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formateur

Découvrez le métier de formateur.trice

Le formateur assure la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants dans un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public.

Descriptif du métier

La pratique de l’agriculture nécessite une formation spécifique et adaptée. Ainsi, les lycées agricoles et les centres de formation jouent pleinement ce rôle d’encadrement et de suivi des aspirants aux professions ayant trait avec l’agriculture. Ceci est possible grâce aux formateurs qui inculquent des connaissances théoriques et pratiques aux apprenants en vertu des démarches pédagogiques requises.

Fin pédagogue, le formateur manie, avec facilité, l’art de transmettre des connaissances. Il accomplit plusieurs tâches afin de remplir convenablement les missions qui lui sont confiées.

Dans cette fiche métier, nous vous amenons à la découverte du métier de formateur.

Le formateur : qui est-ce ?

Le formateur peut être un homme ou une femme. Travailleur salarié, le formateur ou la formatrice officie au sein d’un organisme de formation pour les métiers de l’agriculture et de l’élevage. Si certains formateurs travaillent au niveau des établissements publics, d’autres, par contre, exercent leurs fonctions dans les lycées ou centres de formation privés. Toutefois, le formateur peut travailler pour le compte d’une entreprise ou d’un cabinet de consultation. Dans ce cas, il abhorre souvent le statut de travailleur indépendant.

Le formateur est rarement confronté à la monotonie. En effet, il travaille dans un cadre varié et diversifié. Parfois, dans son bureau et les yeux rivés sur son ordinateur, il se retrouve ensuite dans une salle de classe pour échanger avec ses apprenants. Assez souvent, il effectue des visites de terrain, conduit des travaux pratiques et parcourt des trajets pour des voyages d’études.

Le formateur est un professionnel largement autonome qui décide et organise librement son temps ainsi que son travail.

Concrètement, quelles sont les activités inhérentes à la fonction de formateur ou de professeur formateur ?

Que fait le formateur ?

Le formateur réalise un paquet de tâches intéressantes et passionnantes. Pour faire simple, les attributions du formateur peuvent être résumées en trois phases essentielles.

  • Premièrement, le formateur est tenu d’assurer la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants à l’issue des modules de cours.

Pour remplir efficacement cette mission importante et tributaire de sa fonction, le formateur sélectionne et adapte une méthode pédagogique en fonction des objectifs spécifiques, des publics cibles et des ressources matérielles et humaines disponibles.

Ensuite, il s’occupe de la conception des supports des apprentissages (cours magistraux, travaux de laboratoire, travaux en atelier, travaux pratiques, stages et activités pluridisciplinaires…).

Par ailleurs, le formateur doit s’investir pleinement dans la recherche et le traitement des informations à mettre à la disposition des étudiants. Il tire lesdites informations des livres, manuels, revues et sites internet spécialisés.

Pour son enseignement, le formateur doit recourir aux exemples et illustrations concrets régulièrement rencontrés dans le milieu professionnel. Il organise également des visites pédagogiques pour instruire les étudiants ou stagiaires sur un aspect spécifique de l’enseignement.

Le formateur est astreint à évaluer les prérequis et les connaissances acquises par les apprenants. Pour ce faire, il organise des préparations de devoirs, donne des exercices de maison, procède à des évaluations de classe et corrige les copies rendues par les élèves.

  • Deuxièmement, le formateur a un rôle primordial au sein de l’organisation de l’établissement d’enseignement ou du centre de formation. Ainsi, il est tenu de participer au fonctionnement interne de l’établissement au sein duquel il officie. Pour remplir cette deuxième mission fondamentale, le formateur s’implique dans le processus d’élaboration et d’exécution du projet d’établissement.

Ensuite, le formateur tient un rôle important au sein des différentes commissions de suivi des ateliers pédagogiques tels que : banc de scierie, serres, exploitation, hall agroalimentaire, ateliers mécaniques… Dans ces différentes commissions, le formateur apporte ses idées et visions.

De plus, le formateur assume un rôle clé dans le suivi, l’orientation et l’insertion des apprenants en cours de formation. Il épaule notamment les personnels d’enseignement, d’éducation et d’insertion dans cette mission primordiale.

