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formateur

Découvrez le métier de formateur.trice

Le formateur assure la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants dans un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public.

Descriptif du métier

La pratique de l’agriculture nécessite une formation spécifique et adaptée. Ainsi, les lycées agricoles et les centres de formation jouent pleinement ce rôle d’encadrement et de suivi des aspirants aux professions ayant trait avec l’agriculture. Ceci est possible grâce aux formateurs qui inculquent des connaissances théoriques et pratiques aux apprenants en vertu des démarches pédagogiques requises.

Fin pédagogue, le formateur manie, avec facilité, l’art de transmettre des connaissances. Il accomplit plusieurs tâches afin de remplir convenablement les missions qui lui sont confiées.

Dans cette fiche métier, nous vous amenons à la découverte du métier de formateur.

Le formateur : qui est-ce ?

Le formateur peut être un homme ou une femme. Travailleur salarié, le formateur ou la formatrice officie au sein d’un organisme de formation pour les métiers de l’agriculture et de l’élevage. Si certains formateurs travaillent au niveau des établissements publics, d’autres, par contre, exercent leurs fonctions dans les lycées ou centres de formation privés. Toutefois, le formateur peut travailler pour le compte d’une entreprise ou d’un cabinet de consultation. Dans ce cas, il abhorre souvent le statut de travailleur indépendant.

Le formateur est rarement confronté à la monotonie. En effet, il travaille dans un cadre varié et diversifié. Parfois, dans son bureau et les yeux rivés sur son ordinateur, il se retrouve ensuite dans une salle de classe pour échanger avec ses apprenants. Assez souvent, il effectue des visites de terrain, conduit des travaux pratiques et parcourt des trajets pour des voyages d’études.

Le formateur est un professionnel largement autonome qui décide et organise librement son temps ainsi que son travail.

Concrètement, quelles sont les activités inhérentes à la fonction de formateur ou de professeur formateur ?

Que fait le formateur ?

Le formateur réalise un paquet de tâches intéressantes et passionnantes. Pour faire simple, les attributions du formateur peuvent être résumées en trois phases essentielles.

  • Premièrement, le formateur est tenu d’assurer la préparation des cours, la mise en œuvre de l’enseignement et l’évaluation des apprenants à l’issue des modules de cours.

Pour remplir efficacement cette mission importante et tributaire de sa fonction, le formateur sélectionne et adapte une méthode pédagogique en fonction des objectifs spécifiques, des publics cibles et des ressources matérielles et humaines disponibles.

Ensuite, il s’occupe de la conception des supports des apprentissages (cours magistraux, travaux de laboratoire, travaux en atelier, travaux pratiques, stages et activités pluridisciplinaires…).

Par ailleurs, le formateur doit s’investir pleinement dans la recherche et le traitement des informations à mettre à la disposition des étudiants. Il tire lesdites informations des livres, manuels, revues et sites internet spécialisés.

Pour son enseignement, le formateur doit recourir aux exemples et illustrations concrets régulièrement rencontrés dans le milieu professionnel. Il organise également des visites pédagogiques pour instruire les étudiants ou stagiaires sur un aspect spécifique de l’enseignement.

Le formateur est astreint à évaluer les prérequis et les connaissances acquises par les apprenants. Pour ce faire, il organise des préparations de devoirs, donne des exercices de maison, procède à des évaluations de classe et corrige les copies rendues par les élèves.

  • Deuxièmement, le formateur a un rôle primordial au sein de l’organisation de l’établissement d’enseignement ou du centre de formation. Ainsi, il est tenu de participer au fonctionnement interne de l’établissement au sein duquel il officie. Pour remplir cette deuxième mission fondamentale, le formateur s’implique dans le processus d’élaboration et d’exécution du projet d’établissement.

Ensuite, le formateur tient un rôle important au sein des différentes commissions de suivi des ateliers pédagogiques tels que : banc de scierie, serres, exploitation, hall agroalimentaire, ateliers mécaniques… Dans ces différentes commissions, le formateur apporte ses idées et visions.

De plus, le formateur assume un rôle clé dans le suivi, l’orientation et l’insertion des apprenants en cours de formation. Il épaule notamment les personnels d’enseignement, d’éducation et d’insertion dans cette mission primordiale.

Par ailleurs, les fonctions du formateur l’obligent à travailler en partenariat avec les entreprises. Ces dernières l’accompagnent dans la formation qu’il délivre aux apprenants régulièrement inscrits dans son cours. De même, il collabore étroitement avec les professionnels qui prennent activement part aux ateliers technologiques.

  • Troisièmement, le formateur peut se voir attribuer un rôle un peu plus particulier. En effet, il peut arriver que le formateur joue une fonction de coordination d’une formation spécifique. Dans ce cas, il s’implique soit dans les aspects administratifs, relationnels ou financiers de la formation. Le formateur peut toutefois se voir confier la gestion des stages.

Autres appellations

  • Professeur formateur
  • Enseignant

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice de la fonction de formateur ou formatrice requiert un certain nombre de compétences pratiques et de qualités.

En ce qui concerne les compétences pratiques, nous avons entre autres :

  • Aptitude à traduire aisément un savoir-faire en modules d’enseignement théorique ou de travaux pratiques ;
  • Être capable de réaliser une sélection rigoureuse de méthodes, techniques ou formules pédagogiques adaptées pour faire passer un message ;
  • Avoir de bonnes aptitudes de synthèse à l’écrit et à l’oral ;
  • Bonne capacité de communication, d’expression et de mémorisation ;
  • Maîtrise de l’environnement socio-économique des entreprises agricoles.

Pour ce qui est du savoir-être, le formateur doit cumuler des qualités importantes telles que :

  • Enthousiasme ;
  • Eloquence ;
  • Rigueur ;
  • Écoute ;
  • Diplomatie…

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès au métier de formateur est préalable à une formation spécifique et à l’obtention d’un diplôme spécifique. Voici, entre autres, les formations et diplômes requis pour devenir formateur au sein d’un lycée agricole ou d’un établissement d’enseignement public :

  • Diplôme d’Ingénieur en Agriculture ou Techniques agricoles;
  • Diplôme de 2e ou de 3e cycle dans la filière Agriculture ;
  • Formation diplomante ou certifiante en Agriculture Production Végétale;
  • Formation dans l’option Formateur spécialisé;
  • Master professionnel en enseignement, apprentissage et formation (EAF) ou formation, emploi et compétences (EFC)…
picto technico commercial en commerce d'animaux

Découvrez le métier de technico-commercial.e en commerce d’animaux

Le technico-commercial en commerce d’animaux achète les animaux vivants auprès des éleveurs et les revend à ses clients (reproducteurs, industrie de transformation).

Descriptif du métier

Le commerce d’animaux est un secteur particulièrement exigeant. La santé des animaux et leur bien-être sont primordiaux pour le développement de l’activité. Par ailleurs, les animaux sont des êtres vivants, et leur commercialisation répond à des normes précises. Le rôle du technico-commercial en commerce d’animaux est de dénicher les animaux au meilleur de leur forme pour le compte de ses clients. Il est en contact direct avec les éleveurs et est à l’écoute de ses clients afin de connaître leurs besoins et attentes.

