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picto technico commercial en commerce d'animaux

Découvrez le métier de technico-commercial.e en commerce d’animaux

Le technico-commercial en commerce d’animaux achète les animaux vivants auprès des éleveurs et les revend à ses clients (reproducteurs, industrie de transformation).

Descriptif du métier

Le commerce d’animaux est un secteur particulièrement exigeant. La santé des animaux et leur bien-être sont primordiaux pour le développement de l’activité. Par ailleurs, les animaux sont des êtres vivants, et leur commercialisation répond à des normes précises. Le rôle du technico-commercial en commerce d’animaux est de dénicher les animaux au meilleur de leur forme pour le compte de ses clients. Il est en contact direct avec les éleveurs et est à l’écoute de ses clients afin de connaître leurs besoins et attentes.

Le technico-commercial en commerce d’animaux se situe entre les éleveurs et la chaîne de transformation. Ce dernier commercialise les animaux vivants qu’il achète auprès des éleveurs. Il est garant de leur santé et de leur bonne condition physique auprès de ses clients. Le commerçant d’animaux est, avant tout, un passionné du monde agricole et des animaux.

Le métier de technico-commercial en commerce d’animaux est certainement nouveau pour vous. Dans cette fiche métier, nous vous disons tout à ce sujet : les activités que mène  ce professionnel, sa personnalité, ses aptitudes et les formations qu’il faut suivre pour accéder à ce corps de métier.

Le technico-commercial en commerce d’animaux : qui est-ce ?

Le commerçant d’animaux est généralement un indépendant. Son métier consiste à acheter les animaux vivants auprès des éleveurs afin de les revendre à ses clients qui sont très variés : reproducteurs, éleveurs, industrie de transformation, etc…

Passionné des animaux, c’est également un commerçant dont le but est de trouver les meilleurs animaux au meilleur prix. Son marché étant étendu, il peut être amené à exécuter des activités à l’export. Il est le représentant des clients auprès des éleveurs.

Que fait le technico-commercial en commerce d’animaux ?

En tant que commerçant, sa fonction première est de réaliser du profit à travers la vente d’animaux. Indépendant et autonome, le technico-commercial en commerce d’animaux se fixe quotidiennement des objectifs qualitatifs et quantitatifs à atteindre.

En termes de quantité, il s’agit du nombre d’animaux à acheter et à vendre, des dépenses à effectuer, des marges à réaliser. Pour ce qui est de la qualité, il s’agit de trouver des animaux en bonne santé. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et les prises de rendez-vous avec les clients et/ou les fournisseurs.

Si le technico-commercial en commerce d’animaux a des animaux sous sa garde, il s’assure, avant tout, de leur alimentation et de leur santé. Pour cela, il peut avoir une équipe à sa disposition qui lui fait un compte rendu détaillé.

De passage chez les éleveurs qui sont ses fournisseurs, il peut visiter les animaux et inspecter les lieux. Il est le garant de la bonne qualité des animaux auprès du consommateur final.

Le technico-commercial en commerce d’animaux inspecte les animaux, et en fonction de ses constats, il peut interpeller l’éleveur. Le commerçant d’animaux peut aussi apprendre de nouvelles techniques d’élevage à ses clients. Il peut être amené à visiter les marchés de bestiaux pour trouver les meilleures offres disponibles.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en commerce d’animaux peut aussi démarcher de nouveaux clients ainsi que d’autres éleveurs. Au cours de ses tournées, il fait la promotion de ses produits et propose les meilleurs prix possibles à ses clients.

En tant que commerçant, il a des relations avec l’extérieur, car il peut aussi convoyer des marchandises à l’étranger. Ce qui exige de lui qu’il maîtrise les rouages de l’administration ainsi que la réglementation en matière d’import-export.

Son métier consiste aussi à assurer le transport rapide des animaux dans les meilleures conditions vers leur destination finale. Il négocie leur prix de vente ainsi que le prix du transport. Il gère aussi les commandes et veille à respecter les délais.

Autres appellations

  • Commerçant d’animaux
  • Commerçant en bestiaux
  • Agent commercial en animaux vivants

Savoir-faire & savoir-être

Être commerçant en bestiaux demande un certain nombre d’aptitudes, de savoir-faire et de savoir-être. Si vous voulez exercer ce métier, vous devez être, avant tout, un commerçant.

Vous devez aussi :

  • Aimer les animaux et être au fait des techniques d’élevage
  • Connaitre les spécificités des animaux que vous commercialisez et êtes en mesure de juger de leur qualité en coup d’œil.

L’agent commercial en animaux vivants est également patient, rigoureux et dynamique. Il a le sens de l’écoute, et il maîtrise les techniques de négociation et de vente. Il connaît aussi les règles du commerce international. C’est aussi un bon communicateur, car son métier le situe à un carrefour.

Le technico-commercial en commerce d’animaux est un chef d’équipe qui est appelé à faire des séances de coaching.

Il doit :

  • Savoir conduire les réunions
  • Avoir des capacités d’adaptation, car il évolue dans un environnement qui est en constante évolution
  • Connaître aussi des langues étrangères.

Les formations qui mènent à ce métier

Plusieurs formations peuvent permettre d’accéder à ce métier. Avec une formation initiale, vous pouvez suivre une formation de type :

  • Bac+2 ou un BTSA technico-commercial en produits alimentaires
  • DUT technique en commercialisation de produits agroalimentaires
  • Diplôme professionnel en commerce et en vente des produits agroalimentaires. Cette formation est complétée par une année de spécialisation. À l’issue de cette spécialisation, vous obtenez le certificat de spécialisation Acheteur-Estimateur de bétail.
picto technico commercial en agrofournitures

Découvrez le métier de technico-commercial.e en agrofournitures

Le technico-commercial en agrofournitures travaille auprès d’un négociant ou d’un groupement en intrants agricoles. Il apporte un soutien technique à ses clients.

Descriptif du métier

Par agrofournitures, on entend semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, aliments du bétail, produits vétérinaires et petits matériels. En un mot, il s’agit de tout ce qui est utilisé dans l’agriculture.

Le rôle du technico-commercial en agrofournitures est de conseiller et d’informer les agriculteurs et les éleveurs sur l’utilisation des agrofournitures. Il les tient également informés de tous leurs risques pour l’homme et l’environnement. Il est en relations commerciales avec les clients et les fournisseurs et actualise constamment ses connaissances techniques, économiques et réglementaires sur les produits qu’il vend. Plus qu’un technicien, c’est un commercial qui a pour souci, le développement de ses activités et le bien-être de ses clients. Pour cela, il remplit plusieurs missions qui concourent à l’atteinte des objectifs.

Le technico-commercial en agrofournitures : qui est-ce ?

Le technico-commercial est un grand connaisseur de l’agriculture et de l’élevage. Il maîtrise également les produits qu’il vend. Il a une place importante auprès de ses clients, car il leur apporte des solutions concrètes à des problèmes qu’ils rencontrent souvent.

Que fait le technico-commercial en agrofournitures ?

Le technico-commercial en agrofournitures est un salarié qui exerce au sein d’une coopérative et auprès d’un négociant en fournitures agricoles. Il travaille généralement sous l’autorité d’un responsable de zone qui lui détermine les objectifs à atteindre. Ils portent sur le respect de la politique commerciale. Sur le plan qualitatif, il s’agit de la qualité des relations avec les clients (éleveurs et agriculteurs). Le technico-commercial doit aussi avoir des capacités à innover dans les techniques d’agriculture.

Dans l’exercice de ses missions, il rend régulièrement visite à ses clients et aux adhérents de sa zone d’intervention. Il entretient également le contact avec des prospects cibles en fonction des objectifs fixés. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et la programmation de rendez-vous. Il prépare aussi ses visites de la journée en fonction des buts poursuivis (fiches de l’agriculteur, les tarifs, etc.). Il doit se fixer des objectifs à atteindre au cours de la journée avec différents partenaires.

Au cours de ses tournées, le technico-commercial en agrofournitures doit faire la promotion des produits qu’il vend (les produits phytosanitaires, les semences, les engrais, etc.). Pour cela, il fait des propositions de prix et des conditions de vente favorables. Il peut aussi faire des séances de démonstration ou des coachings d’utilisation desdits produits.

Au profit de ses clients qui en font la demande, il apporte un soutien technique et leur apprend la manipulation des produits (calculs de rationnement, levée, techniques d’épandage, etc.). Il les accompagne aussi dans l’utilisation des produits et contrôle le déroulement des travaux.

Le technico-commercial en agrofournitures est également un bon gestionnaire qui doit s’assurer qu’il n’y ait pas de rupture de stock. Les produits doivent être disponibles pour faire face aux besoins urgents.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en agrofournitures doit respecter la politique commerciale de son entité. Pour cela, il doit appliquer les tarifs établis. Il assure aussi le recouvrement des créances. À cet effet, il tient à jour l’état des comptes de chacun de ses clients et procède régulièrement à des relances. Il est chargé de la réception, du stockage et de la conservation des commandes.

Le technico-commercial en agrofournitures doit régulièrement s’informer et se former sur les évolutions techniques, technologiques ou commerciales indispensables à ses activités.

Il doit aussi rendre compte de ses activités à la hiérarchie. Le technico-commercial en agrofournitures a, sous sa responsabilité, une équipe de magasiniers qu’il a l’obligation de former. Il doit aussi suivre leur activité.