Par ailleurs, les fonctions du formateur l’obligent à travailler en partenariat avec les entreprises. Ces dernières l’accompagnent dans la formation qu’il délivre aux apprenants régulièrement inscrits dans son cours. De même, il collabore étroitement avec les professionnels qui prennent activement part aux ateliers technologiques.

  • Troisièmement, le formateur peut se voir attribuer un rôle un peu plus particulier. En effet, il peut arriver que le formateur joue une fonction de coordination d’une formation spécifique. Dans ce cas, il s’implique soit dans les aspects administratifs, relationnels ou financiers de la formation. Le formateur peut toutefois se voir confier la gestion des stages.

Autres appellations

  • Professeur formateur
  • Enseignant

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice de la fonction de formateur ou formatrice requiert un certain nombre de compétences pratiques et de qualités.

En ce qui concerne les compétences pratiques, nous avons entre autres :

  • Aptitude à traduire aisément un savoir-faire en modules d’enseignement théorique ou de travaux pratiques ;
  • Être capable de réaliser une sélection rigoureuse de méthodes, techniques ou formules pédagogiques adaptées pour faire passer un message ;
  • Avoir de bonnes aptitudes de synthèse à l’écrit et à l’oral ;
  • Bonne capacité de communication, d’expression et de mémorisation ;
  • Maîtrise de l’environnement socio-économique des entreprises agricoles.

Pour ce qui est du savoir-être, le formateur doit cumuler des qualités importantes telles que :

  • Enthousiasme ;
  • Eloquence ;
  • Rigueur ;
  • Écoute ;
  • Diplomatie…

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès au métier de formateur est préalable à une formation spécifique et à l’obtention d’un diplôme spécifique. Voici, entre autres, les formations et diplômes requis pour devenir formateur au sein d’un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public :

  • Diplôme d’Ingénieur en Agriculture ou Techniques agricoles;
  • Diplôme de 2e ou de 3e cycle dans la filière Agriculture ;
  • Formation diplomante ou certifiante en Agriculture Production Végétale;
  • Formation dans l’option Formateur spécialisé;
  • Master professionnel en enseignement, apprentissage et formation (EAF) ou formation, emploi et compétences (EFC)…
Vétérinaire

Découvrez le métier de vétérinaire

Le vétérinaire a pour rôle fondamental de soigner les animaux. En ce sens, il doit avoir une maîtrise parfaite des notions de biologie et d’anatomie animale.

interview

Descriptif du métier

Garant de la santé animale, le vétérinaire est un professionnel chevronné qui s’occupe du bien-être et de la santé des animaux de compagnie, et dans le secteur agricole, des animaux d’élevage (bovins, ovins, caprins et porcins) ainsi que des animaux sauvages.

Grand amoureux des animaux, les attributions du vétérinaire varient en fonction du milieu dans lequel il exerce son métier (clinique vétérinaire, zone rurale, industrie agroalimentaire, laboratoire pharmaceutique, parc zoologique…).

En tout état de cause, les missions du vétérinaire pivotent autour de :

  1. la pratique de la médecine,
  2. la chirurgie
  3. conseils en hygiène, alimentation ou reproduction.

Le métier de vétérinaire est une fonction assez connue. Cependant, plusieurs personnes ont une mauvaise appréhension du rôle exact joué par ce professionnel. Qui est donc le vétérinaire et en quoi consiste réellement son métier ?

À travers cette fiche métier, nous vous disons tout ce que vous devez savoir sur la fonction de vétérinaire.

Le vétérinaire : qui est-ce ?

Le vétérinaire est un travailleur libéral ou un salarié (dans un parc zoologique ou au sein d’un service vétérinaire d’état par exemple) qui a pour rôle de soigner les animaux. Rigoureux et passionné, il passe la majeure partie de son temps à s’assurer que les animaux jouissent d’une excellente forme. Parfois, le vétérinaire peut être un enseignant dans une école de formation ou consacrer une partie de son temps à la recherche.

Que fait le vétérinaire ?

Les tâches réalisées par le vétérinaire dépendent de son lieu de travail et surtout de ses clients.

Selon des statistiques récentes, la moitié des personnes qui exercent ce métier est spécialisée dans le soin des animaux de compagnie (chats, chiens, oiseaux, animaux exotiques en vogue…). Si 29 % des vétérinaires alternent entre des fonctions mixtes, 12 % passent le clair de leur temps à soigner les animaux d’élevage. Pour finir, 5 % consacrent leur expertise au soin des chevaux.