Le technico-commercial en commerce d’animaux se situe entre les éleveurs et la chaîne de transformation. Ce dernier commercialise les animaux vivants qu’il achète auprès des éleveurs. Il est garant de leur santé et de leur bonne condition physique auprès de ses clients. Le commerçant d’animaux est, avant tout, un passionné du monde agricole et des animaux.

Le métier de technico-commercial en commerce d’animaux est certainement nouveau pour vous. Dans cette fiche métier, nous vous disons tout à ce sujet : les activités que mène  ce professionnel, sa personnalité, ses aptitudes et les formations qu’il faut suivre pour accéder à ce corps de métier.

Le technico-commercial en commerce d’animaux : qui est-ce ?

Le commerçant d’animaux est généralement un indépendant. Son métier consiste à acheter les animaux vivants auprès des éleveurs afin de les revendre à ses clients qui sont très variés : reproducteurs, éleveurs, industrie de transformation, etc…

Passionné des animaux, c’est également un commerçant dont le but est de trouver les meilleurs animaux au meilleur prix. Son marché étant étendu, il peut être amené à exécuter des activités à l’export. Il est le représentant des clients auprès des éleveurs.

Que fait le technico-commercial en commerce d’animaux ?

En tant que commerçant, sa fonction première est de réaliser du profit à travers la vente d’animaux. Indépendant et autonome, le technico-commercial en commerce d’animaux se fixe quotidiennement des objectifs qualitatifs et quantitatifs à atteindre.

En termes de quantité, il s’agit du nombre d’animaux à acheter et à vendre, des dépenses à effectuer, des marges à réaliser. Pour ce qui est de la qualité, il s’agit de trouver des animaux en bonne santé. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et les prises de rendez-vous avec les clients et/ou les fournisseurs.

Si le technico-commercial en commerce d’animaux a des animaux sous sa garde, il s’assure, avant tout, de leur alimentation et de leur santé. Pour cela, il peut avoir une équipe à sa disposition qui lui fait un compte rendu détaillé.

De passage chez les éleveurs qui sont ses fournisseurs, il peut visiter les animaux et inspecter les lieux. Il est le garant de la bonne qualité des animaux auprès du consommateur final.

Le technico-commercial en commerce d’animaux inspecte les animaux, et en fonction de ses constats, il peut interpeller l’éleveur. Le commerçant d’animaux peut aussi apprendre de nouvelles techniques d’élevage à ses clients. Il peut être amené à visiter les marchés de bestiaux pour trouver les meilleures offres disponibles.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en commerce d’animaux peut aussi démarcher de nouveaux clients ainsi que d’autres éleveurs. Au cours de ses tournées, il fait la promotion de ses produits et propose les meilleurs prix possibles à ses clients.

En tant que commerçant, il a des relations avec l’extérieur, car il peut aussi convoyer des marchandises à l’étranger. Ce qui exige de lui qu’il maîtrise les rouages de l’administration ainsi que la réglementation en matière d’import-export.

Son métier consiste aussi à assurer le transport rapide des animaux dans les meilleures conditions vers leur destination finale. Il négocie leur prix de vente ainsi que le prix du transport. Il gère aussi les commandes et veille à respecter les délais.

Autres appellations

  • Commerçant d’animaux
  • Commerçant en bestiaux
  • Agent commercial en animaux vivants

Savoir-faire & savoir-être

Être commerçant en bestiaux demande un certain nombre d’aptitudes, de savoir-faire et de savoir-être. Si vous voulez exercer ce métier, vous devez être, avant tout, un commerçant.

Vous devez aussi :

  • Aimer les animaux et être au fait des techniques d’élevage
  • Connaitre les spécificités des animaux que vous commercialisez et êtes en mesure de juger de leur qualité en coup d’œil.

L’agent commercial en animaux vivants est également patient, rigoureux et dynamique. Il a le sens de l’écoute, et il maîtrise les techniques de négociation et de vente. Il connaît aussi les règles du commerce international. C’est aussi un bon communicateur, car son métier le situe à un carrefour.

Le technico-commercial en commerce d’animaux est un chef d’équipe qui est appelé à faire des séances de coaching.

Il doit :

  • Savoir conduire les réunions
  • Avoir des capacités d’adaptation, car il évolue dans un environnement qui est en constante évolution
  • Connaître aussi des langues étrangères.

Les formations qui mènent à ce métier

Plusieurs formations peuvent permettre d’accéder à ce métier. Avec une formation initiale, vous pouvez suivre une formation de type :

  • Bac+2 ou un BTSA technico-commercial en produits alimentaires
  • DUT technique en commercialisation de produits agroalimentaires
  • Diplôme professionnel en commerce et en vente des produits agroalimentaires. Cette formation est complétée par une année de spécialisation. À l’issue de cette spécialisation, vous obtenez le certificat de spécialisation Acheteur-Estimateur de bétail.
picto technico commercial en agrofournitures

Découvrez le métier de technico-commercial.e en agrofournitures

Le technico-commercial en agrofournitures travaille auprès d’un négociant ou d’un groupement en intrants agricoles. Il apporte un soutien technique à ses clients.

Descriptif du métier

Par agrofournitures, on entend semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, aliments du bétail, produits vétérinaires et petits matériels. En un mot, il s’agit de tout ce qui est utilisé dans l’agriculture.

Le rôle du technico-commercial en agrofournitures est de conseiller et d’informer les agriculteurs et les éleveurs sur l’utilisation des agrofournitures. Il les tient également informés de tous leurs risques pour l’homme et l’environnement. Il est en relations commerciales avec les clients et les fournisseurs et actualise constamment ses connaissances techniques, économiques et réglementaires sur les produits qu’il vend. Plus qu’un technicien, c’est un commercial qui a pour souci, le développement de ses activités et le bien-être de ses clients. Pour cela, il remplit plusieurs missions qui concourent à l’atteinte des objectifs.

Le technico-commercial en agrofournitures : qui est-ce ?

Le technico-commercial est un grand connaisseur de l’agriculture et de l’élevage. Il maîtrise également les produits qu’il vend. Il a une place importante auprès de ses clients, car il leur apporte des solutions concrètes à des problèmes qu’ils rencontrent souvent.

Que fait le technico-commercial en agrofournitures ?

Le technico-commercial en agrofournitures est un salarié qui exerce au sein d’une coopérative et auprès d’un négociant en fournitures agricoles. Il travaille généralement sous l’autorité d’un responsable de zone qui lui détermine les objectifs à atteindre. Ils portent sur le respect de la politique commerciale. Sur le plan qualitatif, il s’agit de la qualité des relations avec les clients (éleveurs et agriculteurs). Le technico-commercial doit aussi avoir des capacités à innover dans les techniques d’agriculture.