Autres appellations

  • Technico-commercial en aliment agricole

Savoir-faire & savoir-être

Le technico-commercial en agrofournitures a des compétences avérées en :

  • Techniques culturales ou en production animale
  • Techniques de vente, négociation commerciale et gestion des stocks.

C’est une personne qui a une ouverture d’esprit. Il doit être curieux et avoir un esprit critique. Rigoureux et méthodique, le technico-commercial en agrofournitures a le sens du contact et des relations humaines. C’est aussi un bon communicateur, et il doit avoir de bonnes capacités rédactionnelles. Il doit aussi savoir écouter pour proposer des solutions aux problèmes.

Le technico-commercial en agrofournitures est un homme de terrain qui passe la plus grande partie de son temps dans les campagnes et exploitations agricoles. Le métier exige qu’il soit disponible et tenace. En effet, la concurrence est rude dans le secteur, et il doit être persévérant pour maintenir ses marges et agrandir son portefeuille client.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de technico-commercial en agrofournitures est conditionné par une formation scolaire ou en apprentissage dans le domaine. Vous pouvez aussi passer un BTS ou un BTSA avec option en technico-commercial. La spécialité en agrofournitures se prépare en deux ans dans les établissements agricoles.

Dans l’optique d’un BTS, vous pouvez vous spécialiser en agroéquipement. Cette formation peut être complétée par une licence professionnelle technico-commerciale en agrofournitures. Vous pouvez aussi suivre une formation en agronomie ou production animale.

technicien de laboratoire bactériologique picto

Découvrez le métier de technicien.ne de laboratoire bactériologique

Le rôle principal du technicien de laboratoire bactériologique consiste à rechercher les bactéries nuisibles aux produits laitiers. Il doit avoir des connaissances approfondies microbiologie et biochimie.

Interview

Descriptif du métier

L’industrie laitière compte sur le travail acharné de nombreux professionnels pour concevoir des produits de qualité. Dans les usines de production de lait et organismes agricoles, on retrouve des salariés dont le rôle est de contrôler l’hygiène des produits laitiers.

Le technicien de laboratoire biologique , réalise une série de tâches pour détecter les bactéries nocives pour la qualité des produits conçus. Méticuleux, il est un véritable chasseur de micro-organismes délétères. Si le lait est de bonne qualité et excellent pour la santé, on doit une fière chandelle au technicien de laboratoire bactériologique.

Aujourd’hui, notre série de fiches métiers tombe sur la profession de technicien de laboratoire bactériologique. Des missions, en passant par les qualités et les formations de ce professionnel, nous faisons un tour d’horizon passionnant sur le métier de technicien de laboratoire bactériologique.

Le technicien de laboratoire bactériologique : qui est-ce ?

Le technicien de laboratoire bactériologique est un travailleur salarié qui exerce ses compétences au sein d’un laboratoire d’analyse et de contrôle de qualité des produits laitiers. Le technicien de laboratoire est chargé de traquer le moindre agent microbien nuisible à l’intégrité des produits. Rigoureux et amoureux du travail bien fait, ce professionnel ne tire sa satisfaction que dans la recherche et la destruction des hôtes indésirables et virulents.

Que fait le technicien de laboratoire bactériologique ?

Si le rôle principal du technicien de laboratoire bactériologique consiste à rechercher les bactéries nuisibles aux produits laitiers, comment s’y prend-il concrètement ?

Dans un premier temps, le technicien de laboratoire bactériologique enchaîne une série d’actions visant à détecter clairement tous les micro-organismes contenus dans les produits. La préoccupation fondamentale de ce professionnel est de découvrir si les produits soumis à son analyse sont sains et dépourvus de microbes indésirables. Cette intervention qu’effectue le technicien de laboratoire bactériologique s’étend à toutes les phases de la production.

Ainsi, au déchargement du camion isotherme de lait par le chauffeur ramasseur, le technicien de laboratoire bactériologique scrute la cuve de lait à la loupe. Pour ce faire, il base ses analyses sur les échantillons prélevés sur le lait. Au cours de cette étape, il mène une véritable investigation dans les quatre coins de son laboratoire.

Ensuite, le technicien de laboratoire s’intéresse à toutes les matières premières utilisées en guise d’additifs sur les produits. Le but est de repérer même le micro-organisme le plus enfoui. Lorsqu’il boucle ces tâches préalables, il continue ses analyses à chaque étape du processus de production. Déterminé à ne laisser aucun microbe filtré, le technicien de laboratoire bactériologique vérifie la non-contamination des emballages des produits par des agents bactériologiques. Même le produit fini n’échappe pas à la vigilance de ce professionnel.

Durant son travail de contrôle, le technicien de laboratoire effectue une enquête in vitro. Ce procédé consiste à placer les échantillons de lait dans un milieu de culture. Ensuite, il procède à l’incubation des échantillons pour faire croître les bactéries. En se basant sur les échantillons qui contiennent les micro-organismes, le technicien de laboratoire est capable de déterminer à quel moment le lait a été contaminé.   

Lors des analyses et recherches en laboratoire, le technicien de laboratoire bactériologique est tenu de faire la part des choses entre les bactéries « méchantes » et les « bons » micro-organismes. Concrètement, les produits laitiers sont les réceptacles de plusieurs milliers de micro-organismes vivants.

Les bactéries virulentes plombent la qualité du lait et exposent les consommateurs à des infections alimentaires, tandis que celles dites utiles améliorent grandement le goût des produits laitiers (yaourts, fromages, beurres…).

Comme mentionné plus haut, le travail du technicien de laboratoire se passe tout le long des étapes de production. Ainsi, lorsque les pots de yaourts, de lait ou de beurre sont prêts à sortir de l’usine, il les récupère pour procéder à des tests dits de vieillissement. Durant cette opération de vérification, le technicien de laboratoire bactériologique recherche des levures capables de faire exploser les pots. Lorsque les analyses confirment la présence de ces types d’éléments, le lot des produits concernés est détruit sur-le-champ. Ensuite, une investigation poussée est enclenchée dans la ligne de fabrication.

Autres appellations

  • Analyste de laboratoire
  • Technicien de laboratoire de contrôle
  • Analyste physico-chimiste
  • Analyste microbiologie
  • Control laboratory technician

Savoir-faire & savoir-être

Plusieurs compétences et qualités sont inhérentes à l’exercice de la profession de technicien de laboratoire bactériologique. En ce qui concerne les compétences pratiques, un bon technicien de laboratoire bactériologique doit accumuler celles qui suivent :

  • Connaissance approfondie en microbiologie et biochimie;
  • Connaissance des produits analysés;
  • Maîtrise des différentes manipulations et pratiques d’analyses en laboratoire ;
  • Aptitudes à utiliser les outils informatiques pour analyser des données ;
  • Maîtrise intégrale et correcte de l’usage des appareils électroniques ;
  • Aptitudes à assurer la maintenance de base et l’entretien des équipements de travail ;
  • Connaissance approfondie des risques et dangers chimiques ou biologiques des produits utilisés en laboratoire ;
  • Maîtrise de l’anglais technique;
  • Maîtrise des règles d’hygiène et de sécurité.

En termes de qualité, le technicien de laboratoire bactériologique doit faire preuve de rigueur et d’amour du travail bien fait. Avoir le sens du détail, être habile manuellement et précis sont des qualités importantes pour réussir dans le métier.

Les formations qui mènent à ce métier

Plusieurs formations, titres ou diplômes permettent d’accéder à la profession de technicien de laboratoire bactériologique. Il s’agit entre autres de :

  • BAC + 2 en Sciences et technologies pour la formation initiale ;
  • BAC technologique en Sciences et technologies de laboratoire biochimique et génie biologique ;
  • BTA en Transformation laboratoire d’analyses ;
  • BTS en Biotechnologies ;
  • BTS en Analyses et contrôles ;
  • BTSA en Analyses agricoles, biologiques et biotechnologies ;
  • Licence professionnelle en Biotechnologies ;
  • BTSA en IAA Industries laitières.
responsable qualité picto

Découvrez le métier de responsable qualité

Le responsable qualité en agroalimentaire dispose d’un rôle déterminant. Il surveille chaque étape de la fabrication pour garantir la sécurité alimentaire et organoleptique des produits. Il doit connaître les matières premières et leur traitement.

Interview

Descriptif du métier

Le responsable qualité est une personne indispensable pour le développement d’une entreprise agroalimentaire. Il permet à cette dernière de garantir une qualité tant sanitaire qu’organoleptique irréprochable des produits prêts à être consommés. C’est un poste clé qui permet aussi d’assurer une notoriété de la marque auprès des clients. Il est donc intéressant d’en savoir davantage sur ce métier qui peut s’avérer très passionnant.

Le responsable qualité : qui est-ce ?

Le responsable qualité est un homme ou une femme qui a en charge la gestion de tout ce qui a rapport avec la qualité des produits proposés par l’entreprise. Le domaine de compétences du responsable qualité est large. Il doit maîtriser les étapes de fabrication mais aussi le produit brut, l’informatique, l’anglais ainsi que le droit. La législation évolue sans cesse dans l’industrie agroalimentaire.

Le métier de responsable qualité en agroalimentaire est une fonction transversale au sein d’une entreprise agroalimentaire. Au contact de la hiérarchie, du personnel des différents services et des clients, il doit savoir communiquer. Le sens du relationnel est un prérequis indispensable pour exercer ce métier.

Que fait le responsable qualité ?

