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formateur

Découvrez le métier de formateur.trice

Le formateur assure la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants dans un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public.

Descriptif du métier

La pratique de l’agriculture nécessite une formation spécifique et adaptée. Ainsi, les lycées agricoles et les centres de formation jouent pleinement ce rôle d’encadrement et de suivi des aspirants aux professions ayant trait avec l’agriculture. Ceci est possible grâce aux formateurs qui inculquent des connaissances théoriques et pratiques aux apprenants en vertu des démarches pédagogiques requises.

Fin pédagogue, le formateur manie, avec facilité, l’art de transmettre des connaissances. Il accomplit plusieurs tâches afin de remplir convenablement les missions qui lui sont confiées.

Dans cette fiche métier, nous vous amenons à la découverte du métier de formateur.

Le formateur : qui est-ce ?

Le formateur peut être un homme ou une femme. Travailleur salarié, le formateur ou la formatrice officie au sein d’un organisme de formation pour les métiers de l’agriculture et de l’élevage. Si certains formateurs travaillent au niveau des établissements publics, d’autres, par contre, exercent leurs fonctions dans les lycées ou centres de formation privés. Toutefois, le formateur peut travailler pour le compte d’une entreprise ou d’un cabinet de consultation. Dans ce cas, il abhorre souvent le statut de travailleur indépendant.

Le formateur est rarement confronté à la monotonie. En effet, il travaille dans un cadre varié et diversifié. Parfois, dans son bureau et les yeux rivés sur son ordinateur, il se retrouve ensuite dans une salle de classe pour échanger avec ses apprenants. Assez souvent, il effectue des visites de terrain, conduit des travaux pratiques et parcourt des trajets pour des voyages d’études.

Le formateur est un professionnel largement autonome qui décide et organise librement son temps ainsi que son travail.

Concrètement, quelles sont les activités inhérentes à la fonction de formateur ou de professeur formateur ?

Que fait le formateur ?

Le formateur réalise un paquet de tâches intéressantes et passionnantes. Pour faire simple, les attributions du formateur peuvent être résumées en trois phases essentielles.

  • Premièrement, le formateur est tenu d’assurer la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants à l’issue des modules de cours.

Pour remplir efficacement cette mission importante et tributaire de sa fonction, le formateur sélectionne et adapte une méthode pédagogique en fonction des objectifs spécifiques, des publics cibles et des ressources matérielles et humaines disponibles.

Ensuite, il s’occupe de la conception des supports des apprentissages (cours magistraux, travaux de laboratoire, travaux en atelier, travaux pratiques, stages et activités pluridisciplinaires…).

Par ailleurs, le formateur doit s’investir pleinement dans la recherche et le traitement des informations à mettre à la disposition des étudiants. Il tire lesdites informations des livres, manuels, revues et sites internet spécialisés.

Pour son enseignement, le formateur doit recourir aux exemples et illustrations concrets régulièrement rencontrés dans le milieu professionnel. Il organise également des visites pédagogiques pour instruire les étudiants ou stagiaires sur un aspect spécifique de l’enseignement.

Le formateur est astreint à évaluer les prérequis et les connaissances acquises par les apprenants. Pour ce faire, il organise des préparations de devoirs, donne des exercices de maison, procède à des évaluations de classe et corrige les copies rendues par les élèves.

  • Deuxièmement, le formateur a un rôle primordial au sein de l’organisation de l’établissement d’enseignement ou du centre de formation. Ainsi, il est tenu de participer au fonctionnement interne de l’établissement au sein duquel il officie. Pour remplir cette deuxième mission fondamentale, le formateur s’implique dans le processus d’élaboration et d’exécution du projet d’établissement.

Ensuite, le formateur tient un rôle important au sein des différentes commissions de suivi des ateliers pédagogiques tels que : banc de scierie, serres, exploitation, hall agroalimentaire, ateliers mécaniques… Dans ces différentes commissions, le formateur apporte ses idées et visions.

De plus, le formateur assume un rôle clé dans le suivi, l’orientation et l’insertion des apprenants en cours de formation. Il épaule notamment les personnels d’enseignement, d’éducation et d’insertion dans cette mission primordiale.

Par ailleurs, les fonctions du formateur l’obligent à travailler en partenariat avec les entreprises. Ces dernières l’accompagnent dans la formation qu’il délivre aux apprenants régulièrement inscrits dans son cours. De même, il collabore étroitement avec les professionnels qui prennent activement part aux ateliers technologiques.

  • Troisièmement, le formateur peut se voir attribuer un rôle un peu plus particulier. En effet, il peut arriver que le formateur joue une fonction de coordination d’une formation spécifique. Dans ce cas, il s’implique soit dans les aspects administratifs, relationnels ou financiers de la formation. Le formateur peut toutefois se voir confier la gestion des stages.

Autres appellations

  • Professeur formateur
  • Enseignant

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice de la fonction de formateur ou formatrice requiert un certain nombre de compétences pratiques et de qualités.

En ce qui concerne les compétences pratiques, nous avons entre autres :

  • Aptitude à traduire aisément un savoir-faire en modules d’enseignement théorique ou de travaux pratiques ;
  • Être capable de réaliser une sélection rigoureuse de méthodes, techniques ou formules pédagogiques adaptées pour faire passer un message ;
  • Avoir de bonnes aptitudes de synthèse à l’écrit et à l’oral ;
  • Bonne capacité de communication, d’expression et de mémorisation ;
  • Maîtrise de l’environnement socio-économique des entreprises agricoles.

Pour ce qui est du savoir-être, le formateur doit cumuler des qualités importantes telles que :

  • Enthousiasme ;
  • Eloquence ;
  • Rigueur ;
  • Écoute ;
  • Diplomatie…

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès au métier de formateur est préalable à une formation spécifique et à l’obtention d’un diplôme spécifique. Voici, entre autres, les formations et diplômes requis pour devenir formateur au sein d’un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public :

  • Diplôme d’Ingénieur en Agriculture ou Techniques agricoles;
  • Diplôme de 2e ou de 3e cycle dans la filière Agriculture ;
  • Formation diplomante ou certifiante en Agriculture Production Végétale;
  • Formation dans l’option Formateur spécialisé;
  • Master professionnel en enseignement, apprentissage et formation (EAF) ou formation, emploi et compétences (EFC)…
responsable démarche RS

Découvrez le métier de responsable démarche RS

Le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Descriptif du métier

Aujourd’hui, le volet écologique occupe une place de choix dans les politiques agricoles. Le respect des normes environnementales est devenu un impératif pour toutes les entreprises agricoles désireuses et les industries de production. Ainsi, des fonctions spécifiques sont créées en vue d’implémenter et de matérialiser convenablement la Responsabilité Sociétale des Entreprises.