Dans l’exercice de ses missions, il rend régulièrement visite à ses clients et aux adhérents de sa zone d’intervention. Il entretient également le contact avec des prospects cibles en fonction des objectifs fixés. Sa journée commence avec les appels téléphoniques et la programmation de rendez-vous. Il prépare aussi ses visites de la journée en fonction des buts poursuivis (fiches de l’agriculteur, les tarifs, etc.). Il doit se fixer des objectifs à atteindre au cours de la journée avec différents partenaires.

Au cours de ses tournées, le technico-commercial en agrofournitures doit faire la promotion des produits qu’il vend (les produits phytosanitaires, les semences, les engrais, etc.). Pour cela, il fait des propositions de prix et des conditions de vente favorables. Il peut aussi faire des séances de démonstration ou des coachings d’utilisation desdits produits.

Au profit de ses clients qui en font la demande, il apporte un soutien technique et leur apprend la manipulation des produits (calculs de rationnement, levée, techniques d’épandage, etc.). Il les accompagne aussi dans l’utilisation des produits et contrôle le déroulement des travaux.

Le technico-commercial en agrofournitures est également un bon gestionnaire qui doit s’assurer qu’il n’y ait pas de rupture de stock. Les produits doivent être disponibles pour faire face aux besoins urgents.

Dans l’exercice de ses fonctions, le technico-commercial en agrofournitures doit respecter la politique commerciale de son entité. Pour cela, il doit appliquer les tarifs établis. Il assure aussi le recouvrement des créances. À cet effet, il tient à jour l’état des comptes de chacun de ses clients et procède régulièrement à des relances. Il est chargé de la réception, du stockage et de la conservation des commandes.

Le technico-commercial en agrofournitures doit régulièrement s’informer et se former sur les évolutions techniques, technologiques ou commerciales indispensables à ses activités.

Il doit aussi rendre compte de ses activités à la hiérarchie. Le technico-commercial en agrofournitures a, sous sa responsabilité, une équipe de magasiniers qu’il a l’obligation de former. Il doit aussi suivre leur activité.

Autres appellations

  • Technico-commercial en aliment agricole

Savoir-faire & savoir-être

Le technico-commercial en agrofournitures a des compétences avérées en :

  • Techniques culturales ou en production animale
  • Techniques de vente, négociation commerciale et gestion des stocks.

C’est une personne qui a une ouverture d’esprit. Il doit être curieux et avoir un esprit critique. Rigoureux et méthodique, le technico-commercial en agrofournitures a le sens du contact et des relations humaines. C’est aussi un bon communicateur, et il doit avoir de bonnes capacités rédactionnelles. Il doit aussi savoir écouter pour proposer des solutions aux problèmes.

Le technico-commercial en agrofournitures est un homme de terrain qui passe la plus grande partie de son temps dans les campagnes et exploitations agricoles. Le métier exige qu’il soit disponible et tenace. En effet, la concurrence est rude dans le secteur, et il doit être persévérant pour maintenir ses marges et agrandir son portefeuille client.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de technico-commercial en agrofournitures est conditionné par une formation scolaire ou en apprentissage dans le domaine. Vous pouvez aussi passer un BTS ou un BTSA avec option en technico-commercial. La spécialité en agrofournitures se prépare en deux ans dans les établissements agricoles.

Dans l’optique d’un BTS, vous pouvez vous spécialiser en agroéquipement. Cette formation peut être complétée par une licence professionnelle technico-commerciale en agrofournitures. Vous pouvez aussi suivre une formation en agronomie ou production animale.

picto technicien de maintenance

Découvrez le métier de technicien.enne de maintenance

Le technicien de maintenance veille sur l’état des machines avant leur utilisation. Il veille à la propreté de son atelier et range le matériel dans le respect des normes de sécurité.

Interview

Descriptif du métier

Dans la production laitière, les machines doivent fonctionner sans interruption depuis l’arrivée du lait dans les entrepôts jusqu’à sa transformation finale. Chaque étape du processus est assurée par différentes machines qui sont, en grande partie, pilotées et contrôlées par des humains.

Le technicien de maintenance a pour mission de veiller au bon fonctionnement de toutes ces machines. Elles sont, en grande partie, automatisées et doivent travailler sans discontinuer pendant des heures. Une interruption impromptue a un impact sur la productivité et la qualité des produits. Par ailleurs, ces machines doivent être maintenues dans un état d’hygiène, de qualité et de sécurité irréprochables.

Si vous ne savez rien du rôle du technicien de maintenance dans une industrie laitière, nous vous disons tout à son sujet dans cette fiche métier. Que fait-il au quotidien ? Quels sont ses compétences et son savoir-faire ? Quelle formation suivre pour accéder au métier ?

Le technicien de maintenance : qui est-ce ?

Le technicien maintenance est un professionnel spécialisé dans les métiers du froid. Il travaille comme salarié dans les industries laitières. Il peut être chef d’atelier ou être sous les ordres du chef d’atelier selon ses qualifications et l’organisation de l’industrie qui l’emploie.

Il est également rigoureux et précis, avec un esprit perspicace. C’est lui qui veille sur le bon fonctionnement des machines qui lui sont confiées. Il doit être disponible et être alerte pour déceler la plus petite anomalie avant qu’elle ne dégénère en panne.

Que fait le technicien de maintenance ?

Sa fonction se rapporte uniquement aux machines. Ces dernières sont variées, complexes et parfois délicates à manipuler.

Technicien du froid, c’est aussi un mécanicien qui a une bonne connaissance de l’informatique, de l’électronique et de l’hydraulique. Il a une formation en hygiène et en sécurité.

Quand une panne se manifeste, le technicien de maintenance l’identifie et fait la réparation immédiate. Ce qui peut parfois l’amener à démonter les pièces pour faire un examen approfondi. En cas de besoin, il peut remplacer la pièce et faire des réglages. Avant le lancement de la chaîne de production, il procède aux vérifications de routine et fait des réglages nécessaires.

Le technicien maintenance peut aussi reprogrammer les paramètres des appareils et contrôler les circuits. Il fait les mises à jour logicielles des installations, et fait des tests et les mises au point périodiques.

Chaque jour, il veille sur l’état des machines avant leur utilisation : système d’éclairage, fonctionnement, propreté, nomes de sécurité et d’hygiène, etc. Périodiquement et suivant un chronogramme établi, il fait une révision complète des installations. Il tient à jour les fiches de suivi de tout le matériel. Il doit veiller à la propreté de son atelier et ranger le matériel dans le strict respect des normes de sécurité.

Ses heures de travail sont irrégulières, et il doit être disponible pour intervenir à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il doit aussi être prêt à travailler les week-ends. L’exercice de sa profession exige qu’il soit en bonne condition physique, car il peut être amené à travailler pendant des heures d’affilée et sans interruption. Il peut aussi adopter des positions inconfortables.

Dans l’industrie laitière, les pannes sont variées, et les interventions peuvent porter sur du matériel lourd. Le technicien maintenance est adroit et précis, et c’est une personne qui aime le travail bien fait. Il joue un rôle capital dans l’industrie, car sans lui, la production ne saurait être faite.