Lorsque le vétérinaire exerce au sein d’une clinique vétérinaire (souvent à son propre compte), il s’oriente sur le conseil et la prévention au travers de trois principaux rôles :

  • D’abord, il est chargé de prévenir les maladies et les infections courantes qui menacent la bonne santé et la forme des animaux. Pour ce faire, il procède aux diagnostics, à la vaccination et aux traitements préventifs en vue de préserver la santé physique, psychologique et émotionnelle de l’animal.
  • Ensuite, il se charge de soigner les cas de maladies chez les animaux en procédant aux soins appropriés. Cela s’étend des injections jusqu’à la prescription des médicaments pour guérir le mal dont souffre l’animal.
  • Enfin, le vétérinaire, pratiquant en clinique, s’occupe de la conduite des opérations chirurgicales sur les animaux. En ce sens, il doit opérer l’animal à chaque fois que le diagnostic l’exige.

Précisons que la majorité des consultations et des traitements réalisés par le vétérinaire se déroule à l’intérieur du cabinet.

Enfin, le vétérinaire peut également travailler pour un laboratoire pharmaceutique et concevoir de nouveaux médicaments pour soigner des maladies et infections animales. Autant il s’implique dans le processus de fabrication, autant il joue un rôle décisif dans la commercialisation des produits conçus.

Toutefois, lorsque le vétérinaire travaille en zone rurale, ses attributions et les conditions d’exercice de ses missions subissent un profond changement. En effet, il exerce exclusivement dans le domaine de l’élevage.

Lorsqu’il exerce en milieu rural, le vétérinaire se déplace dans les fermes. Lors du suivi des surveillances des troupeaux, il n’attend pas l’appel de l’éleveur avant de se rendre sur son lieu de travail pour y accomplir ses tâches. Cependant, le fermier peut lui faire appel de manière expresse et directe, car le vétérinaire est également un urgentiste. Il faut savoir que le vétérinaire qui exerce en zone rurale effectue beaucoup de déplacements et rencontre beaucoup de monde, c’est aussi cette richesse de contacts qui rend ce métier attractif. En effet, le soin prodigué à l’animal apporte aussi réconfort et bien-être à l’éleveur. Il faut savoir aussi que les efforts physiques peuvent être importants et prolongés (manipulations d’animaux lourds et volumineux comme les vaches, par exemple). Les horaires sont très flexibles avec des gardes de nuit, le dimanche et les jours fériés.

Les tâches à réaliser se déclinent en cinq aspects fondamentaux :

  • prévenir les maladies ; c’est-à-dire surveiller pour mieux soigner ;
  • assurer la pleine croissance et le développement des troupeaux (bœufs, chevaux, porcs, chèvres ou moutons…) ;
  • améliorer l’hygiène et l’environnement des animaux ;
  • gérer l’alimentation des animaux ;
  • et enfin, améliorer la productivité et la rentabilité du troupeau.

Investi également d’une responsabilité à l’égard des pouvoirs publics, le « véto » effectue tests et prélèvements à chaque introduction d’un nouvel animal dans un troupeau, et fait remonter les premières informations sanitaires en cas d’alerte.

Autres appellations

  • Soignant animalier

Savoir-faire & savoir-être

En termes de savoir-faire, le vétérinaire possède une maîtrise parfaite des notions de biologie et d’anatomie animale.

  • Il dispose d’une vaste connaissance des médicaments et des traitements médicaux appropriés pour guérir les maladies courantes chez les animaux.
  • De plus, le vétérinaire connaît du bout des doigts les posologies et les techniques d’administration des médicaments et soins pour animaux.

Le vétérinaire est un habitué de la pratique de la chirurgie animale. Ses connaissances du domaine des interventions chirurgicales sont très approfondies.

  • Étudier et anticiper les comportements et les réactions des animaux sont des aptitudes des vétérinaires.

Pour ce qui concerne le savoir-être, le vétérinaire est un passionné inconditionnel des animaux.

  • Il a le sens du contact et développe un esprit d’écoute et d’analyse hors pair.
  • De même, le vétérinaire est un grand diplomate qui sait comprendre et établir une relation saine avec les animaux, mais aussi avec leurs propriétaires.
  • Rigoureux et sérieux, il sait garder son sang-froid. Les exigences de sa fonction l’obligent à être disponible continuellement, tout en étant résistant au stress.