En ce sens, le responsable démarche RS est la tête de proue de ce mécanisme qui représente un outil de communication, de gestion, de marketing et développement pour les entreprises agricoles.

Qui est véritablement le responsable démarche RSE ?  Quelles sont les compétences, les qualités et les formations nécessaires pour accéder à cette fonction ?

Le responsable démarche RS : qui est-ce ?

Le responsable démarche RS est le prototype parfait d’un manager dynamique et influent. Cultivé, jovial et charismatique, il a le développement durable et les actions sociétales comme champs d’action. S’il peut assurer ses fonctions dans une exploitation ou entreprise agricole, il peut également travailler pour le compte des usines de transformations de produits laitiers ou agroalimentaires.

Parfois épaulé par l’Assistant Environnement dans ses tâches, le responsable démarche RS travaille en collaboration avec plusieurs services de l’entreprise. En substance, quelles sont les activités menées par le responsable démarche RS au sein d’une entreprise agricole ou d’une industrie ?

Que fait le responsable démarche RS ?

Le champ d’action du responsable démarche RS est assez large. Par conséquent, les tâches qui lui sont dévolues sont étoffées.

D’abord, l’un des premiers rôles du responsable démarche RS consiste à accompagner la direction de l’entreprise dans le processus d’élaboration et de mise en œuvre d’une approche RS dans tous les corps de métiers de la société. Pour ce faire, il se doit de formuler un argumentaire poignant sur les avantages de l’adoption d’une telle approche ou démarche. Ainsi, le responsable démarche RS regroupe des preuves et des données factuelles pour étayer sa position.

Ensuite, le responsable démarche RS milite pour un marketing responsable. Il s’investit personnellement pour que l’entreprise s’oriente vers des pratiques commerciales axées sur les principes éthiques et la bonne foi.

Le responsable démarche RS revêt, par ailleurs, l’apparat d’analyste. Ainsi, il étudie le marché et oriente l’entreprise vers la bonne approche RS afin de se démarquer positivement des entreprises concurrentes évoluant dans le même secteur d’activité.

De plus, le responsable démarche RS joue un rôle important dans la mise en œuvre de la politique RS de l’entreprise au sein de laquelle il officie. Ainsi, il pilote, de main de maître, les stratégies de RS élaborées et adoptées par l’entreprise.

Pour être plus explicite, le responsable démarche RS applique les actions retenues en vue de préserver la nature et l’environnement. De même, il veille à la mise en œuvre des politiques visant à diminuer considérablement les émissions de gaz à effet de serre. Le suivi de l’exécution des mesures visant l’amélioration des conditions de vie et de travail des employés est également une attribution du responsable démarche RS. Aussi, le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Par ailleurs, il veille à la prise des mesures adéquates pour diminuer la consommation des énergies fossiles. Pour ce faire, il promeut la prépondérance des énergies renouvelables afin de limiter les impacts environnementaux rattachés aux différentes activités pratiquées par l’entreprise.

Dans un tout autre registre, le responsable démarche RS s’implique activement sur de nombreux chantiers tels que l’optimisation de la sécurité au travail des ouvriers, la lutte contre toutes formes de discrimination dans les sphères de la société. S’il milite pour le dialogue social et le développement des compétences, il s’implique pleinement dans la lutte contre la culture du harcèlement ou du favoritisme en entreprise.

Autres appellations

  • Directeur du développement durable
  • Responsable environnement

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice du métier de responsable démarche RSE requiert l’acquisition de certaines compétences pratiques et qualités spécifiques.

Comme compétences pratiques, le responsable démarche RSE doit faire preuve de :

  • Maîtrise de la RSE des entreprises ;
  • Connaissances approfondies en gestion des ressources humaines ;
  • Maîtrise parfaite des questions liées au développement durable ;

Pour ce qui est des qualités du responsable démarche RSE, ce dernier doit savoir entre autres :

  • Animer une équipe ou un groupe de travail ;
  • S’exprimer aisément tant à l’oral qu’à l’écrit ;
  • Avoir l’esprit d’écoute, d’analyse et de synthèse ;
  • Faire preuve de pédagogie ;
  • Se remettre en cause et s’instruire continuellement.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de responsable démarche RSE est accessible aux personnes titulaires d’un :

  • Master en sciences humaines, politiques et gestion ;
  • Master en environnement, développement durable, aménagement ou éco-développement ;
  • Diplôme d’ingénieur agricole ou industriel ;
  • Diplôme en Industries Agroalimentaires ;
  • Diplôme en droit de l’environnement.
responsable des ventes

Découvrez le métier de responsable des ventes

Le responsable de ventes établit de nouvelles stratégies avec son équipe dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Interview

Descriptif du métier

L’industrie du commerce regroupe plusieurs métiers exercés par des professionnels chevronnés. Chacun de ces métiers exige de la rigueur, de la passion, l’amour de la qualité et du travail bien fait. Chargé d’encadrer une équipe de commerciaux, le responsable des ventes ne déroge pas à la règle. Rôle principal, missions, prérequis, compétences, formations, découvrez l’essentiel sur ce métier.

Le responsable des ventes dirige une équipe. Sa principale fonction est d’accroître les chiffres de ventes d’un secteur ou dans une zone géographique précise.

Le responsable des ventes : qui est-ce ?

Le responsable des ventes est sur le terrain et il manage une équipe de commerciaux. Il doit booster les ventes de son entreprise. La pression induite par les objectifs à atteindre est également présente dans le quotidien d’un responsable de ventes. En progressant dans sa carrière, un responsable des ventes peut être promu au poste de directeur commercial. Ce professionnel peut travailler dans les secteurs de l’alimentation, dans la distribution ainsi que dans de nombreux autres secteurs. Son savoir-faire est transposable à tous les domaines d’activités. C’est donc un métier qui offre des débouchés et des perspectives enrichissantes.

