne sur les procédures de contrôle de qualité et les modalités de prélèvement.

Par ailleurs, les personnes ayant obtenu un CAP dans les filières Mécanicien automobile et Conduite routière sont qualifiées pour exercer la profession de chauffeur ramasseur.

agent relation producteurs picto

Découvrez le métier de agent relation producteurs

L’agent de relation avec les producteurs laitiers (aussi appelé ARC, Agent Relation Culture) est le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les éleveurs. Il doit être un bon technicien d’élevage.

Interview

Descriptif du métier

La production des produits laitiers est un ensemble de processus impliquant un nombre considérable de travailleurs ou de collaborateurs. Au nombre de ceux-ci figure l’agent de relation avec les producteurs de la matière première que constitue le lait. Si ce métier vous plait, voici une fiche métier abordant toutes les questions concernant le métier d’agent de relation avec les producteurs ou fournisseurs de lait.

L’agent relation producteurs : qui est-ce ?

Vous en avez peut-être déjà entendu parler, mais vous n’y avez jamais accordé d’importance. L’agent de relation avec les producteurs laitiers est un maillon de la chaine de production du lait. Cet acteur clé joue un rôle important dans la qualité du lait qui est l’élément phare de tous les produits laitiers dérivés. Il représente le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les fournisseurs de lait. Dans ce cadre, il se doit de rechercher un bon compromis entre sa structure d’accueil et les fournisseurs de lait. Pour obtenir de bonnes performances, un certain nombre de missions doivent faire partie du quotidien de l’agent de relation avec les producteurs laitiers.

Que fait l’agent relation producteurs ?

L’agent de relation avec les producteurs laitiers se doit d’enchaîner rigoureusement un certain nombre de missions pour l’essor de la structure qui l’emploie. Ces missions se déclinent en quelques points qui seront expliqués.

Agent de contact

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est le contact entre l’industrie laitière dont il est l’employé et les fournisseurs de lait. Il va sans dire donc que la bonne qualité du lait dépend de l’expertise de cet employé. Il est, par conséquent, le garant de la qualité du lait et de ses produits dérivés.

Un vrai contremaître

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est d’une rigueur sans faille quand il passe en mode contremaître. Cette facette de son métier consiste à suivre les différentes étapes de passage du lait depuis sa livraison à son usage, en passant par le traitement et les conditions de conservation. Par ailleurs, il doit être un pro dans l’art de convaincre.

Un pro dans l’art du marketing et de la négociation

L’agent de relation avec les fournisseurs de lait a des notions en matière de gestion des ressources humaines, mais doit aussi savoir convaincre. Hormis le fait de trouver, pour l’usine laitière, les meilleurs fournisseurs de lait frais de qualité, l’agent de relation avec les producteurs de lait doit savoir comment fidéliser chacun de ses fournisseurs dans ce monde de concurrence où la demande est parfois supérieure à l’offre. Pour cela, il doit savoir faire des compromis avec ces derniers tout en respectant les exigences imposées dans le cahier des charges de l’entreprise. Un partenariat gagnant-gagnant dans la limite du possible est envisageable afin de se garantir les prestations d’un fournisseur quelconque, surtout en période de pénurie.

L’art de s’adapter aux aléas de son métier

Le contenu du cahier des charges de l’entreprise dont dépend l’agent de relation vis-à-vis des producteurs laitiers peut évoluer. Le promoteur de sa structure d’accueil peut, par exemple, décider de la suppression ou du changement d’une méthode de conservation du lait produit. Il peut aussi insister sur le fait de revoir l’alimentation des vaches. Il appartient donc à l’agent de relation avec les producteurs d’intégrer les exigences et de l’imposer, de façon subtile, aux fournisseurs. Il lui faut donc trouver le bon compromis entre l’industrie laitière et les fournisseurs afin que les deux parties obtiennent satisfaction. Il doit conseiller et rassurer le producteur pour répondre aux exigences de la laiterie.

Autres appellations

  • Agent de relation avec les fournisseurs de lait
  • Agent relation culture (ARC)

Savoir-faire & savoir-être

Pour exercer le métier d’agent de relation avec les producteurs de lait, il faut nécessairement avoir un certain nombre de compétences et de qualités.

Ainsi, il doit :

  • avoir un bon tempérament qui sera pour lui un avantage de taille dans les situations de conflits d’intérêts.
  • être de bonne moralité et être digne de confiance (qualité nécessaire pour le climat des affaires et de la négociation).
  • être rigoureux et intransigeant dans le respect du contenu du cahier des charges de la laiterie.

Les fournisseurs ont tendance à voir dans cette rigueur de la dureté, mais ignorent que les ordres ne viennent pas directement de lui. Par ailleurs, il doit avoir un esprit d’analyse très poussé afin de prendre, chaque fois, les décisions qui avantagent la laiterie dont il est l’employé.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier d’agent relation producteurs nécessite certaines formations. Si vous aspirez à cette carrière en tant qu’ARC, vous avez choisi d’exercer un métier prometteur. Cependant, voici quelques critères que vous devez remplir.

  • Avoir un BAC+2 dans le domaine agricole (formation de base) ;
  • Avoir fait une spécialité dans le domaine laitier est un vrai atout ;
  • Avec un BTS agricole en production animale ou en analyse et conduite de systèmes d’exploitation.
restauration collective

Découvrez le métier de restauration collective

Le responsable des achats en restauration collective veille à ce que le menu respecte un bon équilibre alimentaire.