Les formations qui mènent à ce métier

Exercer le métier de vétérinaire passe obligatoirement par l’obtention préalable d’un DEV (Diplôme d’État de docteur vétérinaire).

La formation conduisant à ce diplôme est dispensée dans les écoles nationales vétérinaires. La durée de la formation est de quatre à cinq ans en fonction du niveau des apprenants à leur entrée à l’école.

responsable démarche RS

Découvrez le métier de responsable démarche RS

Le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Descriptif du métier

Aujourd’hui, le volet écologique occupe une place de choix dans les politiques agricoles. Le respect des normes environnementales est devenu un impératif pour toutes les entreprises agricoles désireuses et les industries de production. Ainsi, des fonctions spécifiques sont créées en vue d’implémenter et de matérialiser convenablement la Responsabilité Sociétale des Entreprises.

En ce sens, le responsable démarche RS est la tête de proue de ce mécanisme qui représente un outil de communication, de gestion, de marketing et développement pour les entreprises agricoles.

Qui est véritablement le responsable démarche RSE ?  Quelles sont les compétences, les qualités et les formations nécessaires pour accéder à cette fonction ?

Le responsable démarche RS : qui est-ce ?

Le responsable démarche RS est le prototype parfait d’un manager dynamique et influent. Cultivé, jovial et charismatique, il a le développement durable et les actions sociétales comme champs d’action. S’il peut assurer ses fonctions dans une exploitation ou entreprise agricole, il peut également travailler pour le compte des usines de transformations de produits laitiers ou agroalimentaires.

Parfois épaulé par l’Assistant Environnement dans ses tâches, le responsable démarche RS travaille en collaboration avec plusieurs services de l’entreprise. En substance, quelles sont les activités menées par le responsable démarche RS au sein d’une entreprise agricole ou d’une industrie ?

Que fait le responsable démarche RS ?

Le champ d’action du responsable démarche RS est assez large. Par conséquent, les tâches qui lui sont dévolues sont étoffées.

D’abord, l’un des premiers rôles du responsable démarche RS consiste à accompagner la direction de l’entreprise dans le processus d’élaboration et de mise en œuvre d’une approche RS dans tous les corps de métiers de la société. Pour ce faire, il se doit de formuler un argumentaire poignant sur les avantages de l’adoption d’une telle approche ou démarche. Ainsi, le responsable démarche RS regroupe des preuves et des données factuelles pour étayer sa position.

Ensuite, le responsable démarche RS milite pour un marketing responsable. Il s’investit personnellement pour que l’entreprise s’oriente vers des pratiques commerciales axées sur les principes éthiques et la bonne foi.

Le responsable démarche RS revêt, par ailleurs, l’apparat d’analyste. Ainsi, il étudie le marché et oriente l’entreprise vers la bonne approche RS afin de se démarquer positivement des entreprises concurrentes évoluant dans le même secteur d’activité.

De plus, le responsable démarche RS joue un rôle important dans la mise en œuvre de la politique RS de l’entreprise au sein de laquelle il officie. Ainsi, il pilote, de main de maître, les stratégies de RS élaborées et adoptées par l’entreprise.

Pour être plus explicite, le responsable démarche RS applique les actions retenues en vue de préserver la nature et l’environnement. De même, il veille à la mise en œuvre des politiques visant à diminuer considérablement les émissions de gaz à effet de serre. Le suivi de l’exécution des mesures visant l’amélioration des conditions de vie et de travail des employés est également une attribution du responsable démarche RS. Aussi, le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Par ailleurs, il veille à la prise des mesures adéquates pour diminuer la consommation des énergies fossiles. Pour ce faire, il promeut la prépondérance des énergies renouvelables afin de limiter les impacts environnementaux rattachés aux différentes activités pratiquées par l’entreprise.

Dans un tout autre registre, le responsable démarche RS s’implique activement sur de nombreux chantiers tels que l’optimisation de la sécurité au travail des ouvriers, la lutte contre toutes formes de discrimination dans les sphères de la société. S’il milite pour le dialogue social et le développement des compétences, il s’implique pleinement dans la lutte contre la culture du harcèlement ou du favoritisme en entreprise.