Que fait le responsable des ventes ?

Le responsable des ventes accompagne les commerciaux au quotidien, et répond à leurs besoins, tout en mettant en place un bon encadrement. Il se charge de recruter et d’intégrer à son équipe de nouveaux commerciaux s’il y a lieu de le faire. Il veille à l’atteinte des objectifs fixés par la direction en usant de tous les moyens à sa disposition.

Le responsable des ventes doit organiser des réunions chaque semaine avec son équipe de commerciaux afin de faire un point, mais aussi échanger. Il devra discuter et établir de nouvelles stratégies avec son équipe toujours dans le but d’optimiser les chiffres de vente.

Chaque phase du processus de vente est sous sa supervision. Partant de la livraison des produits à vendre jusqu’au moment de l’encaissement, il a l’œil sur tout. Il doit régulièrement s’assurer de la disponibilité des produits et veiller à ce qu’ils soient livrés dans les temps. Il se charge de vérifier les factures impayées et de relancer les débiteurs.

En cas de litige avec un client, il intervient et règle le problème. Il élabore des solutions pour prévenir d’éventuels écarts et s’occupe de la mise en place d’actions correctives.

En étroite relation avec sa direction, il doit fréquemment réaliser des rapports ainsi que des tableaux de bord. Il doit dialoguer avec son équipe et être à l’écoute de ses collaborateurs. Il doit savoir les motiver et les faire progresser dans leurs pratiques. Il s’occupe de planifier l’emploi du temps de ses collaborateurs et de réaliser des témoins des résultats espérés. Maîtrisant les normes relatives à l’hygiène, au respect de l’environnement, à la qualité et à la sécurité, il veille au respect strict de ces dernières.

Le respect de ces normes est d’autant plus rigoureux quand il a à charge des produits périssables. Dans le cadre de sa fonction, il est en contact permanent avec les fournisseurs. L’une de ses missions est de faire des propositions à la direction pour l’évolution de son secteur.

Autres appellations

  • Chef de secteur
  • Responsable export
  • Responsable de secteur
  • Responsable grands comptes
  • Responsable commercial

Savoir-faire & savoir-être

Le responsable des ventes est à la disposition des clients, de ses supérieurs hiérarchiques, des fournisseurs et des membres de son équipe. Étant sollicité constamment de part et d’autre, il doit avoir un physique solide et un mental fort. Un responsable de vente doit naturellement aimer les défis.

Pour bien encadrer son équipe de travail, il se doit d’être capable d’affirmer son autorité. Il est à la fois autoritaire et fin diplomate. Il doit avoir et développer une bonne capacité d’écoute afin de pouvoir bien accompagner ses collaborateurs.

Le responsable des ventes est, sans nul doute, un bon communicateur. En plus d’être un bon manager, le responsable des ventes doit maîtriser parfaitement l’art de la négociation ainsi que les techniques de vente. Il doit aussi connaître des notions de pédagogie puisqu’il est chargé de dispenser des formations à ses collaborateurs. Aussi, il doit avoir une culture commerciale importante et être doté d’un sens élevé des responsabilités. Il doit savoir organiser.

Le responsable des ventes est un compétiteur par excellence. Il aime quand ça bouge et s’implique corps et âme dans chaque mission pour l’atteinte des objectifs fixés.

Il doit être enthousiaste, doté d’un grand dynamisme, fort réactif, rigoureux et fédérateur. Quand cela s’avère nécessaire, le responsable des ventes doit pouvoir remettre en question ses choix. Être polyglotte ou tout au moins avoir une bonne maîtrise de l’anglais est un atout pour un responsable des ventes. Il doit être à l’aise avec les chiffres.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour espérer devenir responsable des ventes, il faut acquérir des diplômes. Il faut ensuite exercer dans les domaines de l’action commerciale et de la vente afin de gagner en expérience. La formation pour obtenir les diplômes menant à ce métier peut durer deux ou trois ans.

Il est donc possible d’exercer ce métier avec :

  • un BTS technico-commercial;
  • un BTS en négociation et relation client;
  • un DUT techniques de commercialisation
  • une licence professionnelle de responsable des ventes.

Il faut, en particulier, une licence professionnelle en commerce international ou une licence professionnelle en gestion de point de vente.

De même que la licence professionnelle, avoir un diplôme plus élevé est un atout pour occuper des postes importants. Ainsi, un master en commerce marketing ou un master en management et commerce international peut vous conduire au poste de responsable des ventes et bien plus.

picto entrepreneur agricole

Découvrez le métier d’entrepreneur.euse agricole

L’entrepreneur.e agricole est chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes.

Descriptif du métier

Les travaux agricoles nécessitent la conduite et la manipulation d’engins lourds comme le tracteur, l’ensileuse et l’épareuse. Il s’agit d’équipements spécifiques, dont la conduite est confiée à une personne spécialisée.

L’entrepreneur agricole a de solides connaissances en mécanique et il est à l’aise avec du gros matériel. Il a aussi une bonne connaissance du domaine agricole et il est aux côtés des agriculteurs pour les accompagner dans certaines de leurs tâches.

Vous ne savez rien de ce corps de métier ? Vous trouverez dans cette fiche métier tout ce qu’il faut savoir : ce que fait le conducteur d’engins, ses aptitudes, sa personnalité, et aussi sa formation.

L’entrepreneur agricole : qui est-ce ?

L’entrepreneur agricole peut être salarié dans une exploitation agricole ou pour le compte de collectivités et des industriels. Il peut aussi être un indépendant et travailler pour le compte de ces structures.

Lorsqu’il est salarié, il a la responsabilité de la conduite et de l’entretien des machines mises à sa disposition. Il veille à leur bon fonctionnement et à la tenue à jour des documents administratifs y afférents : assurance, vignette, visite technique, etc.

Lorsqu’il est indépendant, il est responsable de la bonne marche de son activité. En tant que chef d’entreprise, il y a des actes qu’il est amené à poser.

Que fait l’entrepreneur agricole ?

C’est généralement entre juin et décembre qu’il est le plus sollicité. Pendant cette période, il est mobilisé pour aider aux récoltes ou à l’épandage selon la région.