Dans l’exercice de son métier, le responsable qualité est appelé à accomplir plusieurs missions au sein de l’entreprise. Ainsi, il est tenu de participer à l’élaboration de la politique qualité de la société. Non seulement sa participation est importante, mais il doit également en assurer la mise en place et le suivi.

Pour définir la politique qualité de l’entreprise, le responsable qualité travaille en étroite relation avec la direction générale et les autres responsables sectoriels. Il faut souligner que l’objectif de ladite politique est avant tout de garantir  la sécurité alimentaire des produits, mais également d’obtenir ou de maintenir une certification qui représentera un label qualité pour la société et ses produits.

Le responsable qualité assure le pilotage de l’ensemble du projet et fait régulièrement un compte rendu à la direction. Ses missions consistent à analyser les matières premières, vérifier que les conditions d’hygiène soient respectées. Le chef de la qualité veille également au nettoyage des équipements et des locaux.

Ce professionnel de la qualité étudie le résultat de son travail, l’efficacité de ses méthodes, et analyse le produit fini, afin de valider la sécurité sanitaire du produit prêt à être savouré par les consommateurs. Il se charge donc de l’élaboration des actions préventives et/ou correctives en cas de besoin.

Le responsable qualité s’occupe également de la validation des produits finis conformément au cahier des charges des prospects et aux normes de règlementations en vigueur. Par ailleurs, cet acteur important forme l’ensemble du personnel sur la qualité, la sécurité et l’hygiène. Il se charge de vérifier si les documentations partagées à chaque poste de travail sont exploitables, appliquées et efficaces. Il procède à leur correction si nécessaire.

Une autre mission du responsable qualité est d’appliquer la règlementation sanitaire au sein de la société. Il apparaît donc comme l’interlocuteur idéal pour les services vétérinaires et de répression des fraudes. Il en est de même pour les clients. Le chef qualité définit le cahier des charges en tenant compte des exigences de ceux-ci. Il surveille donc les visites des consommateurs et assure le suivi de leurs réclamations. Le zéro défaut n’existe pas mais ce professionnel cherche à tendre un maximum vers l’absence de défaillance.

Autres appellations

  • Ingénieur qualité
  • Responsable qualité sécurité environnement
  • Responsable assurance qualité

Savoir-faire & savoir-être

Avant de devenir le chef qualité au sein d’une entreprise, il faut impérativement disposer d’une bonne connaissance des matières premières et leur traitement. Il faudra également maîtriser les procédés de fabrication et les produits finis.

Le responsable qualité doit :

  • avoir une parfaite maîtrise des technologies de l’entreprise.
  • prendre connaissance des différents métiers présents dans la société.
  • savoir mettre au service de l’entreprise son expertise selon les besoins de celle-ci. Ses compétences doivent lui permettre de former une équipe qui permettra d’optimiser le système de qualité, en corrigeant les éventuelles erreurs.

Le responsable qualité doit être une personne charismatique et très diplomate. Il doit pouvoir rassembler le personnel autour de l’intérêt que constitue la qualité pour l’entreprise. Il doit disposer d’un bon sens de l’organisation et fait preuve d’une grande rigueur. En outre, l’exercice de ce métier requiert une grande capacité d’écoute, d’analyse et de synthèse.

Toutes ces qualités sont indispensables pour lui permettre de mener à bien ses missions au sein de l’entreprise. Elles lui permettront également d’instaurer des relations de confiance avec les services de contrôle ou encore les clients.

Les formations qui mènent à ce métier

Devenir responsable qualité ne se fait pas du jour au lendemain ou encore moins par hasard. Pour faire carrière dans ce métier, il faut avoir suivi, au préalable, une formation qui vous le permet. Il existe des formations à l’issue desquelles vous obtiendrez un diplôme ou une certification vous donnant accès à ce métier.

Pour devenir responsable qualité, il existe une multitude de diplômes à plusieurs niveaux d’études :

  • BTS bioanalyses et contrôles,
  • BTS biotechnologies
  • BTS qualité dans les industries alimentaires et les bio-industries
  • BTS analyse agricoles biologiques et biotechnologiques
  • BTS sciences et technologies des aliments
  • DUT génie biologique, options analyses biologiques et biochimiques
  • DUT industries alimentaires et biologiques

Au niveau bac +3, certaines licences pro spécialisées dans l’agroalimentaire constituent un moyen de continuer ses études et ouvre les portes de divers masters pro :
• Master pro gestion de qualité,
• Master pro hygiène, sécurité, environnement,
• Master pro procédés industriels
Outre la voie universitaire, un diplôme d’ingénieur spécialisé peut également intéresser les industriels de l’agroalimentaire.

responsable des ventes

Découvrez le métier de responsable des ventes

Le responsable de ventes établit de nouvelles stratégies avec son équipe dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Interview

Descriptif du métier

L’industrie du commerce regroupe plusieurs métiers exercés par des professionnels chevronnés. Chacun de ces métiers exige de la rigueur, de la passion, l’amour de la qualité et du travail bien fait. Chargé d’encadrer une équipe de commerciaux, le responsable des ventes ne déroge pas à la règle. Rôle principal, missions, prérequis, compétences, formations, découvrez l’essentiel sur ce métier.

Le responsable des ventes dirige une équipe. Sa principale fonction est d’accroître les chiffres de ventes d’un secteur ou dans une zone géographique précise.

Le responsable des ventes : qui est-ce ?

Le responsable des ventes est sur le terrain et il manage une équipe de commerciaux. Il doit booster les ventes de son entreprise. La pression induite par les objectifs à atteindre est également présente dans le quotidien d’un responsable de ventes. En progressant dans sa carrière, un responsable des ventes peut être promu au poste de directeur commercial. Ce professionnel peut travailler dans les secteurs de l’alimentation, dans la distribution ainsi que dans de nombreux autres secteurs. Son savoir-faire est transposable à tous les domaines d’activités. C’est donc un métier qui offre des débouchés et des perspectives enrichissantes.

Que fait le responsable des ventes ?

Le responsable des ventes accompagne les commerciaux au quotidien, et répond à leurs besoins, tout en mettant en place un bon encadrement. Il se charge de recruter et d’intégrer à son équipe de nouveaux commerciaux s’il y a lieu de le faire. Il veille à l’atteinte des objectifs fixés par la direction en usant de tous les moyens à sa disposition.

Le responsable des ventes doit organiser des réunions chaque semaine avec son équipe de commerciaux afin de faire un point, mais aussi échanger. Il devra discuter et établir de nouvelles stratégies avec son équipe toujours dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Chaque phase du processus de vente est sous sa supervision. Partant de la livraison des produits à vendre jusqu’au moment de l’encaissement, il a l’œil sur tout. Il doit régulièrement s’assurer de la disponibilité des produits et veiller à ce qu’ils soient livrés dans les temps. Il se charge de vérifier les factures impayées et de relancer les débiteurs.

En cas de litige avec un client, il intervient et règle le problème. Il élabore des solutions pour prévenir d’éventuels écarts et s’occupe de la mise en place d’actions correctives.

En étroite relation avec sa direction, il doit fréquemment réaliser des rapports ainsi que des tableaux de bord. Il doit dialoguer avec son équipe et être à l’écoute de ses collaborateurs. Il doit savoir les motiver et les faire progresser dans leurs pratiques. Il s’occupe de planifier l’emploi du temps de ses collaborateurs et de réaliser des témoins des résultats espérés. Maîtrisant les normes relatives à l’hygiène, au respect de l’environnement, à la qualité et à la sécurité, il veille au respect strict de ces dernières.

Le respect de ces normes est d’autant plus rigoureux quand il a à charge des produits périssables. Dans le cadre de sa fonction, il est en contact permanent avec les fournisseurs. L’une de ses missions est de faire des propositions à la direction pour l’évolution de son secteur.

Autres appellations

  • Chef de secteur
  • Responsable export
  • Responsable de secteur
  • Responsable grands comptes
  • Responsable commercial

Savoir-faire & savoir-être

Le responsable des ventes est à la disposition des clients, de ses supérieurs hiérarchiques, des fournisseurs et des membres de son équipe. Étant sollicité constamment de part et d’autre, il doit avoir un physique solide et un mental fort. Un responsable de vente doit naturellement aimer les défis.

Pour bien encadrer son équipe de travail, il se doit d’être capable d’affirmer son autorité. Il est à la fois autoritaire et fin diplomate. Il doit avoir et développer une bonne capacité d’écoute afin de pouvoir bien accompagner ses collaborateurs.

Le responsable des ventes est, sans nul doute, un bon communicateur. En plus d’être un bon manager, le responsable des ventes doit maîtriser parfaitement l’art de la négociation ainsi que les techniques de vente. Il doit aussi connaître des notions de pédagogie puisqu’il est chargé de dispenser des formations à ses collaborateurs. Aussi, il doit avoir une culture commerciale importante et être doté d’un sens élevé des responsabilités. Il doit savoir organiser.

Le responsable des ventes est un compétiteur par excellence. Il aime quand ça bouge et s’implique corps et âme dans chaque mission pour l’atteinte des objectifs fixés.

Il doit être enthousiaste, doté d’un grand dynamisme, fort réactif, rigoureux et fédérateur. Quand cela s’avère nécessaire, le responsable des ventes doit pouvoir remettre en question ses choix. Être polyglotte ou tout au moins avoir une bonne maîtrise de l’anglais est un atout pour un responsable des ventes. Il doit être à l’aise avec les chiffres.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour espérer devenir responsable des ventes, il faut acquérir des diplômes. Il faut ensuite exercer dans les domaines de l’action commerciale et de la vente afin de gagner en expérience. La formation pour obtenir les diplômes menant à ce métier peut durer deux ou trois ans.