Autres appellations

  • Réparateur de machines industrielles
  • Agent de maintenance
  • Maintenancier.

Savoir-faire & savoir-être

Exercer ce métier requiert des compétences techniques et particulières. Le technicien de maintenance doit surtout connaître les installations dont il a la responsabilité. Il connaît leur fonctionnement, et maîtrise le processus de production. Ce qui lui permet de réagir rapidement en cas de panne.

Technicien du froid et des machines industrielles, c’est aussi un informaticien qui a reçu une formation en électronique. Il doit actualiser régulièrement ses connaissances, car son domaine d’intervention est en constante évolution. Il maîtrise l’outil informatique et les logiciels relatifs à ses appareils. Cet acteur sait manager une équipe et connaît les normes de sécurité. Il sait aussi les mettre en pratique à tout moment.

Sur le plan personnel, le technicien maintenance est d’un naturel rigoureux et méthodique. Il est attentif, avec un sens de l’écoute et de l’observation. Organisé, il sait prendre des initiatives. C’est également un bon manager qui a des capacités de communication et de rédaction.

Les formations qui mènent à ce métier

Avec le Bac pro en maintenance des équipements industriels, vous pouvez commencer vote carrière.

Toutefois, les entreprises privilégient les niveaux supérieurs. Avec une formation de type Bac+2 dans le domaine (Maintenance des systèmes, option Systèmes de production, Génie industriel et maintenance), vous pouvez vous faire recruter dans une petite industrie laitière.

Vous avez la possibilité de faire des formations plus évoluées, avec une licence pro spécialisée en Maintenance des automatismes, l’instrumentation industrielle, Maintenance des systèmes industriels, Conduite des installations nucléaires.

restauration commerciale

Découvrez le métier de restauration commerciale

Le chef de cuisine met sur pied les fiches techniques, assure la gestion des stocks et s’occupe de passer les commandes.

Interview

Descriptif du métier

Dans un établissement de restauration commerciale, la cuisine est l’un des services principaux. C’est là que s’organisent et se préparent tous les plats proposés sur les menus. Selon l’envergure de l’établissement de restauration, la cuisine peut être petite, moyenne ou grande. Sa gestion peut donc nécessiter une équipe dirigée par le chef de cuisine. En effet, le chef de cuisine est l’un des métiers phares de la restauration commerciale. Incursion dans le monde des professionnels de ce métier afin d’y découvrir les fonctions du chef de cuisine, ses qualités ainsi que les prérequis indispensables pour exercer ce métier.

Le responsable en restauration commerciale : qui est-ce ?

Le chef de cuisine est un professionnel qui a bénéficié d’une formation technique au sein d’une école d’hôtellerie. Il a, par la suite, acquis une grande expérience en travaillant pendant de nombreuses années. Le chef de cuisine travaille de concert avec d’autres professionnels faisant partie de son équipe. La gestion de la cuisine est la première responsabilité qui lui incombe.

L’évolution dans la carrière d’un chef de cuisine peut se manifester sous forme d’emploi dans un établissement de standing élevé. Il peut aussi se mettre à son propre compte ou prendre la direction d’une chaine de restaurant.

Que fait le responsable en restauration commerciale ?

Dans une cuisine traditionnelle, le chef de cuisine assure la supervision de toute son équipe. Le respect des règles d’hygiène, la qualité des plats et la cadence du travail dépendent de lui. C’est à lui qu’il revient d’établir la carte de menu selon les spécificités de l’établissement de restauration et les prix affectés à chaque plat par la direction. Il met sur pied les fiches techniques, assure la gestion des stocks et s’occupe de passer les commandes.

Par moment, il se charge de la négociation avec les fournisseurs. Son travail s’effectue en toute entente avec le patron ou le propriétaire de la société de restauration. Un chef de cuisine doit pouvoir épouser l’idéal de la maison où il officie.

Dans une entreprise de restauration à thème, le chef de cuisine doit avoir de l’expérience dans la gestion de cuisine à gros volume. Il est chargé d’organiser son équipe ainsi que le planning de cette dernière. La qualité et la cadence de travail sont sous sa supervision. Par ailleurs, il se doit de contrôler le respect des règles d’hygiène et des normes de sécurité. La carte de menu, les stocks ainsi que les commandes sont sous sa gestion. Il est responsable de sa cuisine, tout en étant en liaison avec une cuisine centrale qui est commune à tous les restaurants faisant partie de la même franchise. Il gère donc son équipe, tout en respectant non seulement les règles et procédures du groupe, mais aussi en ne s’éloignant pas de la thématique du restaurant.

Dans un restaurant gastronomique, le chef cuisinier est à la fois un gestionnaire et un cuisinier créatif. Il dirige toute une brigade constituée de chefs de partie, de commis et de second de cuisine. Le chef de cuisine d’un restaurant gastronomique maîtrise parfaitement la cuisine traditionnelle de haut niveau. Cette maîtrise est bien souvent acquise grâce à de nombreuses années passées à travailler dans des cuisines étoilées. Il doit être doté d’une grande imagination et d’une grande inventivité afin d’insuffler un style de cuisine originale à son établissement.

Dans une brasserie, le chef de cuisine s’occupe de la mise au point de la carte et des recettes de concert avec le chef d’établissement ou le chef d’exploitation. La cuisine que réalise un chef de cuisine dans une brasserie est une cuisine de bistrot. Il a à sa disposition une équipe dont l’importance varie selon que l’établissement est petit, moyen ou grand. Ici aussi, il assure la gestion du stock et des commandes. Il s’occupe de négocier avec les fournisseurs et veille à ce que les règles d’hygiène soient rigoureusement respectées.

Dans un hôtel, le chef de cuisine assure les mêmes responsabilités que dans tout autre établissement. Cependant, il doit pouvoir adapter sa cuisine au style que propose l’hôtel et à la clientèle de ce dernier. Ses fonctions dans ce type d’établissement varient selon l’importance accordée à la restauration dans l’organisation de l’établissement. De ce fait, dans un petit hôtel, le cuisinier en chef supervise le restaurant sans pour autant s’occuper du room service ou du petit déjeuner.

Dans les établissements hôteliers de luxe, le chef de cuisine joue, en réalité, le rôle d’un chef exécutif. Il est beaucoup moins cuisinier que gestionnaire. Le savoir-faire du chef de cuisine est un atout principal pour la renommée de l’établissement. Pour officier dans un palace, le chef de cuisine doit avoir à son actif de nombreuses années d’expérience dans la cuisine de haut standing. Il s’occupe, au même moment, de plusieurs pôles de restauration. Il se charge à la fois du petit déjeuner, du bar, du room service, de la restauration gastronomique, de la brasserie, etc.

Dans un hôtel de luxe, le restaurant gastronomique est constitué d’une grande brigade d’agents de cuisine. Dans cette configuration, le chef de cuisine, dans son rôle de chef exécutif, doit respecter les consignes financières dictées par la direction de l’établissement hôtelier.