Son rôle est indispensable pour le bon déroulement des travaux. Il est disponible pour travailler de jour et de nuit. Il ne connaît ni week-end ni jours fériés pendant la saison culturale.

À l’aide des machines, l’entrepreneur agricole fait des labours, des traitements et des récoltes au gré des saisons. Lors des moissons ou des semis, il est généralement sur le terrain où il est sérieusement sollicité. En hiver, les activités sont plus relax, et il est demandé pour des travaux connexes comme l’aménagement des routes, l’entretien des espaces. C’est en hiver également qu’il se consacre à l’entretien ou à la réparation du matériel.

Au quotidien, ce professionnel règle et prépare son matériel en tenant compte de la demande et des données agro-climatiques. Sur le terrain, il prépare le sol, fait l’épandage de la chaux, et retourne le sol superficiellement afin de faire le labour.

L’entrepreneur agricole est également chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes :

  • binage,
  • désherbage,
  • traitements phytosanitaires,
  • épandage,
  • buttage,
  • etc…

Il est également présent lors des récoltes, car c’est lui qui se charge de toute l’opération. À l’aide de la moissonneuse-batteuse, il réalise la récolte.

Le travail est fait dans le respect des règles de sécurité et d’hygiène. Il peut apporter des correctifs et faire face à des imprévus. Son travail répond à un timing précis, et il est tenu de respecter les délais.

L’entrepreneur agricole fait la maintenance courante comme le réglage, le graissage, la vidange, ou le suivi du niveau de carburant. Il a les compétences requises pour gérer les soucis mineurs. En cas de grosses pannes, il informe le mécanicien et suit la réparation dudit matériel.

Par ailleurs, il assure la propreté du matériel, du garage ou du hangar où tout est entreposé. C’est également lui qui assure le rangement de tout le matériel dans le respect des normes de sécurité.

Autres appellations

  • Tractoriste
  • Conducteur/chauffeur de machines agricoles
  • Machiniste

Savoir-faire & savoir-être

L’entrepreneur agricole est, avant tout, une personne disponible et motivée à travailler à tout moment. Il a des connaissances en agronomie et a l’amour du monde agricole.

Ce professionnel a le contact facile et est prêt à s’adapter à toutes les situations. Il est capable de travailler en autonomie comme en équipe. Il est censé aussi prendre des initiatives.

Le conducteur d’engins agricoles possède des connaissances techniques sur les matériels qu’il conduit. De même, il a des notions en mécanique pour effectuer de petites réparations. Il doit régulièrement actualiser ses connaissances, car la technologie évolue. Il sait se servir de l’ordinateur de bord et suit l’évolution de ses machines.

L’entrepreneur agricole a besoin de connaissances en agronomie pour identifier la nature du sol. Il doit être capable d’identifier les problèmes et de les analyser en vue de trouver des solutions. Méthodique et rigoureux, cet acteur sait être respectueux des délais fixés.

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès à ce métier est conditionné par une formation diplômante en production agricole et utilisation de matériels. Il faut avoir une homologation en Conducteur d’engins de travaux publics et de génie rural. Il peut aussi avoir une certification de spécialisation sur les tracteurs et les machines agricoles avec option utilisation et maintenance.

Pour faire ce métier, il faut également avoir :

  • un brevet professionnel en travaux de conduite et entretien des engins agricoles
  • un brevet professionnel en agroéquipement.

Vous pouvez aussi avoir :

  • un BTSA, génie des équipements agricoles
  • un BTS, techniques et services en matériels agricoles.
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Découvrez le métier de Conseiller.ère marché agricole des réseaux bancaires

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées.

Descriptif du métier

Les métiers de la banque et de l’assurance sont variés. Les clients ont besoin de conseils et de suivis, et il faut un professionnel à leur disposition pour les aider à trouver satisfaction. C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller bancaire/assurance. Il s’agit d’un acteur qui remplit plusieurs missions qui concourent au maintien et à la fidélisation des clients. Il veille sur les intérêts de ses clients et s’assure de ce que ces derniers trouvent entière satisfaction.

Le secteur de la banque et de l’assurance est très concurrentiel, et les clients sont capricieux et volatiles. Une assistance personnalisée est parfois nécessaire pour les aider à trouver ce qu’ils veulent et aussi pour les fidéliser. Le conseiller bancaire/assurance est la personne qui est chargée de cette lourde tâche. Il a aussi le devoir d’accroître son portefeuille en prospectant de nouveaux clients.

Vous avez déjà entendu parler du conseiller bancaire/assurance, mais ne savez pas en quoi consiste le métier ? On vous donne toutes les informations à ce sujet dans la présente fiche métier.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires : qui est-ce ?

Le conseiller bancaire/assurance est un salarié qui évolue dans les banques, les assurances et les institutions de crédit. Dévoué et prompt, il aime relever des défis et a le sens des responsabilités. Il occupe une place importante dans les activités bancaires, car les clients qui lui sont assignés passent par lui pour tous leurs besoins.

Que fait le conseiller marché agricole des réseaux bancaires ?

Le métier touche essentiellement au maintien et au développement de la clientèle. Sa mission est d’augmenter son portefeuille clientèle et de suivre l’évolution des comptes de ses clients. Selon la taille de la structure qui l’emploie, il peut se retrouver avec 100 ou 700 clients venant d’horizons divers : commerçants, étudiants, particuliers, artisans, PME/PMI, etc.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées. Il peut s’agir d’une demande de crédit, d’un besoin de placement ou d’une demande de découvert. Pour cela, il doit collecter et analyser les données financières des clients, et évaluer les besoins de garantie. C’est lui qui monte les dossiers de crédit dans le strict respect des procédures.

Dans le cas de lancement de nouveaux produits, il est amené à les présenter à ses clients et les aider à faire le meilleur choix. Si un incident survient, il contacte ces derniers pour s’informer sur leurs difficultés et essayer de leur apporter des solutions. Si nécessaire, il peut aviser la hiérarchie pour décision à prendre.