Il est donc possible d’exercer ce métier avec :

  • un BTS technico-commercial;
  • un BTS en négociation et relation client;
  • un DUT techniques de commercialisation
  • une licence professionnelle de responsable des ventes.

Il faut, en particulier, une licence professionnelle en commerce international ou une licence professionnelle en gestion de point de vente.

De même que la licence professionnelle, avoir un diplôme plus élevé est un atout pour occuper des postes importants. Ainsi, un master en commerce marketing ou un master en management et commerce international peut vous conduire au poste de responsable des ventes et bien plus.

Découvrez le métier d’opérateur.trice de production en laiterie

L’opérateur de production en laiterie assiste aux opérations d’emmagasinage dans les chambres froides et veille au respect des normes de sécurité et d’hygiène.

Interview

Descriptif du métier

L’industrie laitière regorge d’une multitude de fonctions qui permettent de transformer le lait après qu’il a été récolté par l’éleveur et analysé en laboratoire. Ces innombrables métiers s’expriment pour garantir aux consommateurs un produit fini de qualité, respectant les conditions d’hygiène et de sécurité.

L’un de ces métiers est celui d’opérateur de production en laiterie. Voici un tour d’horizon sur l’univers de ce professionnel de la production laitière. Description du métier, qualité et compétences requises, environnement d’exercice, découvrez l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur le métier d’opérateur de production en laiterie.

L’opérateur de production en laiterie : qui est-ce ?

Encore appelé agent de traitement du lait, l’opérateur de production laitière exerce son métier dans les entreprises coopératives ou privées de transformation laitière.

Dans ce métier, le professionnel investit son travail sur un site de transformation laitière. Sur les lieux de production, l’agent de traitement du lait procède à des diagnostics, des analyses et des contrôles. Il établit son diagnostic grâce aux différents prélèvements de matières et de produits qu’il effectue sur les chaînes de production.

Que fait l’opérateur de production en laiterie ?

L’opérateur de production en laiterie assiste, en tant que surveillant, aux opérations d’emmagasinage dans les chambres froides. Son rôle, au cours de ces opérations, est de veiller au respect des normes de sécurité et d’hygiène. Il contrôle le contenu stocké ainsi que les registres de suivi de tous les produits ou des animaux concernés. Cet acteur est appelé à travailler en équipe, à synchroniser le travail en équipe, tout en étant celui qui la dirige.

L’agent de traitement du lait suit de près des données telles que le poids, la qualité du lait, la quantité du lait, etc. Il ne se contente pas de suggérer, il participe à la mise en œuvre du suivi des différentes lignes de transformation.

Cet agent établit les rapports de ses contrôles et de ses inspections pour, ensuite, les envoyer à différents organismes et institutions. Il s’agit bien souvent des directions de répression des fraudes, des services vétérinaires, etc.

L’opérateur de production en laiterie apporte un soutien technique aux coopératives, entreprises industrielles, etc. Il se charge de vérifier si les équipements installés dans les entreprises sont conformes aux normes professionnelles exigées.

L’opérateur de production doit être extrêmement rigoureux et faire appliquer la règlementation sanitaire. L’une de ses missions principale est d’identifier les besoins en approvisionnement et d’y remédier en passant les commandes. Il se charge de la constitution des documents administratifs ayant rapport aux obligations légales. Il transmet ensuite ces documents à la direction des services vétérinaires.

Le travail de l’opérateur de production en laiterie se déroule majoritairement dans une atmosphère frigorifique. Tout au long de son parcours, l’agent de traitement du lait a la possibilité de faire une spécialisation pour finir comme intervenant technique en analyse industrielle. Il pourra ainsi exercer désormais en laboratoire.

Autres appellations

  • Agent sanitaire de l’agriculture
  • Technicien de production laitière
  • Agent de production laitière
  • Agent technique en produits de traitement

Savoir-faire & savoir-être

L’opérateur de production doit faire preuve de minutie dans son travail. Il doit pouvoir être en accord avec le port régulier de matériel de protection stérile comme les gants, les combinaisons, les masques. Il doit pouvoir exercer son autorité afin de faire respecter les différentes règles par tous les membres de son équipe. Cet acteur doit être expérimenté. Il doit avoir la culture de la rigueur et être intransigeant envers tous ceux qui dérogent aux règles.

Le technicien de production laitière doit maîtriser la règlementation sanitaire, les techniques d’élevage ainsi que les techniques de prélèvement biologique. Il doit avoir la capacité d’établir une traçabilité des produits qu’il contrôle.

Les formations qui mènent à ce métier

La première étape menant vers le métier d’opérateur de production en laiterie est le Bac professionnel en bio-industries de transformation. Après avoir obtenu le Bac, il faudra poursuivre les études pour décrocher un BTS agricole en industrie alimentaire. Cependant, pour avoir accès à l’univers des vétérinaires, il faudra faire ses preuves en passant le concours juste après avoir obtenu le Bac.

picto entrepreneur agricole

Découvrez le métier d’entrepreneur.euse agricole

L’entrepreneur.e agricole est chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes.

Descriptif du métier

Les travaux agricoles nécessitent la conduite et la manipulation d’engins lourds comme le tracteur, l’ensileuse et l’épareuse. Il s’agit d’équipements spécifiques, dont la conduite est confiée à une personne spécialisée.

L’entrepreneur agricole a de solides connaissances en mécanique et il est à l’aise avec du gros matériel. Il a aussi une bonne connaissance du domaine agricole et il est aux côtés des agriculteurs pour les accompagner dans certaines de leurs tâches.

Vous ne savez rien de ce corps de métier ? Vous trouverez dans cette fiche métier tout ce qu’il faut savoir : ce que fait le conducteur d’engins, ses aptitudes, sa personnalité, et aussi sa formation.

L’entrepreneur agricole : qui est-ce ?

L’entrepreneur agricole peut être salarié dans une exploitation agricole ou pour le compte de collectivités et des industriels. Il peut aussi être un indépendant et travailler pour le compte de ces structures.

Lorsqu’il est salarié, il a la responsabilité de la conduite et de l’entretien des machines mises à sa disposition. Il veille à leur bon fonctionnement et à la tenue à jour des documents administratifs y afférents : assurance, vignette, visite technique, etc.

Lorsqu’il est indépendant, il est responsable de la bonne marche de son activité. En tant que chef d’entreprise, il y a des actes qu’il est amené à poser.

Que fait l’entrepreneur agricole ?

C’est généralement entre juin et décembre qu’il est le plus sollicité. Pendant cette période, il est mobilisé pour aider aux récoltes ou à l’épandage selon la région.

Son rôle est indispensable pour le bon déroulement des travaux. Il est disponible pour travailler de jour et de nuit. Il ne connaît ni week-end ni jours fériés pendant la saison culturale.

À l’aide des machines, l’entrepreneur agricole fait des labours, des traitements et des récoltes au gré des saisons. Lors des moissons ou des semis, il est généralement sur le terrain où il est sérieusement sollicité. En hiver, les activités sont plus relax, et il est demandé pour des travaux connexes comme l’aménagement des routes, l’entretien des espaces. C’est en hiver également qu’il se consacre à l’entretien ou à la réparation du matériel.

Au quotidien, ce professionnel règle et prépare son matériel en tenant compte de la demande et des données agro-climatiques. Sur le terrain, il prépare le sol, fait l’épandage de la chaux, et retourne le sol superficiellement afin de faire le labour.

L’entrepreneur agricole est également chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes :

  • binage,
  • désherbage,
  • traitements phytosanitaires,
  • épandage,
  • buttage,
  • etc…

Il est également présent lors des récoltes, car c’est lui qui se charge de toute l’opération. À l’aide de la moissonneuse-batteuse, il réalise la récolte.

Le travail est fait dans le respect des règles de sécurité et d’hygiène. Il peut apporter des correctifs et faire face à des imprévus. Son travail répond à un timing précis, et il est tenu de respecter les délais.

L’entrepreneur agricole fait la maintenance courante comme le réglage, le graissage, la vidange, ou le suivi du niveau de carburant. Il a les compétences requises pour gérer les soucis mineurs. En cas de grosses pannes, il informe le mécanicien et suit la réparation dudit matériel.

Par ailleurs, il assure la propreté du matériel, du garage ou du hangar où tout est entreposé. C’est également lui qui assure le rangement de tout le matériel dans le respect des normes de sécurité.

Autres appellations

  • Tractoriste
  • Conducteur/chauffeur de machines agricoles
  • Machiniste

Savoir-faire & savoir-être

L’entrepreneur agricole est, avant tout, une personne disponible et motivée à travailler à tout moment. Il a des connaissances en agronomie et a l’amour du monde agricole.

Ce professionnel a le contact facile et est prêt à s’adapter à toutes les situations. Il est capable de travailler en autonomie comme en équipe. Il est censé aussi prendre des initiatives.

Le conducteur d’engins agricoles possède des connaissances techniques sur les matériels qu’il conduit. De même, il a des notions en mécanique pour effectuer de petites réparations. Il doit régulièrement actualiser ses connaissances, car la technologie évolue. Il sait se servir de l’ordinateur de bord et suit l’évolution de ses machines.

L’entrepreneur agricole a besoin de connaissances en agronomie pour identifier la nature du sol. Il doit être capable d’identifier les problèmes et de les analyser en vue de trouver des solutions. Méthodique et rigoureux, cet acteur sait être respectueux des délais fixés.