Interview

Descriptif du métier

La restauration fait partie des secteurs d’activités où le respect rigoureux des règles d’hygiène et de sécurité est indispensable. Par ailleurs, en restauration collective un certain suivi de l’approvisionnement, de la production et de la gestion en général est nécessaire. C’est alors qu’intervient le responsable des achats en restauration collective. Il s’occupe de diverses fonctions telles que le contrôle et la supervision de plusieurs centres de restauration collective. Il agit en tenant compte des exigences en matière de qualité ainsi que des règles de sécurité et d’hygiène alimentaire de l’établissement où il intervient. Découvrez le métier de ce professionnel, les missions qui y sont attachées ainsi que les compétences requises pour l’exercer.

Le responsable en restauration collective : qui est-ce ?

Les missions du responsable des achats en restauration collective sont généralement effectuées à l’intérieur d’une collectivité ou d’une entreprise. En effet, ce professionnel est présent dans les cantines d’hôpitaux, les restaurants d’administration, les cantines d’établissements d’enseignement, le mess dans l’armée, etc.

Il est bien souvent en contact avec d’autres responsables à divers niveaux de la chaine de fonctionnement de l’entreprise ou de la collectivité. Ainsi, il peut être en liaison avec le directeur d’établissement, les fournisseurs de vivres et matières premières, le chef de cuisine, les agents des services d’hygiène, etc.

Les conditions dans lesquelles il travaille dépendent du fonctionnement et de l’organisation de la collectivité où il exerce. La restauration dans certains établissements peut se faire en différé ou en direct. De ce fait, le responsable des achats peut être amené à exercer ses fonctions en fin de semaine ou pendant les jours fériés. Maîtriser les normes relatives à l’hygiène et à la sécurité alimentaire est une condition non négociable pour faire ce métier.

Tout le long de son parcours, après avoir acquis de l’expérience, un responsable des achats en restauration collective peut espérer occuper diverses postes de responsabilités. Il s’agit notamment de fonctions telles que :

  • Formateur en hôtellerie et restauration ;
  • Directeur d’une PME (petite et moyenne entreprise).

Que fait le responsable en restauration collective ?

Le responsable des achats en restauration collective est chargé de la supervision des menus du restaurant. Il contrôle la composition des menus proposés et veille à ce qu’il respecte un bon équilibre alimentaire. Il s’assure également que le coût de revient de la production de ces menus respecte les exigences de la direction de la collectivité.

Le responsable des achats en restauration collective fait une vérification régulière de l’état des stocks et s’occupe de la préparation des commandes reçues. En fonction de l’état du stock, il définit les différents produits dont l’approvisionnement est nécessaire. Il se charge de la mise en place d’actions préventives pour prévenir les différents erreurs et écarts qui pourraient subvenir.

Au cas où les mesures préventives échoueraient, il devrait prévoir des mesures correctives. Il s’occupe aussi de vérifier si une norme d’hygiène adoptée est effectivement appliquée. À cet effet, l’entretien des équipements et accessoires de cuisine professionnelle est une tâche obligatoire pour le responsable des achats en restauration collective.

Le responsable des achats en restauration collective s’occupe également des tâches administratives. Il s’agit, en particulier, de gestion comptable et administrative. Il s’occupe de l’organisation de l’emploi de temps du personnel et vérifie tous les éléments d’activité du personnel. Il lui incombe de faire un suivi budgétaire, de dresser un inventaire ou de mettre sur pied une enquête de satisfaction.

Le responsable des achats en restauration collective peut également se retrouver en cuisine. Il peut être appelé à faire des plats pour des personnes sous traitement médical. Il peut aussi cuisiner pour des personnes âgées ainsi que pour des enfants.

Le professionnel chargé des achats en restauration collective a pour mission de faire la sélection des fournisseurs. Hormis les fournisseurs, il doit aussi faire le choix des sous-traitants et des prestataires. Il doit aussi s’occuper de la supervision du circuit de livraison. En outre, il doit veiller à ce que les ressources alimentaires disponibles ne soient pas gaspillées. Il peut aussi, si nécessaire, redéfinir les menus proposés afin d’être en phase avec les attentes des clients.

Le responsable des achats en restauration collective peut aussi diriger un établissement ou un centre de restauration collective. Il peut s’occuper du recrutement et de la formation du personnel. Il devra alors se rassurer que chaque personne recrutée maîtrise parfaitement toutes les techniques et procédures en vigueur au sein de la collectivité. Il a à charge de veiller sur les équipements et de déterminer s’il y a lieu de faire des travaux de rénovation d’une structure.

Autres appellations

  • Intendant
  • Gérant de restaurant de collectivité
  • Chef de secteur de restauration collective
  • Directeur de restaurant de collectivité
  • Chef de production en restauration collective

Savoir-faire & savoir-être

Un responsable des achats de restauration collective doit avoir des prérequis en gestion financière, comptable et administrative. Il doit s’y connaître en gestion des ressources humaines, en responsabilité sociétale des entreprises et en management.

Un bon responsable des achats maîtrise les techniques de planification, la gestion des stocks, les types de régimes alimentaires ainsi que la législation alimentaire. Il a et développe des compétences en diététique, en technique de recrutement, en technique de communication, en analyse statistique et en pédagogie.

Le gérant de restauration collective doit avoir une maitrise parfaite des logiciels de gestion de stocks et des logiciels comptables. Il doit maîtriser les outils bureautiques, et être en mesure de mettre en place des tableaux de bord. Il doit connaître le système HACCP ainsi que les normes relatives à la sécurité dans les établissements qui reçoivent du public. Il doit absolument s’y connaître en production culinaire et en techniques de liaison chaude/froide.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir responsable des achats en restauration collective, il faut suivre une formation en économat ou en gestion restauration collective.

Les formations en cuisine et gestion de cuisine permettent aussi d’embrasser ce métier.