Autres appellations

  • Chef de cuisine
  • Chef
  • Traiteur

Savoir-faire & savoir-être

Un chef de cuisine doit être un cuisinier extraordinaire, et son talent doit être confirmé. Il doit avoir la capacité de mener des hommes. Il doit avoir des compétences d’organisation ainsi que de gestion. Le chef de cuisine doit être en mesure de faire un recrutement, donner une formation. Il doit avoir la capacité de construire son équipe et de la diriger. Il doit être d’une grande curiosité et d’une créativité sans limites. Le chef de cuisine doit maîtriser parfaitement les règles d’hygiène et de sécurité.

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir chef de cuisine, vous devez être titulaire du CAP tout au moins. Néanmoins, avec un BTS, vous êtes mieux préparé à ce métier. Ainsi, celui qui aspire au poste de chef de cuisine doit être muni d’un BTS en hôtellerie et restauration, option arts culinaires. Un Bac professionnel en restauration ou en hôtellerie peut également suffire pour prétendre au métier de chef de cuisine.

responsable flux collecte

Découvrez le métier de responsable flux collectes

Le responsable flux collectes s’assure de la bonne qualité du produit acquis auprès des producteurs ou des fermiers.

Descriptif du métier

Les exploitations et les industries laitières produisent régulièrement des matières premières ou produits finis. Ainsi, ce processus exige l’organisation des flux, la gestion radicale des stocks disponibles et des prix de transport. Ces tâches importantes sont confiées à un professionnel spécialement formé et entraîné pour jouer ces rôles. Il s’agit ni plus ni moins du responsable flux collectes qui cumulent des responsabilités importantes dans la politique de gestion des flux, de production ou de transformation des produits.

Le responsable flux collectes est également au cœur des réflexions visant à améliorer la logistique et optimiser les flux de l’entreprise.

Dans cette fiche métier, focus sur un professionnel aux attributions étendues qui fait preuve de compétences et de qualités spécifiques. Sans plus tarder, découvrez la personnalité, les tâches, les compétences et les formations du responsable flux collectes.

Le responsable flux collectes : qui est-ce ?

Homme ou femme, le responsable flux collectes est employé au sein d’une entreprise de production, de transformation ou de commercialisation de produits agricoles ou alimentaires. Souvent placé sous la hiérarchie du directeur industriel ou du directeur général, le responsable flux collectes conserve cependant une bonne autonomie, lui permettant d’organiser son travail à sa guise.

Très actif, il noue des relations professionnelles poussées avec les services internes et externes de l’entreprise. Ainsi, il collabore régulièrement avec les techniciens méthodes, les acheteurs et d’autres professionnels officiant dans le secteur.

Le responsable flux collectes travaille dans un bureau. Cependant, il va constamment sur le terrain afin de superviser les tâches qui relèvent de son autorité. Il n’est pas rare qu’il voyage à l’étranger dans l’optique de rencontrer ses partenaires (fournisseurs et clients) pour traiter des questions de premier ordre.

Concrètement, quelles sont les activités inhérentes au métier de responsable flux collectes ?

Que fait le responsable flux collecte ?

Entre l’optimisation et la collecte des ressources, le contrôle quantité et qualité, le management des équipes de terrain, le moins que l’on puisse dire du responsable flux collectes est qu’il est un agent polyvalent.

Lorsque le responsable flux collectes travaille pour une usine laitière, son premier chantier consiste à réaliser l’optimisation des ressources laitières. Ainsi, de cœur avec son équipe de travail, il recueille un lait qui répond fidèlement aux exigences de qualité et de quantité. Cette tâche importante implique le fait de discuter avec les producteurs afin de leur faire comprendre ce que l’entreprise attend d’eux en termes de qualité des produits et de quantité.

Par ailleurs, le responsable flux collectes assure un important rôle de veille. En effet, il surveille de près la qualité et les caractéristiques du lait. De la ferme jusqu’à l’usine, il s’assure de la bonne qualité du produit acquis auprès des producteurs ou des fermiers. Pour ce faire, des analyses de laboratoire sont régulièrement effectuées par les équipes qui travaillent avec le responsable flux collectes.

De plus, le responsable flux collectes est tenu de procéder à la régulation des flux de lait acheminés dans les usines de production ou de transformation. Lorsqu’il y a baisse ou surplus de la quantité de lait, il met en place des transferts avec les autres usines. Ce procédé tactique vise principalement l’optimisation de l’approvisionnement de l’usine en matières premières.

Le responsable flux collectes joue un important rôle de manager au sein de l’usine. En effet, il adosse la responsabilité d’encadrer et de gérer les membres de son équipe de travail. En même temps superviseur et mobilisateur, il discute régulièrement avec les agents Relation Culture, les agents de maintenance du froid et les chauffeurs ramasseurs. Le responsable flux collectes s’assure de la motivation des membres de son équipe de travail à remplir pleinement leurs missions afin d’atteindre les objectifs escomptés.

Fin stratège, le responsable flux collectes est à l’origine de la conception et de la mise œuvre de la politique de gestion des flux de l’entreprise. Il explore la possibilité d’utiliser des technologies innovantes (instruments de traçage, plateforme fictive, instruments évolués de communication…) pour faciliter les opérations de l’entreprise. En gros, le responsable flux collectes assume la charge d’améliorer continuellement le système logistique de l’entreprise.

Pour finir, il s’investit activement dans l’optimisation des transports à l’intérieur et à l’extérieur de l’usine. Ainsi, il définit les moyens de transport adaptés en fonction des besoins et des produits. Il vérifie les coûts de transport et fait des propositions pour une gestion plus rationnelle.

Autres appellations

  • Responsable logistique
  • Chef de centre de collecte

Savoir-faire & savoir-être

Comme dans tous les corps de métiers, l’exercice de la fonction de responsable logistique ou responsable flux collectes est soumis à l’acquisition de compétences pratiques et de qualités spécifiques.

Les compétences requises pour faire un bon responsable flux collectes se déclinent ainsi qu’il suit :

  • Assimiler et avoir la maîtrise totale du process industriel global ;
  • Bonne connaissance du milieu des transports et de la logistique ;
  • Savoir conduire le pilotage d’un projet complexe ;
  • Maîtriser les techniques de gestion d’un système de gestion ou de production ;
  • Maîtriser les techniques de négociation d’un contrat d’achat ;
  • Savoir manager et animer une équipe de travail.

Pour ce qui est des qualités requises, il s’agit entre autres de :

  • Dynamisme au travail ;
  • Volonté de s’améliorer continuellement ;
  • Bonne qualité d’écoute et de persuasion ;
  • Diplomatie, médiation et conciliation…

Les formations qui mènent à ce métier

Pour devenir responsable flux collectes dans une usine ou une exploitation agricole, les formations ou diplômes suivants sont exigés :

  • Licence professionnellement dans la filière management des organisations agricoles ;
  • Master dans l’option Industrie laitière ;
  • Master dans la l’option Management de la performance industrielle des entreprises laitières ;
  • Diplôme en transport et logistique…
responsable démarche RS

Découvrez le métier de responsable démarche RS

Le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Descriptif du métier

Aujourd’hui, le volet écologique occupe une place de choix dans les politiques agricoles. Le respect des normes environnementales est devenu un impératif pour toutes les entreprises agricoles désireuses et les industries de production. Ainsi, des fonctions spécifiques sont créées en vue d’implémenter et de matérialiser convenablement la Responsabilité Sociétale des Entreprises.