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès à ce métier est conditionné par une formation diplômante en production agricole et utilisation de matériels. Il faut avoir une homologation en Conducteur d’engins de travaux publics et de génie rural. Il peut aussi avoir une certification de spécialisation sur les tracteurs et les machines agricoles avec option utilisation et maintenance.

Pour faire ce métier, il faut également avoir :

  • un brevet professionnel en travaux de conduite et entretien des engins agricoles
  • un brevet professionnel en agroéquipement.

Vous pouvez aussi avoir :

  • un BTSA, génie des équipements agricoles
  • un BTS, techniques et services en matériels agricoles.
picto banquier

Découvrez le métier de Conseiller.ère marché agricole des réseaux bancaires

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées.

Descriptif du métier

Les métiers de la banque et de l’assurance sont variés. Les clients ont besoin de conseils et de suivis, et il faut un professionnel à leur disposition pour les aider à trouver satisfaction. C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller bancaire/assurance. Il s’agit d’un acteur qui remplit plusieurs missions qui concourent au maintien et à la fidélisation des clients. Il veille sur les intérêts de ses clients et s’assure de ce que ces derniers trouvent entière satisfaction.

Le secteur de la banque et de l’assurance est très concurrentiel, et les clients sont capricieux et volatiles. Une assistance personnalisée est parfois nécessaire pour les aider à trouver ce qu’ils veulent et aussi pour les fidéliser. Le conseiller bancaire/assurance est la personne qui est chargée de cette lourde tâche. Il a aussi le devoir d’accroître son portefeuille en prospectant de nouveaux clients.

Vous avez déjà entendu parler du conseiller bancaire/assurance, mais ne savez pas en quoi consiste le métier ? On vous donne toutes les informations à ce sujet dans la présente fiche métier.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires : qui est-ce ?

Le conseiller bancaire/assurance est un salarié qui évolue dans les banques, les assurances et les institutions de crédit. Dévoué et prompt, il aime relever des défis et a le sens des responsabilités. Il occupe une place importante dans les activités bancaires, car les clients qui lui sont assignés passent par lui pour tous leurs besoins.

Que fait le conseiller marché agricole des réseaux bancaires ?

Le métier touche essentiellement au maintien et au développement de la clientèle. Sa mission est d’augmenter son portefeuille clientèle et de suivre l’évolution des comptes de ses clients. Selon la taille de la structure qui l’emploie, il peut se retrouver avec 100 ou 700 clients venant d’horizons divers : commerçants, étudiants, particuliers, artisans, PME/PMI, etc.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées. Il peut s’agir d’une demande de crédit, d’un besoin de placement ou d’une demande de découvert. Pour cela, il doit collecter et analyser les données financières des clients, et évaluer les besoins de garantie. C’est lui qui monte les dossiers de crédit dans le strict respect des procédures.

Dans le cas de lancement de nouveaux produits, il est amené à les présenter à ses clients et les aider à faire le meilleur choix. Si un incident survient, il contacte ces derniers pour s’informer sur leurs difficultés et essayer de leur apporter des solutions. Si nécessaire, il peut aviser la hiérarchie pour décision à prendre.

En plus d’être un conseiller, il a aussi l’obligation de fidéliser ses clients. Pour cela, il peut être amené à accorder certaines concessions. Il est soumis à des objectifs chiffrés, c’est pourquoi il doit constamment prospecter de nouveaux clients et développer des stratégies et des arguments pour les convaincre. En outre, il doit faire la promotion des nouveaux produits et proposer des solutions financières adaptées au besoin et à la situation de chacun de ses clients.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à la fois un homme de terrain et un professionnel qui travaille au bureau. Dans l’exercice de sa profession, il peut être amené à faire des descentes sur le terrain pour rencontrer ses clients dans leur environnement et analyser leurs problèmes. Il peut aussi aller à la rencontre de nouveaux clients pour leur proposer ses produits.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires surveille, au quotidien, les comptes clients et n’hésite pas à faire des relances en cas de retard des paiements. Il actualise également ses données afin que les comptes reflètent la réalité.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires participe aux réunions du comité de crédit et émet son avis sur les décisions prises. Si un client ne mérite pas d’obtenir un crédit ou si un compte doit être suivi de près, il est de son devoir de le signaler.

Périodiquement, il rend compte à la hiérarchie de l’évolution de ses activités. Il peut être amené à effectuer des opérations courantes comme tenir la caisse, accueillir et orienter les clients ou régler de simples sinistres.

Autres appellations

  • Chargé de comptes clients
  • Chargé de clientèle

Savoir-faire & savoir-être

Devenir conseiller bancaire/assurance demande certaines qualités. Il doit :

  • Connaître les produits vendus par son entreprise et la réglementation bancaire et de l’assurance
  • Avoir un goût pour les chiffres avec une bonne base en comptabilité.
  • Évaluer les risques et suivre constamment l’évolution du marché.

C’est également un bon commercial qui sait construire un argumentaire de vente. Il doit aussi savoir quand effectuer des relances (prospects, retard de paiements).

Sur le plan personnel, le conseiller bancaire doit être dynamique, méthodique et organisé. C’est un bon communicateur, et il sait travailler en équipe ou en autonomie. C’est une personne qui est capable de prendre des initiatives. Il a aussi une bonne capacité d’analyse et sait se maîtriser dans les situations de stress. C’est également une personne discrète.

Les formations qui mènent à ce métier

Le conseiller bancaire/assurance est recruté généralement avec un Bac+2 au minimum. Il peut aussi avoir une licence professionnelle. Néanmoins, le niveau le plus recherché est le Bac+5 qui offre plus de perspectives d’évolution.

Vous pouvez suivre une formation en continu ou en alternance dans les domaines suivants :

  • Management des unités commerciales
  • Négociation commerciale
  • Gestion des entreprises
  • Finance comptabilité
  • Assurance banque et finance, ou banque avec option en marchés particuliers.

Au niveau master, ce sera le master en monnaie, banque ou assurance.

conseiller en élevage

Découvrez le métier de conseiller.ère en élevage

Le conseiller en élevage donne des conseils, fait des propositions aux éleveurs dans l’optique d’améliorer les performances de production de chaque vache du troupeau.

Interview

Descriptif du métier

Le secteur de l’élevage est un domaine qui exige des connaissances techniques solides et approfondies. Les éleveurs se font épauler par des professionnels jouissant d’une expertise avérée dans le domaine. Fins connaisseurs des techniques d’élevage, les conseillers en élevage sont les travailleurs qui prêtent main-forte à l’éleveur dans la gestion de son exploitation. L’essentiel de la tâche confiée au conseiller en élevage est le coaching et le suivi.

Dans cette fiche métier, nous faisons un zoom sur le conseiller ou la conseillère en élevage pour examiner, de plus près, la consistance de sa profession.

Le conseiller en élevage : qui est-ce ?

Le conseiller ou la conseillère en élevage est un professionnel qui met ses compétences et aptitudes au service d’un organisme professionnel, une chambre d’agriculture ou une entreprise spécialisée dans le conseil en matière d’élevage. Ainsi, le conseiller en élevage exerce généralement sa fonction de guide au sein d’un groupe d’éleveurs qu’il coache régulièrement.

Que fait le conseiller en élevage ?

Le conseiller en élevage est un fin technicien qui maîtrise les rouages de l’élevage du bout des doigts.

Sa mission globale consiste à :

  • donner des conseils,
  • faire des recommandations et propositions aux éleveurs dans l’optique d’améliorer les performances de production de leur troupeau,
  • améliorer ou accroître la qualité de la production laitière, dans le respect de la santé et du bien-être animal.

Autour de cette mission globale assignée au conseiller en élevage pivotent quelques tâches spécifiques qui convergent à la réussite de ladite mission.

Dans un premier temps, le conseiller ou la conseillère en élevage s’attèle à fournir des avis techniques aux éleveurs sur différents aspects. En effet, ce professionnel conseille sur la reproduction des animaux, la qualité du lait, le renouvellement du troupeau, les questions liées à la génétique mais aussi au pâturage et l’alimentation des animaux. Les recommandations techniques et économiques du conseiller en élevage peuvent également s’axer sur les perspectives de production animale sur une période déterminée.

Dans un deuxième temps, l’audit technico-économique de l’exploitation est le terrain sur lequel le conseiller en élevage se met en valeur. Il établit des statistiques fiables concernant la production laitière du troupeau. Pendant la traite, il enregistre, vache par vache, le litrage de lait donné et prélève des échantillons pour les faire analyser. Toutes les données sont enregistrées sur un ordinateur et permettent ainsi une comparaison avec les résultats précédents et l’évolution des données.

Les analyses effectuées par le conseiller en élevage dépendent des attentes ou des ambitions émises par l’éleveur. Dans ce cas, le conseiller en élevage est un acteur majeur qui accompagnera l’éleveur tout au long du processus d’amélioration.

Pour finir, le conseiller en élevage informe les éleveurs des dernières évolutions techniques ou technologiques dans le domaine de l’élevage. Ainsi, la question des robots de traite, des puces électroniques et d’autres matériels technologiques d’aide à l’élevage peut enrichir les discussions entre le conseiller en élevage et les éleveurs.