En plus d’être un conseiller, il a aussi l’obligation de fidéliser ses clients. Pour cela, il peut être amené à accorder certaines concessions. Il est soumis à des objectifs chiffrés, c’est pourquoi il doit constamment prospecter de nouveaux clients et développer des stratégies et des arguments pour les convaincre. En outre, il doit faire la promotion des nouveaux produits et proposer des solutions financières adaptées au besoin et à la situation de chacun de ses clients.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à la fois un homme de terrain et un professionnel qui travaille au bureau. Dans l’exercice de sa profession, il peut être amené à faire des descentes sur le terrain pour rencontrer ses clients dans leur environnement et analyser leurs problèmes. Il peut aussi aller à la rencontre de nouveaux clients pour leur proposer ses produits.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires surveille, au quotidien, les comptes clients et n’hésite pas à faire des relances en cas de retard des paiements. Il actualise également ses données afin que les comptes reflètent la réalité.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires participe aux réunions du comité de crédit et émet son avis sur les décisions prises. Si un client ne mérite pas d’obtenir un crédit ou si un compte doit être suivi de près, il est de son devoir de le signaler.

Périodiquement, il rend compte à la hiérarchie de l’évolution de ses activités. Il peut être amené à effectuer des opérations courantes comme tenir la caisse, accueillir et orienter les clients ou régler de simples sinistres.

Autres appellations

  • Chargé de comptes clients
  • Chargé de clientèle

Savoir-faire & savoir-être

Devenir conseiller bancaire/assurance demande certaines qualités. Il doit :

  • Connaître les produits vendus par son entreprise et la réglementation bancaire et de l’assurance
  • Avoir un goût pour les chiffres avec une bonne base en comptabilité.
  • Évaluer les risques et suivre constamment l’évolution du marché.

C’est également un bon commercial qui sait construire un argumentaire de vente. Il doit aussi savoir quand effectuer des relances (prospects, retard de paiements).

Sur le plan personnel, le conseiller bancaire doit être dynamique, méthodique et organisé. C’est un bon communicateur, et il sait travailler en équipe ou en autonomie. C’est une personne qui est capable de prendre des initiatives. Il a aussi une bonne capacité d’analyse et sait se maîtriser dans les situations de stress. C’est également une personne discrète.

Les formations qui mènent à ce métier

Le conseiller bancaire/assurance est recruté généralement avec un Bac+2 au minimum. Il peut aussi avoir une licence professionnelle. Néanmoins, le niveau le plus recherché est le Bac+5 qui offre plus de perspectives d’évolution.

Vous pouvez suivre une formation en continu ou en alternance dans les domaines suivants :

  • Management des unités commerciales
  • Négociation commerciale
  • Gestion des entreprises
  • Finance comptabilité
  • Assurance banque et finance, ou banque avec option en marchés particuliers.

Au niveau master, ce sera le master en monnaie, banque ou assurance.

picto conseiller gestion entreprise

Découvrez le métier de conseiller.ère en gestion d’entreprise

Le conseiller en gestion d’entreprise s’assure du bon fonctionnement, au quotidien, de l’entreprise et prévient les difficultés.

Descriptif du métier

Une entreprise est amenée à réaliser des opérations pour le développement et la pérennité de ses activités. Toutes ces opérations doivent être menées à bien si l’entreprise veut tirer son épingle du jeu dans un environnement.

C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller en gestion d’entreprise, dont le champ d’action est très vaste.

Le conseiller en gestion d’entreprise est un professionnel dont la mission est de s’assurer du bon fonctionnement de l’entreprise et de la continuité de ses activités.

Vous avez déjà entendu parler de ce métier, mais ne savez pas de quoi il relève réellement ? Dans cette fiche métier, nous vous donnons toutes les informations à ce sujet.

Le conseiller en gestion d’entreprise : qui est-ce ?

Le conseiller en gestion d’entreprise est un gestionnaire d’entreprise qui travaille avec les chefs d’entreprise. Salarié ou indépendant, il est directement rattaché à la direction générale et concourt aux prises de décisions.

Garant de la fiabilité et de l’exhaustivité des données sociales, il a pour rôle de développer, en collaboration avec la direction, les stratégies qui permettront à l’entreprise de se développer. Il s’assure de la recevabilité des demandes, et effectue le recouvrement des cotisations. Il oriente la direction sur les grands changements humains et organisationnels à effectuer pour l’atteinte des objectifs. Son rôle est aussi de présenter les produits et services de l’entreprise.

Organisé et méthodique, il est également cultivé et a l’esprit ouvert. Il est d’un naturel curieux et flexible. Il doit être également disponible et avoir l’esprit critique et alerte pour éviter les problèmes, et aider le directeur à prendre les bonnes décisions au moment où il le faut.

Que fait le conseiller en gestion d’entreprise ?

Sa fonction touche principalement à tous les métiers de l’entreprise :

  • la gestion,
  • les finances,
  • les ressources humaines,
  • la direction générale,
  • l’organisationnel.

C’est un gestionnaire qui a une vision à long terme. C’est un acteur qui contribue à faciliter le travail des équipes grâce à des modes de fonctionnement plus appropriés. Il est présent et disponible pour faire développer l’entreprise. C’est lui qui définit le cadre positif au niveau technique, organisationnel et des conditions de travail.

Le conseiller en gestion d’entreprise est toujours en quête du perfectionnement, et n’hésite pas à apporter des innovations pour la sécurité des biens et des personnes. Il veille à l’amélioration des process et à la qualité des services. Il sensibilise aussi en matière de protection sociale. Lorsqu’il est indépendant, cet acteur important gère les contrats et comptes entreprises et contribue à la fiabilité et à l’exhaustivité des données.

Le conseiller en gestion d’entreprise a une bonne maîtrise de l’environnement et de la réglementation de la protection sociale. Il connaît les normes de qualité, le dispositif de contrôle interne et la maîtrise des risques.

Autres appellations

  • Responsable en organisation d’entreprise

En tant qu’indépendant :

  • Consultant en organisation et management
  • Consultant en intelligence économique
  • Consultant en analyse de la performance

Pour le compte des organismes sociaux :

  • Gestionnaire Adhésions
  • Gestionnaire Relation Client Entreprises
  • Technicien de Gestion des Contrats
  • Gestionnaire Contrats Collectifs

S’il évolue au sein d’un cabinet, il peut être appelé :

  • Gestionnaire Services aux Entreprises ou Contrat Entreprises

Savoir-faire & savoir-être

Exercer le métier de conseiller en gestion d’entreprise requiert des compétences techniques, une bonne moralité et certaines aptitudes personnelles.