Autres appellations

  • Directeur du développement durable
  • Responsable environnement

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice du métier de responsable démarche RSE requiert l’acquisition de certaines compétences pratiques et qualités spécifiques.

Comme compétences pratiques, le responsable démarche RSE doit faire preuve de :

  • Maîtrise de la RSE des entreprises ;
  • Connaissances approfondies en gestion des ressources humaines ;
  • Maîtrise parfaite des questions liées au développement durable ;

Pour ce qui est des qualités du responsable démarche RSE, ce dernier doit savoir entre autres :

  • Animer une équipe ou un groupe de travail ;
  • S’exprimer aisément tant à l’oral qu’à l’écrit ;
  • Avoir l’esprit d’écoute, d’analyse et de synthèse ;
  • Faire preuve de pédagogie ;
  • Se remettre en cause et s’instruire continuellement.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de responsable démarche RSE est accessible aux personnes titulaires d’un :

  • Master en sciences humaines, politiques et gestion ;
  • Master en environnement, développement durable, aménagement ou éco-développement ;
  • Diplôme d’ingénieur agricole ou industriel ;
  • Diplôme en Industries Agroalimentaires ;
  • Diplôme en droit de l’environnement.
responsable de production

Découvrez le métier de responsable de production

Le responsable définit le seuil de production ou de transformation attendu sur une période déterminée. Il s’occupe de la gestion des équipes de production.

Descriptif du métier

Dans le secteur de la fabrication ou de la transformation de produits agricoles ou laitiers, on rencontre un professionnel influent qui joue des rôles déterminants. Le responsable de production, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est un cadre majeur de l’entreprise. Travaillant en étroite collaboration avec le directeur du site industriel et la direction générale, le responsable de production organise minutieusement la production et la fabrication des gammes de produits au sein de l’entreprise. Méticuleux, il veille à la conformité des produits aux normes de qualité standards.

Dans cette fiche métier, nous nous intéressons au responsable de production. De ses attributions en passant par ses missions et ses compétences pratiques, nous vous dirons tout sur le cet acteur important.

Le responsable de production : qui est-ce ?

Le responsable de production travaille souvent dans le secteur industriel. Employé salarié au sein des grandes usines de production ou de fabrication, on le retrouve également dans les entreprises d’ingénierie ou les petites et moyennes entreprises (PME).

Parfois, le responsable de production peut officier en dehors de l’usine ou de l’entreprise de fabrication. Dans ce cas de figure, il exerce sa profession dans les bureaux d’études, les cabinets ou les sociétés de conseil en organisation industrielle.

Le responsable de production peut être un homme ou une femme. Actif et dynamique, il se révèle comme un excellent manager mû par l’intense désir d’améliorer les produits proposés par son entreprise. De jour comme de nuit, il est au front dans l’optique de matérialiser la politique de production ou de commercialisation de la société. Ainsi, il remplit des missions variées et diverses en vue d’atteindre les résultats escomptés.

Créatif et rigoureux, il ne cesse d’être à l’affût des dernières évolutions intervenues dans le secteur afin de mettre son entreprise au pas.

Concrètement, quelles sont les activités menées par le responsable de production au sein d’une usine de production ou d’une entreprise de fabrication ?

Que fait le responsable de production ?

Fervent garant de la mise en œuvre parfaite de la politique de production de l’entreprise, le responsable de production s’investit constamment pour atteindre les objectifs clés fixés.

La première activité du responsable de production est la détermination des objectifs de production. En compagnie du directeur industriel ou de la direction générale, il définit le seuil de production ou de transformation attendu sur une période déterminée. Ainsi, il procède au planning de la production, et suit de près les délais mis par les membres de l’équipe pour la réalisation des tâches spécifiques. De même, il étudie et évalue le coût ainsi que la qualité des matières premières requises pour la fabrication des produits finis.

Dans ce même registre, le responsable de production est chargé de la gestion des commandes de matières premières et des matériels de production. Autrement, il s’assure du bon délai de livraison afin d’éviter les imprévus. Ensuite, il met tout en œuvre pour assurer le respect des normes de sécurité, d’hygiène et de qualité.