Autres appellations

  • Conseiller technique d’élevage
  • Conseiller technique culture

Savoir-faire & savoir-être

Le métier de conseiller en élevage est une fonction exigeante qui nécessite des connaissances pointues dans plusieurs domaines, tels que :

  • alimentation et nutrition animale ;
  • santé et bien-être animal ;
  • pathologies des animaux ;
  • génétique animale ;
  • transition vers l’agriculture bio…

Par ailleurs, le conseiller en élevage possède une connaissance affinée du domaine des exploitations bovines et caprines. De même, bon pédagogue, il maîtrise les normes et règlementations qui régissent la production animale et les techniques d’élevage.

Le conseiller en élevage doit aimer le contact et les échanges avec les autres. Il est autonome et adepte du travail en équipe. Pour finir, le conseiller en élevage est à l’affût des dernières évolutions scientifiques et techniques en vue d’accompagner  efficacement les éleveurs qu’il a sous sa tutelle.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour exercer le métier de conseiller en élevage, vous devez être titulaire de l’une des formations suivantes :

  • Licence professionnelle métiers du Conseil en élevage ;
  • BTSA en Analyse et conduite des systèmes d’exploitation ;
  • Diplôme de licence pro en Agronomie et ingénierie de conseil en entreprise agricole ;
  • Licence professionnelle dans la spécialité Productions animales ;
  • BTSA PA en Productions animales ;
  • BTSA ACSE en Analyse, conduite, stratégie de l’entreprise agricole.
picto conseiller gestion entreprise

Découvrez le métier de conseiller.ère en gestion d’entreprise

Le conseiller en gestion d’entreprise s’assure du bon fonctionnement, au quotidien, de l’entreprise et prévient les difficultés.

Descriptif du métier

Une entreprise est amenée à réaliser des opérations pour le développement et la pérennité de ses activités. Toutes ces opérations doivent être menées à bien si l’entreprise veut tirer son épingle du jeu dans un environnement.

C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller en gestion d’entreprise, dont le champ d’action est très vaste.

Le conseiller en gestion d’entreprise est un professionnel dont la mission est de s’assurer du bon fonctionnement de l’entreprise et de la continuité de ses activités.

Vous avez déjà entendu parler de ce métier, mais ne savez pas de quoi il relève réellement ? Dans cette fiche métier, nous vous donnons toutes les informations à ce sujet.

Le conseiller en gestion d’entreprise : qui est-ce ?

Le conseiller en gestion d’entreprise est un gestionnaire d’entreprise qui travaille avec les chefs d’entreprise. Salarié ou indépendant, il est directement rattaché à la direction générale et concourt aux prises de décisions.

Garant de la fiabilité et de l’exhaustivité des données sociales, il a pour rôle de développer, en collaboration avec la direction, les stratégies qui permettront à l’entreprise de se développer. Il s’assure de la recevabilité des demandes, et effectue le recouvrement des cotisations. Il oriente la direction sur les grands changements humains et organisationnels à effectuer pour l’atteinte des objectifs. Son rôle est aussi de présenter les produits et services de l’entreprise.

Organisé et méthodique, il est également cultivé et a l’esprit ouvert. Il est d’un naturel curieux et flexible. Il doit être également disponible et avoir l’esprit critique et alerte pour éviter les problèmes, et aider le directeur à prendre les bonnes décisions au moment où il le faut.

Que fait le conseiller en gestion d’entreprise ?

Sa fonction touche principalement à tous les métiers de l’entreprise :

  • la gestion,
  • les finances,
  • les ressources humaines,
  • la direction générale,
  • l’organisationnel.

C’est un gestionnaire qui a une vision à long terme. C’est un acteur qui contribue à faciliter le travail des équipes grâce à des modes de fonctionnement plus appropriés. Il est présent et disponible pour faire développer l’entreprise. C’est lui qui définit le cadre positif au niveau technique, organisationnel et des conditions de travail.

Le conseiller en gestion d’entreprise est toujours en quête du perfectionnement, et n’hésite pas à apporter des innovations pour la sécurité des biens et des personnes. Il veille à l’amélioration des process et à la qualité des services. Il sensibilise aussi en matière de protection sociale. Lorsqu’il est indépendant, cet acteur important gère les contrats et comptes entreprises et contribue à la fiabilité et à l’exhaustivité des données.

Le conseiller en gestion d’entreprise a une bonne maîtrise de l’environnement et de la réglementation de la protection sociale. Il connaît les normes de qualité, le dispositif de contrôle interne et la maîtrise des risques.

Autres appellations

  • Responsable en organisation d’entreprise

En tant qu’indépendant :

  • Consultant en organisation et management
  • Consultant en intelligence économique
  • Consultant en analyse de la performance

Pour le compte des organismes sociaux :

  • Gestionnaire Adhésions
  • Gestionnaire Relation Client Entreprises
  • Technicien de Gestion des Contrats
  • Gestionnaire Contrats Collectifs

S’il évolue au sein d’un cabinet, il peut être appelé :

  • Gestionnaire Services aux Entreprises ou Contrat Entreprises

Savoir-faire & savoir-être

Exercer le métier de conseiller en gestion d’entreprise requiert des compétences techniques, une bonne moralité et certaines aptitudes personnelles.

Fin observateur, le consultant en organisation et management est doté d’un sens logique très pointu.

Très organisé et méthodique, le conseiller en gestion d’entreprise met en place les différentes étapes pour un changement progressif et en douceur. Il a aussi de solides capacités à communiquer pour faire comprendre l’importance des nouveaux standards à adopter.

Cet acteur doit donc être patient pour soutenir sa proposition et parvenir à la faire accepter. Minutieux et respectueux des besoins réglementaires, il met rapidement à jour les modèles organisationnels pour qu’ils rentrent en vigueur immédiatement.

Sur le plan personnel, c’est une personne attentive et qui sait écouter. Il sait travailler avec une équipe et il est à l’aise avec les outils de gestion stratégique, c’est aussi un diplomate qui sait faire accepter ses opinions sans accroche.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour accéder à ce métier, vous devez avoir au minium le BTS ou Bac+2 en assurance, gestion d’entreprise et des administrations. Vous pouvez aussi passer une licence en droit des affaires ou assurance, ou un DUT en gestion des entreprises.

Pour aller plus loin dans votre carrière, vous pouvez passer un master en management, organisation d’entreprise, commerce ou en ressources humaines.

picto conseiller en bâtiment d'élevage

Découvrez le métier de conseiller.ère en bâtiment d’élevage

Le conseiller en bâtiment d’élevage aide l’exploitant d’élevage dans tout le processus de construction ou de rénovation du bâtiment. Il apporte des conseils techniques et forme les éleveurs.

Descriptif du métier

L’élevage a besoin de bâtiments pour abriter les animaux et pour traiter et stocker les produits. La construction de ces bâtiments ou leur optimisation ne doivent pas être faites au hasard. Son emplacement, ses dimensions, sa durabilité et même les équipements doivent être analysés et être intégrés dans la stratégie globale de l’exploitation.

Les bâtiments d’élevage sont des constructions particulières. Ils sont érigés selon des normes environnementales et d’hygiène pour préserver la santé des animaux et optimiser la productivité. Le personnel doit également travailler dans de bonnes conditions d’hygiènes et de sécurité.

En un mot, la construction de bâtiment d’élevage obéit à des normes bien précises. D’où le recours au conseiller en bâtiment d’élevage.

Si vous ne connaissez rien de ce métier, nous vous disons tout à son sujet dans cette fiche métier.

Le conseiller en bâtiment d’élevage : qui est-ce ?

Le conseiller en bâtiment d’élevage est un travailleur salarié qui exerce sa profession à la chambre d’agriculture, dans les GIE d’élevage ou dans les grandes exploitations d’élevage. Il peut être également un indépendant ou travailler dans une société de bâtiment.

Son rôle est d’aider l’exploitant dans tout le processus de construction ou de rénovation du bâtiment. Pour ce faire, il apporte tout son savoir-faire et son expérience pour que ces bâtiments soient conformes.

Que fait le conseiller en bâtiment d’élevage ?

La fonction de conseiller concerne la construction ou la rénovation et l’emménagement des bâtiments d’élevage. Cet acteur intervient depuis la phase de conception du projet. C’est lui qui prévoit les aménagements afin que ceux-ci répondent à un certain nombre d’exigences comme : le bien-être des animaux, le confort des travailleurs et l’hygiène du travail.

En collaboration avec l’éleveur, il inspecte et analyse les orientations possibles, en tenant compte de plusieurs critères : commodité, facilité de nettoyage, traitements des effluents, etc.

Dans l’exercice de ses fonctions, il peut proposer les différentes options possibles et orienter le choix de l’éleveur vers le meilleur compromis. Ses propositions doivent tenir compte des objectifs de l’éleveur, des contraintes réglementaires et du budget alloué au projet. Il doit aussi prendre en compte la faisabilité du projet et sa durabilité.

En cas de besoin, il peut procéder à des modifications et améliorer le projet initial en faveur de l’exploitant.

Le conseiller en bâtiment d’élevage est présent durant toutes les phases de réalisation du projet. Depuis le tracé des plans au dépôt du permis de construire jusqu’à la construction finale.

Au sein d’un GIE, il est en contact direct avec les éleveurs et reste à l’écoute pour comprendre leurs besoins. Il discute avec eux de leurs attentes et les aide à identifier tous les contours de leur projet de construction. Le conseiller en bâtiment d’élevage est plus un homme de terrain qu’un bureaucrate. Il passe la grande partie de son temps à faire des relevés et étudier les projets de construction avant de procéder à la formalisation des propositions.