Fin observateur, le consultant en organisation et management est doté d’un sens logique très pointu.

Très organisé et méthodique, le conseiller en gestion d’entreprise met en place les différentes étapes pour un changement progressif et en douceur. Il a aussi de solides capacités à communiquer pour faire comprendre l’importance des nouveaux standards à adopter.

Cet acteur doit donc être patient pour soutenir sa proposition et parvenir à la faire accepter. Minutieux et respectueux des besoins réglementaires, il met rapidement à jour les modèles organisationnels pour qu’ils rentrent en vigueur immédiatement.

Sur le plan personnel, c’est une personne attentive et qui sait écouter. Il sait travailler avec une équipe et il est à l’aise avec les outils de gestion stratégique, c’est aussi un diplomate qui sait faire accepter ses opinions sans accroche.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour accéder à ce métier, vous devez avoir au minium le BTS ou Bac+2 en assurance, gestion d’entreprise et des administrations. Vous pouvez aussi passer une licence en droit des affaires ou assurance, ou un DUT en gestion des entreprises.

Pour aller plus loin dans votre carrière, vous pouvez passer un master en management, organisation d’entreprise, commerce ou en ressources humaines.

conseiller de gestion

Découvrez le métier de conseiller.ère de gestion

Le conseiller de gestion aide les agriculteurs et les éleveurs à gérer les différents aspects de leur entreprise. Il a des connaissances en économie et fiscalité des entreprises.

Descriptif du métier

Dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage, le conseiller de gestion est un professionnel dévoué qui offre diverses prestations aux agriculteurs et éleveurs. Tête pensante et organisationnelle, il endosse le costume de personne avisée pour donner la conduite à suivre en matière d’organisation, de gestion et de mise en œuvre des projets au sein des entreprises agricoles.

Homme à tout faire, le conseiller de gestion est capable de résoudre la plupart des problèmes organisationnels, structurels, relationnels et techniques rencontrés par les exploitants agricoles.

Le fonctionnement d’une entreprise agricole repose sur plusieurs piliers. La bonne maîtrise desdits piliers est un gage de réussite et de bonne croissance. Ne pouvant pas être sur tous les fronts, les agriculteurs et éleveurs ont besoin d’un guide pour les aider à gérer les différents aspects de leur entreprise.

Ainsi, le conseiller de gestion revêt ce rôle d’expert et de personne ressource. Les activités et missions qu’il effectue convergent à la réussite de ce pari.

Dans cet article, nous nous intéressons à la fonction de conseiller de gestion, ses implications, les qualités requises pour y réussir et les formations adaptées pour accéder à un tel poste.

Le conseiller de gestion : qui est-ce ?

Le conseiller de gestion est un travailleur salarié qui exerce dans les centres de gestion, les banques et les services à l’agriculture. Même s’il travaille souvent dans les quatre coins d’un bureau ou d’une agence, le conseiller de gestion effectue des déplacements sur le terrain de temps en temps.

Autonome, il  organise son emploi du temps à son gré. Toutefois, le conseiller de gestion travaille sous la responsabilité d’un directeur d’agence ou d’un chef de service.

Comme tout travailleur salarié ou pigiste, le conseiller de gestion doit s’occuper d’un certain nombre de tâches spécifiques à sa fonction. Concrètement, quelles sont les activités menées par le conseiller de gestion dans le cadre de sa fonction ?

Que fait le conseiller de gestion ?

Lorsqu’on jette un œil sur les attributions du conseiller de gestion, le moins que l’on puisse dire de lui, c’est qu’il est multitâche. Toutefois, il est possible de résumer les interventions du conseiller de gestion en deux grandes catégories.

En premier lieu, le conseiller de gestion est chargé de faire des diagnostics techniques et d’opiner sur les orientations stratégiques des entreprises agricoles. Pour remplir cette mission cruciale, il effectue plusieurs tâches ou actions à savoir :

  • Réaliser un audit de l’entreprise et commanditer plusieurs études spécifiques à la gestion globale de l’exploitation et aux aspects économiques ou financiers (Études Prévisionnelles d’Installation et Plans d’Amélioration du Matériel par exemple…) ;
  • Veiller à la supervision et au contrôle de la comptabilité ;
  • Effectuer régulièrement et au temps convenu les déclarations fiscales et sociales de l’entreprise ;
  • Élaborer et proposer des mesures ou actions à caractère préventif en matière de gestion des affaires courantes ;
  • Fournir des conseils avisés et utiles aux exploitants agricoles en matière de production, de diversification des cultures, de politique commerciale, patrimoniale ou environnementale ;
  • Apporter les contributions nécessaires pour aider les fermiers et agriculteurs à structurer convenablement leurs différents projets ;
  • Se mettre à l’affût des évolutions réglementaires, scientifiques, technologiques ou économiques afin de montrer la conduite à suivre aux entreprises ;
  • Former les éleveurs et agriculteurs sur les différentes attitudes à tenir en vue d’optimiser la productivité et le rendement de leur exploitation ;

En deuxième lieu, le conseiller de gestion porte la responsabilité de s’impliquer dans les activités organisationnelles et relationnelles des entreprises agricoles qu’il suit et accompagne. De même, il se doit de s’intéresser et de s’investir activement dans la démarche marketing ou encore l’aspect commercial. Pour ce faire, le conseiller de gestion doit entre autres :

  • Se prononcer en interne sur les dossiers en cours de traitement et les projets naissants ou en cours d’exécution. Personne ressource, il partage ses informations et expériences afin d’éclairer la lanterne des exploitants agricoles ;
  • Prendre part aux sessions ou réunions des différentes commissions ou agences agricoles chargées d’étudier et de valider les différents projets élaborés par les entreprises ;
  • Participer régulièrement à des séminaires, groupes de travail, colloques ou séances de formation en vue d’acquérir les connaissances nécessaires pour proposer l’introduction de nouveaux produits et services ;
  • Trouver les moyens et mécanismes pour rendre effectif le recouvrement des créances dues aux exploitants agricoles ;
  • Veiller scrupuleusement à l’évolution du chiffre d’affaires de l’entreprise et faire des propositions pertinentes si cela est nécessaire.