En ce sens, le responsable démarche RS est la tête de proue de ce mécanisme qui représente un outil de communication, de gestion, de marketing et développement pour les entreprises agricoles.

Qui est véritablement le responsable démarche RSE ?  Quelles sont les compétences, les qualités et les formations nécessaires pour accéder à cette fonction ?

Le responsable démarche RS : qui est-ce ?

Le responsable démarche RS est le prototype parfait d’un manager dynamique et influent. Cultivé, jovial et charismatique, il a le développement durable et les actions sociétales comme champs d’action. S’il peut assurer ses fonctions dans une exploitation ou entreprise agricole, il peut également travailler pour le compte des usines de transformations de produits laitiers ou agroalimentaires.

Parfois épaulé par l’Assistant Environnement dans ses tâches, le responsable démarche RS travaille en collaboration avec plusieurs services de l’entreprise. En substance, quelles sont les activités menées par le responsable démarche RS au sein d’une entreprise agricole ou d’une industrie ?

Que fait le responsable démarche RS ?

Le champ d’action du responsable démarche RS est assez large. Par conséquent, les tâches qui lui sont dévolues sont étoffées.

D’abord, l’un des premiers rôles du responsable démarche RS consiste à accompagner la direction de l’entreprise dans le processus d’élaboration et de mise en œuvre d’une approche RS dans tous les corps de métiers de la société. Pour ce faire, il se doit de formuler un argumentaire poignant sur les avantages de l’adoption d’une telle approche ou démarche. Ainsi, le responsable démarche RS regroupe des preuves et des données factuelles pour étayer sa position.

Ensuite, le responsable démarche RS milite pour un marketing responsable. Il s’investit personnellement pour que l’entreprise s’oriente vers des pratiques commerciales axées sur les principes éthiques et la bonne foi.

Le responsable démarche RS revêt, par ailleurs, l’apparat d’analyste. Ainsi, il étudie le marché et oriente l’entreprise vers la bonne approche RS afin de se démarquer positivement des entreprises concurrentes évoluant dans le même secteur d’activité.

De plus, le responsable démarche RS joue un rôle important dans la mise en œuvre de la politique RS de l’entreprise au sein de laquelle il officie. Ainsi, il pilote, de main de maître, les stratégies de RS élaborées et adoptées par l’entreprise.

Pour être plus explicite, le responsable démarche RS applique les actions retenues en vue de préserver la nature et l’environnement. De même, il veille à la mise en œuvre des politiques visant à diminuer considérablement les émissions de gaz à effet de serre. Le suivi de l’exécution des mesures visant l’amélioration des conditions de vie et de travail des employés est également une attribution du responsable démarche RS. Aussi, le responsable démarche RS suit de près les plans d’action érigés pour proposer des produits et services en adéquation avec les standards environnementaux et éthiques.

Par ailleurs, il veille à la prise des mesures adéquates pour diminuer la consommation des énergies fossiles. Pour ce faire, il promeut la prépondérance des énergies renouvelables afin de limiter les impacts environnementaux rattachés aux différentes activités pratiquées par l’entreprise.

Dans un tout autre registre, le responsable démarche RS s’implique activement sur de nombreux chantiers tels que l’optimisation de la sécurité au travail des ouvriers, la lutte contre toutes formes de discrimination dans les sphères de la société. S’il milite pour le dialogue social et le développement des compétences, il s’implique pleinement dans la lutte contre la culture du harcèlement ou du favoritisme en entreprise.

Autres appellations

  • Directeur du développement durable
  • Responsable environnement

Savoir-faire & savoir-être

L’exercice du métier de responsable démarche RSE requiert l’acquisition de certaines compétences pratiques et qualités spécifiques.

Comme compétences pratiques, le responsable démarche RSE doit faire preuve de :

  • Maîtrise de la RSE des entreprises ;
  • Connaissances approfondies en gestion des ressources humaines ;
  • Maîtrise parfaite des questions liées au développement durable ;

Pour ce qui est des qualités du responsable démarche RSE, ce dernier doit savoir entre autres :

  • Animer une équipe ou un groupe de travail ;
  • S’exprimer aisément tant à l’oral qu’à l’écrit ;
  • Avoir l’esprit d’écoute, d’analyse et de synthèse ;
  • Faire preuve de pédagogie ;
  • Se remettre en cause et s’instruire continuellement.

Les formations qui mènent à ce métier

Le métier de responsable démarche RSE est accessible aux personnes titulaires d’un :

  • Master en sciences humaines, politiques et gestion ;
  • Master en environnement, développement durable, aménagement ou éco-développement ;
  • Diplôme d’ingénieur agricole ou industriel ;
  • Diplôme en Industries Agroalimentaires ;
  • Diplôme en droit de l’environnement.
picto entrepreneur agricole

Découvrez le métier d’entrepreneur.euse agricole

L’entrepreneur.e agricole est chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes.

Descriptif du métier

Les travaux agricoles nécessitent la conduite et la manipulation d’engins lourds comme le tracteur, l’ensileuse et l’épareuse. Il s’agit d’équipements spécifiques, dont la conduite est confiée à une personne spécialisée.

L’entrepreneur agricole a de solides connaissances en mécanique et il est à l’aise avec du gros matériel. Il a aussi une bonne connaissance du domaine agricole et il est aux côtés des agriculteurs pour les accompagner dans certaines de leurs tâches.

Vous ne savez rien de ce corps de métier ? Vous trouverez dans cette fiche métier tout ce qu’il faut savoir : ce que fait le conducteur d’engins, ses aptitudes, sa personnalité, et aussi sa formation.

L’entrepreneur agricole : qui est-ce ?

L’entrepreneur agricole peut être salarié dans une exploitation agricole ou pour le compte de collectivités et des industriels. Il peut aussi être un indépendant et travailler pour le compte de ces structures.

Lorsqu’il est salarié, il a la responsabilité de la conduite et de l’entretien des machines mises à sa disposition. Il veille à leur bon fonctionnement et à la tenue à jour des documents administratifs y afférents : assurance, vignette, visite technique, etc.

Lorsqu’il est indépendant, il est responsable de la bonne marche de son activité. En tant que chef d’entreprise, il y a des actes qu’il est amené à poser.

Que fait l’entrepreneur agricole ?

C’est généralement entre juin et décembre qu’il est le plus sollicité. Pendant cette période, il est mobilisé pour aider aux récoltes ou à l’épandage selon la région.

Son rôle est indispensable pour le bon déroulement des travaux. Il est disponible pour travailler de jour et de nuit. Il ne connaît ni week-end ni jours fériés pendant la saison culturale.