L’amélioration de la production est un vaste chantier qui lui revient pleinement de droit. Pour remplir au mieux cette mission, le responsable de production met en place une stratégie de veille. Cette manœuvre, à la fois technique et stratégique, vise à connaître les nouveautés ou les innovations récentes, tant en ce qui concerne les machines que les outils de production. Aussi, il s’implique dans le processus de maintenance des matériels de production afin d’éviter les coups d’arrêt ou les dysfonctionnements dus à un mauvais état de la logistique.

Il est du ressort du responsable de production d’élaborer les stratégies adéquates pour améliorer la productivité de l’entreprise de façon continue. Dans ce domaine, il peut compter sur l’accompagnement infaillible de son équipe de travail qui lui apporte régulièrement des conseils et suggestions.

Pour faire court, le responsable de production assume la responsabilité de rehausser la qualité des produits de l’entreprise. Il optimise la quantité de la production et s’active pour baisser les coûts de production afin de permettre à la société de réaliser des plus-values intéressantes.

Par ailleurs, la gestion des équipes de production est l’autre attribution majeure du responsable de production. Il motive les membres de l’équipe et essaie de créer une bonne ambiance de travail afin de favoriser l’augmentation de la productivité de l’entreprise.

Pour finir, le responsable de production discute avec les clients et les consommateurs afin de prendre leurs avis sur les produits commercialisés. Il prend en compte les préoccupations émises et s’en inspire pour proposer des pistes d’amélioration.

Autres appellations

  • Responsable d’exploitation
  • Responsable de fabrication
  • Animateur d’équipe

Savoir-faire & savoir-être

Un bon responsable de production doit cumuler certaines compétences et qualités pratiques. Il s’agit, entre autres, de :

  • Maîtrise parfaite des processus industriels ;
  • Connaissances étendues en gestion de projet et en management ;
  • Maîtrise des techniques de négociation commerciale ;
  • Solides connaissances en normes de qualité et de sécurité des produits industriels ;
  • Connaissance parfaite de l’outil informatique ;
  • Bonne maîtrise de la langue anglaise ;
  • Sens de l’écoute et d’observation ;
  • Bonne expression écrite et orale ;
  • Leadership ;
  • Bon relationnel et diplomatie…

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir responsable de production, l’une des formations ou l’un des diplômes suivants sont requis :

  • Diplôme d’écoles d’ingénieurs généralistes ;
  • Master professionnel en gestion de la production ;
  • Master professionnel en management agro-industriel ;
  • Master professionnel en management de l’innovation technologique ;
  • Master en management international agro-alimentaire ;
  • Master dans l’option Industrie laitière ;
  • Master Pro en management de la performance industrielle des entreprises laitières ;
  • Licence Pro dans la filière responsable d’atelier de productions fromagères du terroir.
ingénieur recherche et développement

Découvrez le métier d’ingénieur recherche et développement

L’ingénieur recherche et développement est responsable de la recherche, la planification et de la supervision du développement de nouveaux produits laitiers.

Descriptif du métier

Dans toute industrie alimentaire, la mise sur le marché des produits qui comblent les attentes des uns et des autres nécessite une phase préliminaire d’étude, d’analyse et de recherche. Les industries laitières n’échappent pas à cette coutume ; et c’est pourquoi elles ont la nécessité d’embaucher des ingénieurs en recherche et développement.

Dans cette fiche, nous vous amenons à découvrir ce métier. La lecture de cet article permettra de vous imprégner des devoirs de ce professionnel qui fait montre d’un grand de savoir-faire et de savoir-être.

L’ingénieur recherche et développement : qui est-ce ?

L’ingénieur recherche et développement est ce scientifique dont le lieu de travail est tout particulièrement et principalement le local d’une entreprise. Il y joue plusieurs rôles fondamentaux. Il est chargé notamment de faire l’analyse d’une demande en projet qui peut avoir pour but d’améliorer un produit préexistant, ou à en créer un nouveau. À cet effet, ses supérieurs lui assignent des objectifs.

Que fait l’ingénieur recherche et développement ?

C’est le devoir de l’ingénieur en recherche et développement d’élaborer des prototypes suite à des démarches scientifiques et technologiques. Il produit ensuite un devis pour multiplier ces prototypes si possible. Mais entretemps, il dirige des consultations, sélectionne les équipements requis, définit les meilleurs prestataires et partenaires susceptibles de travailler sur le projet expérimental.