Autres appellations

  • Conseiller d’entreprise

Savoir-faire & savoir-être

Ne devient pas conseiller de gestion qui veut, mais qui possède les compétences et les qualités nécessaires.

En ce qui concerne l’aspect du savoir-faire, le conseiller de gestion doit :

  • avoir des connaissances générales en économie et fiscalité des entreprises ;
  • être un as dans le domaine de la gestion d’entreprise industrielle ou agricole ;
  • avoir des compétences en management et en mentorat ;
  • être un fin connaisseur des outils bureautiques et informatiques.

Toutefois, même si vous disposez de toutes les connaissances pratiques précédemment citées, vous n’êtes pas assuré de faire un bon conseiller de gestion. En effet, vous devez faire preuve de plusieurs qualités afin de mieux vous en sortir :

  • avoir le sens de l’organisation et du coaching ;
  • être diplomate et avisé ;
  • savoir s’exprimer en fonction de ses interlocuteurs ;
  • avoir l’esprit d’écoute, d’analyse et de synthèse.

Pour finir, le bon conseiller de gestion doit savoir organiser et animer une réunion avec leadership et éloquence.

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès à la fonction de conseiller de gestion est soumis à la suivie d’une formation spécifique et l’obtention d’un diplôme ou d’un titre professionnel.

En général, voici les diplômes ou formations requis pour devenir conseiller de gestion :

  • Licence professionnelle en management des organisations agricoles ;
  • Diplôme d’Ingénieur Agro-alimentaire ;
  • Diplôme d’Ingénieur agronome ;
  • Diplôme de 2e et 3e cycle dans les filières « économie» ou « gestion » ;
  • Diplôme ou titre professionnel en Gestion Exploitation Agricole.
picto animateur syndical

Découvrez le métier d’animateur.trice syndical.e

L’animateur syndical a un travail varié de gestion de projets. Il coordonne les activités de l’organisme qui l’emploie. Il est chargé de la mise en œuvre des politiques et de conseiller les élus dans les prises de décisions.

Interview

Descriptif du métier

L’animateur syndical a une place prépondérante au sein de l’administration d’un syndicat. Il a un rôle d’interface entre ses adhérents (les exploitants agricoles) et les institutions et partenaires extérieurs.  Son rôle est de coordonner les activités de l’organisme qui l’emploie. Il est également à la disposition de ses adhérents pour les accompagner dans différents services/conseils : juridique, fiscal, sociétés, emploi, déclarations PAC, dossier environnement, actualités réglementaires, actualités des filières, achats groupés, aide à la négociation des contrats…

Si vous n’avez jamais entendu parler de ce métier, nous faisons un zoom sur ce professionnel, les activités qu’il mène, sa personnalité et ses aptitudes. Nous vous précisons aussi des formations conseillées pour accéder au métier.

L’animateur syndical : qui est-ce ?

L’animateur syndical est un travailleur salarié qui exerce sa profession au sein d’un syndicat (type Fédération Départemental/Régional/National des Syndicats d’Exploitants Agricoles -FRSEA- ou Confédération Paysanne ou Coordination Rurale) et se bat pour accompagner les paysans français quelque soit la production (céréales, lait, viandes, fruits et légumes, etc.) dans leurs projets et trouver des solutions à leurs difficultés quelle que soit la taille de leur exploitation, leur mode de production, leurs signes de qualité ou circuits de commercialisation (circuits courts, restauration, exportation…). L’animateur donne du temps et de l’énergie à des projets collectifs.

Passionné de l’agriculture et des métiers dérivés, l’animateur occupe une place de choix dans la vie quotidienne de la structure. Il doit être dynamique et autonome. Il doit également savoir travailler en équipe et avoir l’esprit critique. C’est une personne qui doit avoir le contact facile et disposer de solides capacités de communication.

Que fait l’animateur syndical ?

Les missions de l’animateur syndicale consistent à assister aux réunions statutaires telles que les assemblées générales et les conseils d’administration, mais également des comités d’animation et des réunions thématiques. Seul ou en équipe, il gère aussi la communication interne et externe du syndicat (coordination d’actions syndicales, rédactions de communiqué de presse). Il va animer la rélfexion collective sur les dossiers d’actualités (PAC, zones vulnérables, souveraineté alimentaire…) et le portage des dossiers collectifs auprès d’institutions.

L’animateur syndical est la cheville ouvrière de l’organisme, il met tout en œuvre pour défendre et faire rayonner l’agriculture française, et un modèle économique et social pérenne.

Au quotidien, il est chargé de la concertation entre les élus et de la liaison avec les autres membres et les partenaires de la structure.

À cet effet, il est amené à préparer, organiser et animer des réunions,

Lors des rencontres :

  • il s’occupe de l’animation et du cadrage des discussions
  • en fin de séance, il fait la synthèse et apprécie la faisabilité des résolutions prises pour aboutir à des positions/des stratégies communes à mettre en place,
  • il se charge ensuite de mettre en œuvre les décisions en proposant une méthodologie adaptée.

L’animateur syndical est chargé de la mise en œuvre des politiques décidées par les élus. En fonction des projets, il doit trouver des interlocuteurs et les partenaires qu’il faut. Les besoins identifiés sont formalisés par ses soins, et il apporte des solutions en rédigeant des programmes d’action. Il élabore les procédures et les règlements d’application des programmes mis en place. Il doit donc avoir une bonne aptitude à travailler en réseau.

Ses fonctions s’étendent au montage et au suivi des dossiers de financement pour la réalisation des programmes.

Autres appellations

  • Animateur d’organisme agricole
  • Animateur de filière

Savoir-faire & savoir-être

Devenir animateur syndical demande un certain nombre de compétences ainsi que des qualités intrinsèques.

À l’ère du numérique, l’animateur doit :

  • être à l’aise avec l’outil informatique et bureautique,
  • connaître l’agriculture au sens large. Il peut avoir une spécialisation en agriculture.

Travailleur polyvalent, l’animateur d’organisme agricole a une bonne connaissance de la gestion de projets et de la communication. La polyvalence est son meilleur atout. Il doit être familier des procédures fiscales, des normes environnementales et des techniques pédagogiques. Il est organisé, rigoureux et méthodique.