C’est un environnementaliste qui contribue au respect de l’environnement. C’est également un gestionnaire. En dehors de la construction et de la rénovation, il peut aussi procéder à l’aménagement intérieur des bâtiments et de leur mise en conformité.

Dans l’exercice de ses fonctions, le conseiller en bâtiment d’élevage peut proposer des prestations spécifiques comme : rédiger des cahiers de charges techniques, participer aux appels d’offres et à la consultation des entreprises. C’est lui qui suit l’évolution du chantier et assiste le maître d’ouvrage lors de la réception des travaux.

Il peut apporter des conseils techniques et former les éleveurs. Il peut aussi faire des expertises techniques ou assurer la gestion commerciale de l’exploitation qui l’emploie.

Autres appellations

  • Conseiller agricole

Savoir-faire & savoir-être

Exercer ce métier requiert l’acquisition de compétences pratiques et de qualités utiles à l’exercice de la fonction.

Le conseiller en bâtiment d’élevage doit :

  • Maîtriser les normes environnementales et d’hygiène
  • Connaître les normes de sécurité et les nouvelles techniques de construction
  • Connaître les rouages de la finance et a un accès aux circuits de financement
  • Trouver ses repères dans les rouages administratifs
  • Savoir travailler en groupe.

Il est patient et sait écouter. Il doit aussi avoir de solides capacités de communication. Le travail demande de la discrétion, de l’organisation et de la méthode.

Le conseiller en bâtiment d’élevage doit aussi savoir s’adapter à son environnement, car les exploitations sont différentes les unes des autres. L’exercice du métier demande de la disponibilité et de nombreux déplacements. Il doit aussi être minutieux et savoir gérer le stress.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour exercer ce métier, il faut avoir suivi une formation initiale de type Bac+2 en productions animales, analyse et conduite de systèmes d’exploitation. Vous pouvez aussi suivre une formation en technico-commercial avec option en agro-équipement.

Pour aller plus loin, vous pouvez faire un cycle d’ingénieur en techniques d’agriculture et en techniques agricoles. Le métier est également ouvert aux agronomes ayant une licence professionnelle en conseil et développement agricole ou un ingénieur d’entreprise agricole. Une formation en agroalimentaire également peut permettre d’accéder à la fonction.

Dans tous les cas, le conseiller en bâtiment d’élevage doit connaître les bases de la construction, de l’urbanisme et de la production animale.

picto animateur syndical

Découvrez le métier d’animateur.trice syndical.e

L’animateur syndical a un travail varié de gestion de projets. Il coordonne les activités de l’organisme qui l’emploie. Il est chargé de la mise en œuvre des politiques et de conseiller les élus dans les prises de décisions.

Interview

Descriptif du métier

L’animateur syndical a une place prépondérante au sein de l’administration d’un syndicat. Il a un rôle d’interface entre ses adhérents (les exploitants agricoles) et les institutions et partenaires extérieurs.  Son rôle est de coordonner les activités de l’organisme qui l’emploie. Il est également à la disposition de ses adhérents pour les accompagner dans différents services/conseils : juridique, fiscal, sociétés, emploi, déclarations PAC, dossier environnement, actualités réglementaires, actualités des filières, achats groupés, aide à la négociation des contrats…

Si vous n’avez jamais entendu parler de ce métier, nous faisons un zoom sur ce professionnel, les activités qu’il mène, sa personnalité et ses aptitudes. Nous vous précisons aussi des formations conseillées pour accéder au métier.

L’animateur syndical : qui est-ce ?

L’animateur syndical est un travailleur salarié qui exerce sa profession au sein d’un syndicat (type Fédération Départemental/Régional/National des Syndicats d’Exploitants Agricoles -FRSEA- ou Confédération Paysanne ou Coordination Rurale) et se bat pour accompagner les paysans français quelque soit la production (céréales, lait, viandes, fruits et légumes, etc.) dans leurs projets et trouver des solutions à leurs difficultés quelle que soit la taille de leur exploitation, leur mode de production, leurs signes de qualité ou circuits de commercialisation (circuits courts, restauration, exportation…). L’animateur donne du temps et de l’énergie à des projets collectifs.

Passionné de l’agriculture et des métiers dérivés, l’animateur occupe une place de choix dans la vie quotidienne de la structure. Il doit être dynamique et autonome. Il doit également savoir travailler en équipe et avoir l’esprit critique. C’est une personne qui doit avoir le contact facile et disposer de solides capacités de communication.

Que fait l’animateur syndical ?

Les missions de l’animateur syndicale consistent à assister aux réunions statutaires telles que les assemblées générales et les conseils d’administration, mais également des comités d’animation et des réunions thématiques. Seul ou en équipe, il gère aussi la communication interne et externe du syndicat (coordination d’actions syndicales, rédactions de communiqué de presse). Il va animer la rélfexion collective sur les dossiers d’actualités (PAC, zones vulnérables, souveraineté alimentaire…) et le portage des dossiers collectifs auprès d’institutions.

L’animateur syndical est la cheville ouvrière de l’organisme, il met tout en œuvre pour défendre et faire rayonner l’agriculture française, et un modèle économique et social pérenne.

Au quotidien, il est chargé de la concertation entre les élus et de la liaison avec les autres membres et les partenaires de la structure.

À cet effet, il est amené à préparer, organiser et animer des réunions,

Lors des rencontres :

  • il s’occupe de l’animation et du cadrage des discussions
  • en fin de séance, il fait la synthèse et apprécie la faisabilité des résolutions prises pour aboutir à des positions/des stratégies communes à mettre en place,
  • il se charge ensuite de mettre en œuvre les décisions en proposant une méthodologie adaptée.

L’animateur syndical est chargé de la mise en œuvre des politiques décidées par les élus. En fonction des projets, il doit trouver des interlocuteurs et les partenaires qu’il faut. Les besoins identifiés sont formalisés par ses soins, et il apporte des solutions en rédigeant des programmes d’action. Il élabore les procédures et les règlements d’application des programmes mis en place. Il doit donc avoir une bonne aptitude à travailler en réseau.

Ses fonctions s’étendent au montage et au suivi des dossiers de financement pour la réalisation des programmes.

Autres appellations

  • Animateur d’organisme agricole
  • Animateur de filière

Savoir-faire & savoir-être

Devenir animateur syndical demande un certain nombre de compétences ainsi que des qualités intrinsèques.

À l’ère du numérique, l’animateur doit :

  • être à l’aise avec l’outil informatique et bureautique,
  • connaître l’agriculture au sens large. Il peut avoir une spécialisation en agriculture.

Travailleur polyvalent, l’animateur d’organisme agricole a une bonne connaissance de la gestion de projets et de la communication. La polyvalence est son meilleur atout. Il doit être familier des procédures fiscales, des normes environnementales et des techniques pédagogiques. Il est organisé, rigoureux et méthodique.

L’animateur syndical doit :

  • avoir le sens de l’écoute
  • prendre des initiatives
  • être disponible
  • avoir un bon relationnel empreint de diplomatie et d’écoute.
  • avoir l’esprit critique et savoir actualiser régulièrement ses connaissances.
  • une sensibilité à l’agriculture est un vrai plus.

Pour son autonomie, il doit disposer d’un permis de conduire de catégorie B.

Les formations qui mènent à ce métier

L’exercice de la fonction d’animateur syndical est conditionné par des formations et des diplômes spécifiques. On valorisera un “touche à tout” curieux, avec une sensibilité pour l’agriculture et l’humain.

  • BTS Gestion de projets,
  • BTS Communication
  • une formation d’ingénieur agricole ou en agronomie
  • une formation d’ingénieur des techniques agricoles suivi d’un autre diplôme en économie ou en gestion
  • une formation en aménagement rural.

Ce métier est attrayant et offre de nombreuses perspectives d’évolution. Il n’y a pas une formation type mais les animateurs recrutés ont souvent un niveau BAC +2 à BAC +5, avec des qualités techniques et des qualités humaines qui seront privilégiées. Avec de l’expérience, l’animateur syndical peut accéder à des structures de plus grande envergure.

agent relation producteurs picto

Découvrez le métier de agent relation producteurs

L’agent de relation avec les producteurs laitiers (aussi appelé ARC, Agent Relation Culture) est le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les éleveurs. Il doit être un bon technicien d’élevage.

Interview

Descriptif du métier

La production des produits laitiers est un ensemble de processus impliquant un nombre considérable de travailleurs ou de collaborateurs. Au nombre de ceux-ci figure l’agent de relation avec les producteurs de la matière première que constitue le lait. Si ce métier vous plait, voici une fiche métier abordant toutes les questions concernant le métier d’agent de relation avec les producteurs ou fournisseurs de lait.

L’agent relation producteurs : qui est-ce ?

Vous en avez peut-être déjà entendu parler, mais vous n’y avez jamais accordé d’importance. L’agent de relation avec les producteurs laitiers est un maillon de la chaine de production du lait. Cet acteur clé joue un rôle important dans la qualité du lait qui est l’élément phare de tous les produits laitiers dérivés. Il représente le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les fournisseurs de lait. Dans ce cadre, il se doit de rechercher un bon compromis entre sa structure d’accueil et les fournisseurs de lait. Pour obtenir de bonnes performances, un certain nombre de missions doivent faire partie du quotidien de l’agent de relation avec les producteurs laitiers.

Que fait l’agent relation producteurs ?

L’agent de relation avec les producteurs laitiers se doit d’enchaîner rigoureusement un certain nombre de missions pour l’essor de la structure qui l’emploie. Ces missions se déclinent en quelques points qui seront expliqués.