À l’aide des machines, l’entrepreneur agricole fait des labours, des traitements et des récoltes au gré des saisons. Lors des moissons ou des semis, il est généralement sur le terrain où il est sérieusement sollicité. En hiver, les activités sont plus relax, et il est demandé pour des travaux connexes comme l’aménagement des routes, l’entretien des espaces. C’est en hiver également qu’il se consacre à l’entretien ou à la réparation du matériel.

Au quotidien, ce professionnel règle et prépare son matériel en tenant compte de la demande et des données agro-climatiques. Sur le terrain, il prépare le sol, fait l’épandage de la chaux, et retourne le sol superficiellement afin de faire le labour.

L’entrepreneur agricole est également chargé de faire le semis et d’effectuer tous travaux mécanisés indispensables au développement des plantes :

  • binage,
  • désherbage,
  • traitements phytosanitaires,
  • épandage,
  • buttage,
  • etc…

Il est également présent lors des récoltes, car c’est lui qui se charge de toute l’opération. À l’aide de la moissonneuse-batteuse, il réalise la récolte.

Le travail est fait dans le respect des règles de sécurité et d’hygiène. Il peut apporter des correctifs et faire face à des imprévus. Son travail répond à un timing précis, et il est tenu de respecter les délais.

L’entrepreneur agricole fait la maintenance courante comme le réglage, le graissage, la vidange, ou le suivi du niveau de carburant. Il a les compétences requises pour gérer les soucis mineurs. En cas de grosses pannes, il informe le mécanicien et suit la réparation dudit matériel.

Par ailleurs, il assure la propreté du matériel, du garage ou du hangar où tout est entreposé. C’est également lui qui assure le rangement de tout le matériel dans le respect des normes de sécurité.

Autres appellations

  • Tractoriste
  • Conducteur/chauffeur de machines agricoles
  • Machiniste

Savoir-faire & savoir-être

L’entrepreneur agricole est, avant tout, une personne disponible et motivée à travailler à tout moment. Il a des connaissances en agronomie et a l’amour du monde agricole.

Ce professionnel a le contact facile et est prêt à s’adapter à toutes les situations. Il est capable de travailler en autonomie comme en équipe. Il est censé aussi prendre des initiatives.

Le conducteur d’engins agricoles possède des connaissances techniques sur les matériels qu’il conduit. De même, il a des notions en mécanique pour effectuer de petites réparations. Il doit régulièrement actualiser ses connaissances, car la technologie évolue. Il sait se servir de l’ordinateur de bord et suit l’évolution de ses machines.

L’entrepreneur agricole a besoin de connaissances en agronomie pour identifier la nature du sol. Il doit être capable d’identifier les problèmes et de les analyser en vue de trouver des solutions. Méthodique et rigoureux, cet acteur sait être respectueux des délais fixés.

Les formations qui mènent à ce métier

L’accès à ce métier est conditionné par une formation diplômante en production agricole et utilisation de matériels. Il faut avoir une homologation en Conducteur d’engins de travaux publics et de génie rural. Il peut aussi avoir une certification de spécialisation sur les tracteurs et les machines agricoles avec option utilisation et maintenance.

Pour faire ce métier, il faut également avoir :

  • un brevet professionnel en travaux de conduite et entretien des engins agricoles
  • un brevet professionnel en agroéquipement.

Vous pouvez aussi avoir :

  • un BTSA, génie des équipements agricoles
  • un BTS, techniques et services en matériels agricoles.
crémier fromager

Découvrez le métier de crémier.ère-fromager.ère

Le crémier-fromager a une connaissance aiguisée des fromages. Il déniche des productions rares et goûteuses et met en lumière le travail réalisé par des fermiers qui soignent leurs animaux et offrent une production laitière de
qualité puis une transformation riche et variée en différents fromages. Il gère, l’approvisionnement, la commercialisation du produit, le conseil à sa clientèle.

Interview

Descriptif du métier

Le crémier-fromager exerce un véritable métier passion. Il doit tout savoir sur l’approvisionnement et le stockage des fromages, les soins à leur apporter.
On dit que la France est le pays des 1000 fromages… cela permet de proposer aux consommateurs des fromages très différents pour que chacun y trouve son plaisir.
Le crémier-fromager s’occupe, comme nous l’avons dit, de la vente.
Mais, il devra connaître également la réglementation, la vente, la gestion de la logistique. Il doit également savoir gérer sa petite entreprise et avoir des notions sur la gestion financière, le marketing, le juridique, des aspects du métier moins visibles pour le public mais essentiels pour la viabilité de l’activité.

Le crémier fromager : qui est-ce ?

Il est un vrai expert de tout ce qui touche au fromage : les différentes variétés, sans oublier les saveurs. Il va même au-delà en étant à la recherche de nouvelles compositions, de nouveaux mélanges pour varier les saveurs et les rendre uniques.
Le crémier-fromager est un amoureux du fromage. Le métier de fromager implique d’avoir certaines aptitudes sensitives. Ces aptitudes concernent notamment le goût (car il faudra régulièrement goûter les fabrications et les stades d’affinage).
En dehors du goût, il est important d’avoir un bon sens du toucher. Il importe de bien maîtriser l’odeur du fromage à ses différentes étapes de préparation. Pour vous familiariser avec l’odeur si particulière du fromage, vous pouvez commencer par fréquenter les ateliers de production.
Vous avez également besoin d’avoir un bon contact et l’approche facile avec vos interlocuteurs. C’est important dans la mesure où, outre la production de fromage, vous êtes un commerçant de proximité. Il est important alors de savoir établir et maintenir de bons rapports avec vos clients.
Au-delà de la vente, vous devez anticiper les besoins en leur donnant quelques conseils afin qu’ils puissent savourer au mieux les fromages que vous leur offrez. Vous pouvez leur faire découvrir de nouvelles saveurs, voire leur proposer des associations avec d’autres aliments ou boissons qui agrémenteront leur dégustation.
Il convient d’ajouter qu’être crémier-fromager, c’est avoir un sens accru de l’hygiène et une connaissance des normes en matière de sécurité alimentaire. Il importe aussi d’être au fait des textes relatifs au secteur agricole et tout ce qui s’y rattache.

Que fait le crémier fromager ?

Au-delà des différentes tâches qu’il doit accomplir, le crémier-fromager doit également savoir travailler en équipe. Il peut arriver qu’il ait sous sa responsabilité des salariés. La mise en valeur des fromages en vitrine est un atout majeur ainsi que savoir parler de ses fromages. Rentrer sur une boutique ou un stand de marché, doit mettre en appétit le client. Il faut vraiment savoir valoriser les fromages dans la présentation des vitrines. Il doit leur transmettre ses connaissances dans un climat chaleureux, convivial, propice au partage et aux échanges. Il doit être doué pour la promotion, communication, innovation.

Autres appellations

  • Fromager ;
  • Crémier ;
  • Technicien fromager ;
  • Affineur fromage ;
  • Fromager-affineur.