L’animateur syndical doit :

  • avoir le sens de l’écoute
  • prendre des initiatives
  • être disponible
  • avoir un bon relationnel empreint de diplomatie et d’écoute.
  • avoir l’esprit critique et savoir actualiser régulièrement ses connaissances.
  • une sensibilité à l’agriculture est un vrai plus.

Pour son autonomie, il doit disposer d’un permis de conduire de catégorie B.

Les formations qui mènent à ce métier

L’exercice de la fonction d’animateur syndical est conditionné par des formations et des diplômes spécifiques. On valorisera un “touche à tout” curieux, avec une sensibilité pour l’agriculture et l’humain.

  • BTS Gestion de projets,
  • BTS Communication
  • une formation d’ingénieur agricole ou en agronomie
  • une formation d’ingénieur des techniques agricoles suivi d’un autre diplôme en économie ou en gestion
  • une formation en aménagement rural.

Ce métier est attrayant et offre de nombreuses perspectives d’évolution. Il n’y a pas une formation type mais les animateurs recrutés ont souvent un niveau BAC +2 à BAC +5, avec des qualités techniques et des qualités humaines qui seront privilégiées. Avec de l’expérience, l’animateur syndical peut accéder à des structures de plus grande envergure.

agent relation producteurs picto

Découvrez le métier de agent relation producteurs

L’agent de relation avec les producteurs laitiers (aussi appelé ARC, Agent Relation Culture) est le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les éleveurs. Il doit être un bon technicien d’élevage.

Interview

Descriptif du métier

La production des produits laitiers est un ensemble de processus impliquant un nombre considérable de travailleurs ou de collaborateurs. Au nombre de ceux-ci figure l’agent de relation avec les producteurs de la matière première que constitue le lait. Si ce métier vous plait, voici une fiche métier abordant toutes les questions concernant le métier d’agent de relation avec les producteurs ou fournisseurs de lait.

L’agent relation producteurs : qui est-ce ?

Vous en avez peut-être déjà entendu parler, mais vous n’y avez jamais accordé d’importance. L’agent de relation avec les producteurs laitiers est un maillon de la chaine de production du lait. Cet acteur clé joue un rôle important dans la qualité du lait qui est l’élément phare de tous les produits laitiers dérivés. Il représente le trait d’union entre l’entreprise laitière qui l’emploie et les fournisseurs de lait. Dans ce cadre, il se doit de rechercher un bon compromis entre sa structure d’accueil et les fournisseurs de lait. Pour obtenir de bonnes performances, un certain nombre de missions doivent faire partie du quotidien de l’agent de relation avec les producteurs laitiers.

Que fait l’agent relation producteurs ?

L’agent de relation avec les producteurs laitiers se doit d’enchaîner rigoureusement un certain nombre de missions pour l’essor de la structure qui l’emploie. Ces missions se déclinent en quelques points qui seront expliqués.

Agent de contact

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est le contact entre l’industrie laitière dont il est l’employé et les fournisseurs de lait. Il va sans dire donc que la bonne qualité du lait dépend de l’expertise de cet employé. Il est, par conséquent, le garant de la qualité du lait et de ses produits dérivés.

Un vrai contremaître

L’agent de relation avec les producteurs laitiers est d’une rigueur sans faille quand il passe en mode contremaître. Cette facette de son métier consiste à suivre les différentes étapes de passage du lait depuis sa livraison à son usage, en passant par le traitement et les conditions de conservation. Par ailleurs, il doit être un pro dans l’art de convaincre.

Un pro dans l’art du marketing et de la négociation

L’agent de relation avec les fournisseurs de lait a des notions en matière de gestion des ressources humaines, mais doit aussi savoir convaincre. Hormis le fait de trouver, pour l’usine laitière, les meilleurs fournisseurs de lait frais de qualité, l’agent de relation avec les producteurs de lait doit savoir comment fidéliser chacun de ses fournisseurs dans ce monde de concurrence où la demande est parfois supérieure à l’offre. Pour cela, il doit savoir faire des compromis avec ces derniers tout en respectant les exigences imposées dans le cahier des charges de l’entreprise. Un partenariat gagnant-gagnant dans la limite du possible est envisageable afin de se garantir les prestations d’un fournisseur quelconque, surtout en période de pénurie.

L’art de s’adapter aux aléas de son métier

Le contenu du cahier des charges de l’entreprise dont dépend l’agent de relation vis-à-vis des producteurs laitiers peut évoluer. Le promoteur de sa structure d’accueil peut, par exemple, décider de la suppression ou du changement d’une méthode de conservation du lait produit. Il peut aussi insister sur le fait de revoir l’alimentation des vaches. Il appartient donc à l’agent de relation avec les producteurs d’intégrer les exigences et de l’imposer, de façon subtile, aux fournisseurs. Il lui faut donc trouver le bon compromis entre l’industrie laitière et les fournisseurs afin que les deux parties obtiennent satisfaction. Il doit conseiller et rassurer le producteur pour répondre aux exigences de la laiterie.

Autres appellations

  • Agent de relation avec les fournisseurs de lait
  • Agent relation culture (ARC)

Savoir-faire & savoir-être

Pour exercer le métier d’agent de relation avec les producteurs de lait, il faut nécessairement avoir un certain nombre de compétences et de qualités.

Ainsi, il doit :

  • avoir un bon tempérament qui sera pour lui un avantage de taille dans les situations de conflits d’intérêts.
  • être de bonne moralité et être digne de confiance (qualité nécessaire pour le climat des affaires et de la négociation).
  • être rigoureux et intransigeant dans le respect du contenu du cahier des charges de la laiterie.

Les fournisseurs ont tendance à voir dans cette rigueur de la dureté, mais ignorent que les ordres ne viennent pas directement de lui. Par ailleurs, il doit avoir un esprit d’analyse très poussé afin de prendre, chaque fois, les décisions qui avantagent la laiterie dont il est l’employé.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier d’agent relation producteurs nécessite certaines formations. Si vous aspirez à cette carrière en tant qu’ARC, vous avez choisi d’exercer un métier prometteur. Cependant, voici quelques critères que vous devez remplir.

  • Avoir un BAC+2 dans le domaine agricole (formation de base) ;
  • Avoir fait une spécialité dans le domaine laitier est un vrai atout ;
  • Avec un BTS agricole en production animale ou en analyse et conduite de systèmes d’exploitation.