Agent de contact

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est le contact entre l’industrie laitière dont il est l’employé et les fournisseurs de lait. Il va sans dire donc que la bonne qualité du lait dépend de l’expertise de cet employé. Il est, par conséquent, le garant de la qualité du lait et de ses produits dérivés.

Un vrai contremaître

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est d’une rigueur sans faille quand il passe en mode contremaître. Cette facette de son métier consiste à suivre les différentes étapes de passage du lait depuis sa livraison à son usage, en passant par le traitement et les conditions de conservation. Par ailleurs, il doit être un pro dans l’art de convaincre.

Un pro dans l’art du marketing et de la négociation

L’agent de relation avec les fournisseurs de lait a des notions en matière de gestion des ressources humaines, mais doit aussi savoir convaincre. Hormis le fait de trouver, pour l’usine laitière, les meilleurs fournisseurs de lait frais de qualité, l’agent de relation avec les producteurs de lait doit savoir comment fidéliser chacun de ses fournisseurs dans ce monde de concurrence où la demande est parfois supérieure à l’offre. Pour cela, il doit savoir faire des compromis avec ces derniers tout en respectant les exigences imposées dans le cahier des charges de l’entreprise. Un partenariat gagnant-gagnant dans la limite du possible est envisageable afin de se garantir les prestations d’un fournisseur quelconque, surtout en période de pénurie.

L’art de s’adapter aux aléas de son métier

Le contenu du cahier des charges de l’entreprise dont dépend l’agent de relation vis-à-vis des producteurs laitiers peut évoluer. Le promoteur de sa structure d’accueil peut, par exemple, décider de la suppression ou du changement d’une méthode de conservation du lait produit. Il peut aussi insister sur le fait de revoir l’alimentation des vaches. Il appartient donc à l’agent de relation avec les producteurs d’intégrer les exigences et de l’imposer, de façon subtile, aux fournisseurs. Il lui faut donc trouver le bon compromis entre l’industrie laitière et les fournisseurs afin que les deux parties obtiennent satisfaction. Il doit conseiller et rassurer le producteur pour répondre aux exigences de la laiterie.

Autres appellations

  • Agent de relation avec les fournisseurs de lait
  • Agent relation culture (ARC)

Savoir-faire & savoir-être

Pour exercer le métier d’agent de relation avec les producteurs de lait, il faut nécessairement avoir un certain nombre de compétences et de qualités.

Ainsi, il doit :

  • avoir un bon tempérament qui sera pour lui un avantage de taille dans les situations de conflits d’intérêts.
  • être de bonne moralité et être digne de confiance (qualité nécessaire pour le climat des affaires et de la négociation).
  • être rigoureux et intransigeant dans le respect du contenu du cahier des charges de la laiterie.

Les fournisseurs ont tendance à voir dans cette rigueur de la dureté, mais ignorent que les ordres ne viennent pas directement de lui. Par ailleurs, il doit avoir un esprit d’analyse très poussé afin de prendre, chaque fois, les décisions qui avantagent la laiterie dont il est l’employé.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier d’agent relation producteurs nécessite certaines formations. Si vous aspirez à cette carrière en tant qu’ARC, vous avez choisi d’exercer un métier prometteur. Cependant, voici quelques critères que vous devez remplir.

  • Avoir un BAC+2 dans le domaine agricole (formation de base) ;
  • Avoir fait une spécialité dans le domaine laitier est un vrai atout ;
  • Avec un BTS agricole en production animale ou en analyse et conduite de systèmes d’exploitation.
restauration collective

Découvrez le métier de restauration collective

Le responsable des achats en restauration collective veille à ce que le menu respecte un bon équilibre alimentaire.

Interview

Descriptif du métier

La restauration fait partie des secteurs d’activités où le respect rigoureux des règles d’hygiène et de sécurité est indispensable. Par ailleurs, en restauration collective un certain suivi de l’approvisionnement, de la production et de la gestion en général est nécessaire. C’est alors qu’intervient le responsable des achats en restauration collective. Il s’occupe de diverses fonctions telles que le contrôle et la supervision de plusieurs centres de restauration collective. Il agit en tenant compte des exigences en matière de qualité ainsi que des règles de sécurité et d’hygiène alimentaire de l’établissement où il intervient. Découvrez le métier de ce professionnel, les missions qui y sont attachées ainsi que les compétences requises pour l’exercer.

Le responsable en restauration collective : qui est-ce ?

Les missions du responsable des achats en restauration collective sont généralement effectuées à l’intérieur d’une collectivité ou d’une entreprise. En effet, ce professionnel est présent dans les cantines d’hôpitaux, les restaurants d’administration, les cantines d’établissements d’enseignement, le mess dans l’armée, etc.

Il est bien souvent en contact avec d’autres responsables à divers niveaux de la chaine de fonctionnement de l’entreprise ou de la collectivité. Ainsi, il peut être en liaison avec le directeur d’établissement, les fournisseurs de vivres et matières premières, le chef de cuisine, les agents des services d’hygiène, etc.

Les conditions dans lesquelles il travaille dépendent du fonctionnement et de l’organisation de la collectivité où il exerce. La restauration dans certains établissements peut se faire en différé ou en direct. De ce fait, le responsable des achats peut être amené à exercer ses fonctions en fin de semaine ou pendant les jours fériés. Maîtriser les normes relatives à l’hygiène et à la sécurité alimentaire est une condition non négociable pour faire ce métier.

Tout le long de son parcours, après avoir acquis de l’expérience, un responsable des achats en restauration collective peut espérer occuper diverses postes de responsabilités. Il s’agit notamment de fonctions telles que :

  • Formateur en hôtellerie et restauration ;
  • Directeur d’une PME (petite et moyenne entreprise).

Que fait le responsable en restauration collective ?

Le responsable des achats en restauration collective est chargé de la supervision des menus du restaurant. Il contrôle la composition des menus proposés et veille à ce qu’il respecte un bon équilibre alimentaire. Il s’assure également que le coût de revient de la production de ces menus respecte les exigences de la direction de la collectivité.

Le responsable des achats en restauration collective fait une vérification régulière de l’état des stocks et s’occupe de la préparation des commandes reçues. En fonction de l’état du stock, il définit les différents produits dont l’approvisionnement est nécessaire. Il se charge de la mise en place d’actions préventives pour prévenir les différents erreurs et écarts qui pourraient subvenir.

Au cas où les mesures préventives échoueraient, il devrait prévoir des mesures correctives. Il s’occupe aussi de vérifier si une norme d’hygiène adoptée est effectivement appliquée. À cet effet, l’entretien des équipements et accessoires de cuisine professionnelle est une tâche obligatoire pour le responsable des achats en restauration collective.

Le responsable des achats en restauration collective s’occupe également des tâches administratives. Il s’agit, en particulier, de gestion comptable et administrative. Il s’occupe de l’organisation de l’emploi de temps du personnel et vérifie tous les éléments d’activité du personnel. Il lui incombe de faire un suivi budgétaire, de dresser un inventaire ou de mettre sur pied une enquête de satisfaction.

Le responsable des achats en restauration collective peut également se retrouver en cuisine. Il peut être appelé à faire des plats pour des personnes sous traitement médical. Il peut aussi cuisiner pour des personnes âgées ainsi que pour des enfants.

Le professionnel chargé des achats en restauration collective a pour mission de faire la sélection des fournisseurs. Hormis les fournisseurs, il doit aussi faire le choix des sous-traitants et des prestataires. Il doit aussi s’occuper de la supervision du circuit de livraison. En outre, il doit veiller à ce que les ressources alimentaires disponibles ne soient pas gaspillées. Il peut aussi, si nécessaire, redéfinir les menus proposés afin d’être en phase avec les attentes des clients.

Le responsable des achats en restauration collective peut aussi diriger un établissement ou un centre de restauration collective. Il peut s’occuper du recrutement et de la formation du personnel. Il devra alors se rassurer que chaque personne recrutée maîtrise parfaitement toutes les techniques et procédures en vigueur au sein de la collectivité. Il a à charge de veiller sur les équipements et de déterminer s’il y a lieu de faire des travaux de rénovation d’une structure.

Autres appellations

  • Intendant
  • Gérant de restaurant de collectivité
  • Chef de secteur de restauration collective
  • Directeur de restaurant de collectivité
  • Chef de production en restauration collective

Savoir-faire & savoir-être

Un responsable des achats de restauration collective doit avoir des prérequis en gestion financière, comptable et administrative. Il doit s’y connaître en gestion des ressources humaines, en responsabilité sociétale des entreprises et en management.

Un bon responsable des achats maîtrise les techniques de planification, la gestion des stocks, les types de régimes alimentaires ainsi que la législation alimentaire. Il a et développe des compétences en diététique, en technique de recrutement, en technique de communication, en analyse statistique et en pédagogie.

Le gérant de restauration collective doit avoir une maitrise parfaite des logiciels de gestion de stocks et des logiciels comptables. Il doit maîtriser les outils bureautiques, et être en mesure de mettre en place des tableaux de bord. Il doit connaître le système HACCP ainsi que les normes relatives à la sécurité dans les établissements qui reçoivent du public. Il doit absolument s’y connaître en production culinaire et en techniques de liaison chaude/froide.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir responsable des achats en restauration collective, il faut suivre une formation en économat ou en gestion restauration collective.

Les formations en cuisine et gestion de cuisine permettent aussi d’embrasser ce métier.