Savoir-faire & savoir-être

Le métier de crémier-fromager exige de la part de l’artisan du professionnel qu’il soit méticuleux. Le goût du détail est primordial, car rien ne doit être laissé au hasard. À chaque étape, pas à pas, les soins doivent être précis et exacts.
Le métier exige donc un savoir-faire important.
Il est crucial d’être attentif aux différents niveaux de la transformation du fromage et d’avoir le flair qui s’y rattache afin d’avoir le bon geste. Les machines existent pour accélérer la fabrication et accroître la production. Cependant, elles ne pourront jamais se substituer à l’intuition et à la connaissance qui caractérisent un bon fromager.

Les formations qui mènent à ce métier

C’est un métier qui requiert des connaissances précises qui peuvent être acquises à l’issue de certaines formations professionnelles. Les domaines concernent à la fois l’univers technique de l’industrie laitière et la vente. Pour devenir crémier-fromager, en fonction de la destination finale de l’exercice de ces fonctions ; il faut disposer de :
  • CAP EVS (Employé de vente spécialisé), option A : produits alimentaires
  • CAP ECMS (Employé de commerce multi-spécialités)
  • MC Vendeur spécialisé en alimentation
  • Bac Pro Commerce
  • Bac Pro A Vente et conseil qualité en produits alimentaires
  • Bac Pro AG Technicien conseil et vente de produits alimentaires
  • BTS A Technique de commercialisation de produits alimentaires
  • CQP Vendeur-Conseil en Crémerie-Fromagerie
  • CAP crémier-fromager.
picto banquier

Découvrez le métier de Conseiller.ère marché agricole des réseaux bancaires

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées.

Descriptif du métier

Les métiers de la banque et de l’assurance sont variés. Les clients ont besoin de conseils et de suivis, et il faut un professionnel à leur disposition pour les aider à trouver satisfaction. C’est à ce niveau qu’intervient le conseiller bancaire/assurance. Il s’agit d’un acteur qui remplit plusieurs missions qui concourent au maintien et à la fidélisation des clients. Il veille sur les intérêts de ses clients et s’assure de ce que ces derniers trouvent entière satisfaction.

Le secteur de la banque et de l’assurance est très concurrentiel, et les clients sont capricieux et volatiles. Une assistance personnalisée est parfois nécessaire pour les aider à trouver ce qu’ils veulent et aussi pour les fidéliser. Le conseiller bancaire/assurance est la personne qui est chargée de cette lourde tâche. Il a aussi le devoir d’accroître son portefeuille en prospectant de nouveaux clients.

Vous avez déjà entendu parler du conseiller bancaire/assurance, mais ne savez pas en quoi consiste le métier ? On vous donne toutes les informations à ce sujet dans la présente fiche métier.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires : qui est-ce ?

Le conseiller bancaire/assurance est un salarié qui évolue dans les banques, les assurances et les institutions de crédit. Dévoué et prompt, il aime relever des défis et a le sens des responsabilités. Il occupe une place importante dans les activités bancaires, car les clients qui lui sont assignés passent par lui pour tous leurs besoins.

Que fait le conseiller marché agricole des réseaux bancaires ?

Le métier touche essentiellement au maintien et au développement de la clientèle. Sa mission est d’augmenter son portefeuille clientèle et de suivre l’évolution des comptes de ses clients. Selon la taille de la structure qui l’emploie, il peut se retrouver avec 100 ou 700 clients venant d’horizons divers : commerçants, étudiants, particuliers, artisans, PME/PMI, etc.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à l’écoute de ses clients et répond à leurs besoins en leur proposant des solutions adaptées. Il peut s’agir d’une demande de crédit, d’un besoin de placement ou d’une demande de découvert. Pour cela, il doit collecter et analyser les données financières des clients, et évaluer les besoins de garantie. C’est lui qui monte les dossiers de crédit dans le strict respect des procédures.

Dans le cas de lancement de nouveaux produits, il est amené à les présenter à ses clients et les aider à faire le meilleur choix. Si un incident survient, il contacte ces derniers pour s’informer sur leurs difficultés et essayer de leur apporter des solutions. Si nécessaire, il peut aviser la hiérarchie pour décision à prendre.

En plus d’être un conseiller, il a aussi l’obligation de fidéliser ses clients. Pour cela, il peut être amené à accorder certaines concessions. Il est soumis à des objectifs chiffrés, c’est pourquoi il doit constamment prospecter de nouveaux clients et développer des stratégies et des arguments pour les convaincre. En outre, il doit faire la promotion des nouveaux produits et proposer des solutions financières adaptées au besoin et à la situation de chacun de ses clients.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires est à la fois un homme de terrain et un professionnel qui travaille au bureau. Dans l’exercice de sa profession, il peut être amené à faire des descentes sur le terrain pour rencontrer ses clients dans leur environnement et analyser leurs problèmes. Il peut aussi aller à la rencontre de nouveaux clients pour leur proposer ses produits.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires surveille, au quotidien, les comptes clients et n’hésite pas à faire des relances en cas de retard des paiements. Il actualise également ses données afin que les comptes reflètent la réalité.

Le conseiller marché agricole des réseaux bancaires participe aux réunions du comité de crédit et émet son avis sur les décisions prises. Si un client ne mérite pas d’obtenir un crédit ou si un compte doit être suivi de près, il est de son devoir de le signaler.

Périodiquement, il rend compte à la hiérarchie de l’évolution de ses activités. Il peut être amené à effectuer des opérations courantes comme tenir la caisse, accueillir et orienter les clients ou régler de simples sinistres.

Autres appellations

  • Chargé de comptes clients
  • Chargé de clientèle

Savoir-faire & savoir-être

Devenir conseiller bancaire/assurance demande certaines qualités. Il doit :

  • Connaître les produits vendus par son entreprise et la réglementation bancaire et de l’assurance
  • Avoir un goût pour les chiffres avec une bonne base en comptabilité.
  • Évaluer les risques et suivre constamment l’évolution du marché.

C’est également un bon commercial qui sait construire un argumentaire de vente. Il doit aussi savoir quand effectuer des relances (prospects, retard de paiements).

Sur le plan personnel, le conseiller bancaire doit être dynamique, méthodique et organisé. C’est un bon communicateur, et il sait travailler en équipe ou en autonomie. C’est une personne qui est capable de prendre des initiatives. Il a aussi une bonne capacité d’analyse et sait se maîtriser dans les situations de stress. C’est également une personne discrète.

Les formations qui mènent à ce métier

Le conseiller bancaire/assurance est recruté généralement avec un Bac+2 au minimum. Il peut aussi avoir une licence professionnelle. Néanmoins, le niveau le plus recherché est le Bac+5 qui offre plus de perspectives d’évolution.

Vous pouvez suivre une formation en continu ou en alternance dans les domaines suivants :

  • Management des unités commerciales
  • Négociation commerciale
  • Gestion des entreprises
  • Finance comptabilité
  • Assurance banque et finance, ou banque avec option en marchés particuliers.

Au niveau master, ce sera le master en monnaie, banque ou assurance.