Lors du déroulement du projet expérimental, il veille à la reproduction du processus technique, c’est-à-dire le protocole expérimental qui comprend les paramètres de fabrication, les ingrédients nécessaires, les matériels, etc.

Lorsque les fruits de son travail répondent bien avec les attentes des supérieurs, l’ingénieur en recherche et développement participe à l’industrialisation avec les services qui en sont en charge.

Les tâches quotidiennes des ingénieurs recherche et développement varient en fonction de l’entreprise dans laquelle ils travaillent, des produits conçus et vendus par l’entreprise. Cependant, les responsabilités journalières basiques des ingénieurs recherche et développement sont universellement les mêmes.

Concevoir des produits

L’ingénieur recherche et développement conçoit des produits. Il peut s’agir de calculer les dimensions des produits, de dessiner des croquis d’idées de produits et de concevoir des maquettes des produits proposés.

Élaborer et mener à bien des projets

Les ingénieurs en recherche et développement développent des idées pour des projets, les gèrent et les dirigent jusqu’à ce qu’ils deviennent des produits réels.

Diriger des équipes de projet

Les ingénieurs en recherche et développement prennent la direction des projets en cours de développement, gérant tous les membres de l’équipe affectés aux projets afin de les faire avancer dans les délais prévus.

Concevoir des plans de projet

Les ingénieurs en recherche et développement conçoivent des plans de projet détaillés avec les équipes d’ingénierie, de fabrication, de vente et de marketing pour gérer tous les aspects du développement et de la production des produits.

Faire des études de marché

Les ingénieurs en recherche et développement effectuent des études de marché pour déterminer les types de produits susceptibles d’avoir du succès auprès des consommateurs, recherchent des idées de produits pour déterminer leur viabilité et étudient les performances des produits existants sur le marché.

Collaborer

Les ingénieurs en recherche et développement collaborent avec des ingénieurs et des développeurs pour créer des conceptions de produits et avec des équipes de marketing pour élaborer des plans de vente pour les futurs produits.

Autres appellations

  • Ingénieur CAO
  • Ingénieur essais
  • Ingénieur études

Savoir-faire & savoir-être

L’occupation du poste d’ingénieur recherche et développement nécessite un certain nombre de compétences et de qualités. Les employeurs embauchent des ingénieurs recherche et développement qui possèdent les compétences et qualités suivantes :

  • Compétences informatiques: comme les ingénieurs recherche et développement travaillent avec de nombreux logiciels différents, il est indispensable de posséder de solides compétences en informatique.
  • Leadership : l’ingénieur en recherche et développement dirige des équipes.
  • Communication: il utilise de bonnes compétences en communication verbale pour échanger avec les membres des équipes de recherche et de développement, et des compétences en communication écrite qui lui servent à établir des plans de produits bien fournis.
  • Mathématiques: l’ingénieur recherche et développement doit avoir des compétences en mathématiques pour concevoir les schémas des produits potentiels et créer les dimensions des produits.
  • Capacité d’analyse: il doit l’avoir pour exécuter de multiples tâches de recherche et élaborer des plans de conception pour les produits.
  • Multitâche: l’ingénieur recherche et développement travaille sur de nombreux projets à la fois ; de solides compétences pour travailler sous pression sont donc essentielles.
  • Organisation: pour coordonner toutes les étapes de la création d’un produit et organiser des équipes de professionnels dans la chaîne de recherche et de développement.

Concernant son savoir-être, le formateur doit cumuler des qualités clés telles que :

  • La rigueur scientifique ;
  • L’écoute ;
  • La maîtrise de plusieurs langues…

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès au métier d’ingénieur en recherche et développement requiert d’avoir atteint un niveau d’étude BAC+5. Mais à la base, il faut détenir un BAC S avant de suivre les formations d’études supérieures requises. Les ingénieurs R&D suivent des formations supérieures variées, car les exigences des employeurs diffèrent. De nombreux employeurs préfèrent que les ingénieurs R&D soient titulaires d’un master en ingénierie ou dans une discipline connexe de l’industrie, comme la biotechnologie pour une entreprise pharmaceutique. Certains employeurs acceptent également les candidats qui ont des antécédents professionnels liés à l’industrie ou à la R&D au lieu d’une formation.